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IK Multimedia Modo Bass
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On Refait Le Patch #54 : Test de l'IK Multimedia Modo Bass

Basse virtuelle de la marque IK Multimedia appartenant à la série Modo Bass

Test vidéo
55 réactions
Basse à modeler
8/10
Award Innovation 2017
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Loin de Sampletank, T-Racks, AmpliTube et des périphériques iOS, IK Multimedia nous revient avec une basse électrique virtuelle… à modélisation ! Voyons si la qualité du logiciel est à la hauteur de cette sympathique surprise…

Car pour une surprise, c’en est une : depuis plusieurs années, en marge des séries Ampli­Tube, T-RackS et Sample­Tank qui ronron­naient, IK semblait plus volon­tiers se concen­trer sur le marché des péri­phé­riques et des applis pour iOS ou Android, et on ne s’at­ten­dait non seule­ment pas à voir débarquer une basse virtuelle, mais encore moins à ce que cette dernière exploite une tech­no­lo­gie basée sur la modé­li­sa­tion physique. C’est non seule­ment une première pour l’édi­teur trans­al­pin, mais c’est une première tout court sur le marché des instru­ments virtuels puisque si la modé­li­sa­tion physique nous a donné quan­tité de synthés (chez Artu­ria, Native Instru­mentsKorg, U-He, etc.), de pianos (Modartt Piano­teq, Artu­ria, etc.) et même des instru­ments orches­traux (SynfulWallan­der, etc.), c’est à notre connais­sance la première fois que cette tech­no­lo­gie est utili­sée pour réali­ser une basse virtuelle, quand bien même AAS avait proposé une modé­li­sa­tion physique des cordes pincées très inté­res­santes avec son String Studio VS-2.

Inutile de dire, donc, que ce Modo Bass éveille notre curio­sité, ce qui n’était pour­tant pas gagné, car le marché des basses virtuelles ne manque pas de produits déjà excel­lents : de Scar­bee à Ilya Efimov en passant par Spec­tra­so­nics, Ample Sound, Orange Tree SamplesProminyVir2, Yellow Tools ou encore Chris Hein et quan­tité d’autres éditeurs, les 4 cordes ne manquent pas ! Qu’ap­porte donc ce Modo Bass sur le terrain du son ? C’est ce que nous allons décou­vrir en vidéo ci-dessous, ou dans la suite du texte pour ceux qui préfèrent la lecture.

 

La basse, tout est neuf et tout est sauvage

IK Multimedia Modo Bass : modeles

L’énorme diffé­rence de Modo Bass tient donc au fait que c’est un instru­ment à modé­li­sa­tion physique (les sons sont donc produits par diffé­rents algo­rithmes de synthèse très évolués) en lieu et place des samples qui sont de rigueur chez tous les autres concur­rents. Le premier avan­tage de cela, c’est la taille de l’ins­tru­ment qui pèse moins de 170 Mo une fois installé sur le disque dur, ce qui implique égale­ment une consom­ma­tion en mémoire vive des plus écono­miques. En vis-à-vis des Go de disque dur récla­més par certaines banques samplées, voilà quelque chose de bien agréable, même si cela a une contre­par­tie : Modo Bass demeure effec­ti­ve­ment plus gour­mant en CPU que pas mal de basses samplées, même si la chose n’a rien de bien gênant, car il est bien rare qu’on ait plus d’une basse sur un morceau…

Passées l’ins­tal­la­tion et l’au­to­ri­sa­tion en ligne du plug-in via l’uti­li­taire dédié, on se retrouve ainsi face à une inter­face rela­ti­ve­ment simple et intui­tive orga­ni­sée en 6 onglets : Model, Play Style, Strings, Elec­tro­nics, Amp/Fx et Control. Model, l’on­glet par défaut, vous permet de choi­sir le type de basse à émuler parmi douze possi­bi­li­tés : Deux Preci­sion Bass des 60’s et 70’s, deux Jazz Bass des mêmes périodes, une Gibson EB-0, une Music­man Stin­gray de 5 cordes, une Ricken­ba­cker 4003, un Yamaha TRB5P, une Hofner Violin, une Gibson Thun­der­bird, une Ibanez Sound­gear et une Warwick Strea­mer. Voyez qu’en matière de basse, personne ou presque n’a été oublié si l’on consi­dère que Modo Bass se cantonne aux basses élec­triques fret­tées : pas d’acous­tique ou de contre­basse donc, ni de fret­less. Notons-le aussi : si IK nous offre avec ces douze basses un bien bel éven­tail de sons, quelques modèles plus exotiques n’au­raient pas été de refus. On déplo­rera ainsi l’ab­sence d’un Stick Chap­man ou de basses 6 cordes.

Reste à voir à présent si la modé­li­sa­tion est à la hauteur de nos attentes.

Basse modèle

Dès les premières notes, il est dur de ne pas être convaincu par le rendu du logi­ciel : quelle que soit la basse choi­sie, au doigt, au média­tor ou en slap, on retrouve en effet le vrai carac­tère de l’ins­tru­ment avec tout ce que la modé­li­sa­tion permet et que le sampling ne permet pas. C’est ainsi que la vélo­cité est parfai­te­ment gérée sans qu’on passe par des couches en paliers, tandis que la répé­ti­tion de note est beau­coup plus natu­relle qu’elle ne l’est sur les basses samplées qui doivent recou­rir à du Round Robin (alter­nance de plusieurs samples pour une même note) pour gérer cela et ne le gère pas toujours merveilleu­se­ment bien. Mais c’est encore le sustain des instru­ments qui est impres­sion­nant puisque sur un Mi grave, on dépasse allé­gre­ment les 40 secondes avant de retom­ber dans le silence. Peu de basses samplées peuvent en faire autant, même si sur un instru­ment aussi ryth­mique, le sustain n’est pas forcé­ment la chose la plus impor­tante qui soit. On appré­ciera encore les bruits de cordes qui frisent de manière très réaliste dès qu’on attaque les cordes de manière un peu plus sévère, tandis que la modé­li­sa­tion nous réserve encore bien d’autres surprises.

IK Multimedia Modo Bass : styledejeu

Car en dehors du modèle dont nous venons de parler, la plupart des éléments consti­tu­tifs du jeu sont éditables dans l’on­glet Play Style : outre le type de jeu (doigt, média­tor, slap), on peut ainsi défi­nir l’al­ter­nance des attaques/doigts, le fait de lais­ser réson­ner les cordes, de favo­ri­ser les cordes à vide, en réglant évidem­ment les options de doig­tés (on peut contraindre Modo Bass à ne jouer que dans les cinq premières cases par exemple) et les bruits rela­tifs au dépla­ce­ment des doigts sur les cordes ou au fret­tage. Cepen­dant, la plus grande diffé­rence avec les basses samplées réside surtout dans le fait que l’étouf­fe­ment des cordes n’est pas géré de manière binaire comme partout ailleurs, mais en pour­cen­tage : on peut ainsi avoir diffé­rentes nuances d’étouf­fe­ment, ce qui est vrai­ment un plus pour l’ex­pres­si­vité. Idem avec la possi­bi­lité de défi­nir à quel niveau de la corde les notes sont butées, frap­pées ou pincées (plus près du cheva­let pour un son plus agres­sif et aigu, ou plus près du manche pour un son plus rond et grave). Rien qu’avec ces deux para­mètres, Modo Bass permet une expres­si­vité qui surpasse toutes les basses virtuelles du marché… Et ce n’est pas fini !

Dans les cordes

IK Multimedia Modo Bass : cordes

Car évidem­ment, il est possible de jouer sur les cordes de l’ins­tru­ment : âgées ou non, d’un tirant fort, faible ou moyen, montées avec un action plus ou moins haute, à filet rond ou filet plat… Ce sont autant de para­mètres qui changent vrai­ment la façon dont Modo Bass réagit et sonne. Évidem­ment, c’est aussi à cet endroit qu’on défi­nira le nombre de cordes de l’ins­tru­ment comme son accor­dage, avec toute­fois à ce sujet deux petites décep­tions. La première, c’est qu’on ne peut pas aller au-delà de 5 cordes : même s’il est déjà appré­ciable de pouvoir décli­ner toutes les basses en modèle de 5 cordes, on aurait aimé en mettre plus enco­re… Mais on regret­tera plus encore que les options d’ac­cor­dage se limitent à défi­nir le La de réfé­rence et à acti­ver un mode Drop D. Alors que la modé­li­sa­tion permet a priori tous les délires, où sont les possi­bi­li­tés d’Open Tuning, de Micro Tuning, etc. C’est vrai­ment dommage de ne pas y avoir pensé, car on sent bien que ce Modo Bass aurait pu être un formi­dable terrain de jeu de ce côté.

IK Multimedia Modo Bass : micros

Moins lacu­naire, l’on­glet Elec­tro­nics permet pour sa part de gérer la partie micro de l’ins­tru­ment. Outre un piezo, on pourra y déter­mi­ner le micro manche comme le micro cheva­let à choi­sir chacun parmi douze modèles, sachant qu’on trouve dans le soft 20 micros diffé­rents. 144 possi­bi­li­tés donc, sachant que vous pouvez défi­nir le posi­tion­ne­ment exact de chaque micro et jouer ensuite sur le volume de chacun et sur la tona­lité ou l’EQ globale de tout ce petit monde, suivant que vous aurez opté pour une élec­tro­nique active ou passi­ve… Voyez que là encore, il y a de quoi faire, même si les choix rete­nus demeurent très réalistes et ne sont pas spécia­le­ment propices aux excen­tri­ci­tés. Pour pimen­ter un peu tout cela, c’est dans la section Amp/FX qu’il faudra se rendre, où le papa d’Am­pli Tube fait montre de son savoir-faire en la matière.

Amp, Amp, Amp ! Hourra ?

IK Multimedia Modo Bass : ampfx

Disons sur ce point qu’IK Multi­me­dia a fait le job sans trop forcer son talent, histoire de ne pas faire de l’ombre aux simu­la­teurs d’am­plis qu’il vend par ailleurs : vous y attendent deux têtes d’am­plis seule­ment, une à tran­sis­tors et une à lampes, sans possi­bi­lité de choi­sir le baffle qui les accom­pagne, ni même les micros qui le reprennent et encore moins leur posi­tion­ne­ment. Le tout est servi avec un pedal­board compre­nant 4 slots d’ef­fets à choi­sir parmi 7 : Octa­ver, Distor­sion, Chorus, Comp, Delay, Enve­loppe Filter, Graphic EQ. La section est donc complète et tout cela sonne suffi­sam­ment bien pour permettre de bâtir quan­tité de presets très inté­res­sants avec Modo Bass, mais on ne peut s’em­pê­cher de penser qu’IK aurait pu être un peu plus géné­reux au niveau des possi­bi­li­tés offertes (on est loin d’un Ampli­Tube) et inspiré au niveau de l’er­go­no­mie. La majeure partie de l’écran est en effet occu­pée par un beau visuel qui ne présente aucun inté­rêt si ce n’est du point de vue cosmé­tique tandis que pour éditer les effets, il faut cliquer sur des pédales minus­cules. C’est assez mal foutu… Ne boudons pas notre plai­sir toute­fois, car entre les 5 onglets que nous venons d’évoquer, il y a vrai­ment de quoi faire quan­tité de basses qui sonnent très bien et qui pour­ront s’illus­trer dans n’im­porte quel style musi­cal, du hip-hop au métal en passant par la funk, le rock, la pop, le jazz, etc.

Soit, me direz-vous, mais si le son est une chose, qu’en est-il de la program­ma­tion et de la simpli­cité de jeu ? Pour répondre à cette ques­tion, il nous faut ouvrir le dernier onglet…

Rangez vos affaires, il y a Control !

Dans Control sont consi­gnés tous les keys­witches et contrôles conti­nus liés aux diffé­rentes arti­cu­la­tions et modes de jeu. C’est ici qu’on découvre qu’un mode ‘Accord’ est prévu dans Modo Bass, mais aussi qu’on accède aux tech­niques avan­cées comme le slide, les harmo­niques, les ghost notes, etc. Sur ce point, Modo Bass ne fait pas parti­cu­liè­re­ment dans l’ori­gi­na­lité même si la modé­li­sa­tion offre là encore de beaux avan­tages sur le sample. C’est ainsi que la vitesse et l’éten­due des glis­san­dos est para­mé­trable très préci­sé­ment quand chez nombre de concur­rents, on se contente souvent de bidouiller sur ce sujet. De bonnes choses donc mais une approche qui, contrai­re­ment au moteur du logi­ciel, est très loin d’être nova­trice.

IK Multimedia Modo Bass : control

Par ailleurs, Modo Bass n’est pas exempt de tout reproche : à moins d’avoir loupé quelque chose, je n’ai ainsi pas trouvé de moyen de faire des trilles vrai­ment convain­cantes en jouant avec les hammer/pull-off (on sent toujours une attaque agres­sive qui empêche la flui­dité de la figure), ni même de tapping, tandis que le moteur génère parfois des choses étranges : sur des notes répé­tées à la double-croche, le slap laisse entendre une espèce de pompage de compres­sion très étran­ge… Gageons cepen­dant qu’IK corri­gera ces petits défauts de jeunesse au fil de prochaines mises à jour et souli­gnons que, dans la majo­rité des cas, Modo Bass s’en tire très bien avec de bêtes fichiers MIDI qui n’ont pas été spécia­le­ment program­més pour lui. C’est bien la preuve que le logi­ciel peut faire la blague avec une program­ma­tion rudi­men­taire. Le fait de ne pas avoir à se soucier du Round Robin comme chez Spec­tra­so­nics est en outre un confort des plus appré­ciables au moment du séquença­ge…

Bref, s’il n’y a pas de révo­lu­tion à ce niveau, Modo Bass n’en demeure pas moins une des basses les plus simples à program­mer qui existe à l’heure actuelle. Évidem­ment, on attend toujours qu’un éditeur comprenne enfin l’in­té­rêt de livrer une basse virtuelle avec des patterns MIDI prêts à l’em­ploi et éditables, sur le modèle du EZkeys de Toon­track. Ce ne sera pas Modo Bass : dommage. Mais il y a plus regret­table enco­re…

Le prix qui doigte, qui pique et qui slape

IK Multimedia Modo Bass : bassmodels

Vous l’au­rez compris, Modo­bass est dans l’en­semble une bien belle réus­site. Reste à parler du détail qui fâche : le prix qui se situe à 360 euros en télé­char­ge­ment et à 400 euros en version boîte. C’est une somme, se dit-on à première vue, mais qui s’avère cohé­rente en regard des quali­tés objec­tives du logi­ciel, de la recherche et du déve­lop­pe­ment qu’il a récla­més, et de l’offre de certains concur­rents dans le domaine. Offrant beau­coup moins de poly­va­lence, l’in­té­grale des basses Scar­bee est à 510 euros (autant ache­ter la Komplete à ce prix-là !). Reste que la plupart des concur­rents proposent des bundles attrac­tifs autour des 250 euros, et que c’est égale­ment dans cette tranche de prix qu’on retrouve le Trilian de Spec­tra­so­nics. Offrant certes moins de possi­bi­li­tés de person­na­li­sa­tion, sampling oblige, et plus fasti­dieux à program­mer, ce dernier n’en est pas moins beau­coup plus exhaus­tif en termes de conte­nus : contre­basse, basses acous­tiques, fret­less, Stick Chap­man, et même synthés de basse en pagaille, il ne manque rien ou presque avec un son qui demeure perti­nent malgré les années. Du coup, à part pour miser sur le marke­ting du ‘c’est parce qu’on est plus cher qu’on est meilleur’, on se dit qu’IK est un peu gour­mand sur ce coup-là et que les 400 euros, on ne les aurait payés que pour un soft auquel il ne manque rien, doté d’un vrai Ampli­Tube Bass… De fait, je ne serai pas étonné que certains préfèrent attendre les soldes qui sont fréquents chez le déve­lop­peur italien.

Conclu­sion

En termes de sons comme de possi­bi­li­tés, Modo Bass est une vraie réus­site qui prouve que la modé­li­sa­tion peut faire au moins aussi bien que le sampling, voire mieux sur bien des domaines. Non seule­ment l’ins­tru­ment s’avère incroya­ble­ment réaliste, mais il permet grâce à tous ses para­mètres d’ob­te­nir préci­sé­ment le son de basse dont on a besoin, avec une belle cerise sur le gâteau : la simpli­cité. Rien qu’avec la gestion des notes répé­tées (telle­ment plus convainquantes qu’avec le round robin utilisé sur les instru­ments samplés) ou de la dyna­mique (pas de layers ici, et ça s’en­tend !), Modo­bass simpli­fie gran­de­ment la program­ma­tion et, pour peu qu’on se contente de Solid Body élec­triques fret­tées (ce qui ne gênera pas la plupart des utili­sa­teurs), il y a de quoi produire des lignes très réalistes sans trop se casser le tête, que ce soit en jeu au doigt, au média­tor ou en slap.

Outre quelques petits défauts de jeunesse qu’IK aura certai­ne­ment à coeur de corri­ger, le seul vrai hic vient d’un prix rela­ti­ve­ment élevé qu’on aurait volon­tiers accepté si le logi­ciel n’avait pas fait autant d’im­passes. Pas d’acous­tique, pas de fret­less, pas de tapping, pas d’open tuning ou de micro tuning, une section Amp / FX, certes complète, mais loin d’un Ampli­Tube en terme de possi­bi­li­tés : cela fait un peu trop de griefs pour aban­don­ner quatre billets de cent aussi faci­le­ment, d’au­tant que les basses samplées dont on dispose actuel­le­ment, même si elles n’offrent pas tous les raffi­ne­ments de Modo Bass, font quand même très bien le job. Et c’est bien dommage même si ça ne retire rien aux quali­tés du dernier né d’IK Multi­me­dia dont on attend d’ores et déjà la suite, soit avec un tarif revu à la baisse, soit avec plus de conte­nus et de possi­bi­li­tés pour deve­nir le leader incon­testé que son prix laisse suppo­ser. Chapeau bas en tous cas aux déve­lop­peurs, en espé­rant voir venir d’autres instru­ments repo­sant sur la même tech­no­lo­gie…

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On refait le patch : les tests vidéo d'Audiofanzine Voir tous les épisodes de "On refait le patch : les tests vidéo d'Audiofanzine"
8/10
Award Innovation 2017
Points forts
  • Le champ des possibles de la modélisation
  • Toutes les basses électriques frettées sont là
  • Doigt, médiator et slap pour toutes les basses
  • Cinquième corde pour toutes les basses
  • Réalisme des modélisations
  • La souplesse et le rendu des glissandos
  • Le mute puissant et efficace
  • 20 modèles de micros
  • Une section d'amplis/effets complète
  • Que 170 Mo à télécharger
  • Rendu crédible sans trop d’effort
Points faibles
  • Pas de fretless ou d’acoustique
  • La consommation CPU qui va avec la modélisation
  • Pas de révélation du côté de la programmation
  • Pas de tapping
  • Hammer/Pull-off pas toujours convaincants (trilles)
  • Pas de sound design avancé
  • Pas d’Open Tuning ou de Micro Tuning
  • Ergonomie de la section d'Amplis/Effets qu’on aurait également aimée plus évoluée
  • Prix élevé en regard de la concurrence (360 euros)
Auteur de l'article Los Teignos

Si j'avais eu le physique, nul doute que j'aurais fait un grand Sumo, mais vu que je ne pèse que 80 kg, j'occupe mon temps comme je peux entre musique et littérature.


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Si j'avais eu le physique, nul doute que j'aurais fait un grand Sumo, mais vu que je ne pèse que 80 kg, j'occupe mon temps comme je peux entre musique et littérature.