Test du Native Instruments Komplete 7 Elements

Si on revient au début, une ques­tion brûle les lèvres : 99 € certes, mais KOMPLETE 7 ELEMENTS, c’est quoi ? C’est une boîte, conte­nant deux DVD, qui vous permet­tra d’avoir au bout de quelques minutes d’ins­tal­la­tion, un enre­gis­tre­ment via l’ou­til de gestion de licence et une poignée de mises à jour, quatre nouveaux logi­ciels pour faire de la musique qui sonne avec votre séquen­ceur MIDI préféré.

Ces logi­ciels ne sont autres que les produits phares de Native Instru­ments en version « player ».

• GUITAR RIG 4 ESSEN­TIAL
  • Incon­tour­nable égale­ment, un multi-effet pour guitare élec­trique avec simu­la­teur d’am­plis.
• REAK­TOR 5 PLAYER
  • Une usine à gaz modu­laire. Quasi­ment un logi­ciel de déve­lop­pe­ment à lui tout seul.
• KORE 2 PLAYER
  • Le lecteur de patchs « univer­sel » de Native Instru­ments. Il peut char­ger des banques Kontakt, Reak­tor, mais aussi Absynth, Massive ou encore FM8 qui sont four­nies avec cette KOMPLETE ELEMENTS.
• KONTAKT 4 PLAYER
  • L’in­con­tour­nable lecteur de samples avec son moteur de script surpuis­sant.

Outre ces logi­ciels qui sont, pour la plupart, des réfé­rences sur le marché de la M.A.O., Native inclut une banque de sons de près de 12 Go. Pour qu’on puisse commen­cer à travailler dans les meilleures condi­tions, une série de mises à jour est dispo­nible immé­dia­te­ment et met à niveau la plupart des logi­ciels et leurs banques respec­tives.

Atten­tion, pour les utili­sa­teurs ayant déjà des parties de la suite de logi­ciels, certains problèmes de chemins se présentent. L’ins­tal­la­tion se déroule correc­te­ment, mais vous aurez certai­ne­ment à confi­gu­rer vos anciens softs pour récu­pé­rer correc­te­ment les banques. Main­te­nant que nous avons vu les bases de ce bundle, allons voir de plus près ce qu’il nous propose.

Guitar Rig 4 Essen­tial

Modèle réduit de la 4e mouture du célèbre multi-effet, GUITAR RIG ESSEN­TIAL propose une palette très inté­res­sante pour le guita­riste. En effet, vous trou­ve­rez pas moins de 8 amplis guitare avec leurs réglages de base. Sauf pour ceux qui souhaitent régler le BIAS de leur ampli ou d’autres para­mètres très avan­cés (que la version PRO de GUITAR RIG offre), la plupart des guita­ristes M.A.O.istes trou­ve­ront leur bonheur dans le choix des amplis. Chacun de ces amplis peut être utilisé avec le simu­la­teur de haut-parleur « Matched » qui leur est initia­le­ment dédié ou d’autres. On trouve à ce rayon 19 simu­la­tions de HP avec pour chacune, un réglage « stéréo/mono », un volume de sortie, une balance micro A / micro B (respec­ti­ve­ment un statique et un dyna­mique) et enfin un réglage de la distance des micros à l’am­pli. Ce système de simu­la­tion est conservé de l’an­cienne version de GUITAR RIG. Contrai­re­ment à la version PRO, avec sa « control room », il n’est pas possible de gérer plus de 2 micros par rapport à l’am­pli. Ajou­tez à cela 4 modules de délai, 6 distor­sions allant de la légère over­drive à la fuzz la plus trash, des limi­teur, noise gate (en plus du noise gate en entrée), noise reduc­tion, tube compres­sor, stomp compres­sor et une pédale de volume. La « Studio Verb » – une réverbe de studio, si si, j’vous jure – est ampu­tée de quelques réglages de finesse, mais permet d’avoir un peu d’air autour de la guitare et sonne de manière tout à fait respec­table. Enfin, ce qui fait le bonheur d’une partie des utili­sa­teurs de GUITAR RIG, c’est la pano­plie d’ef­fets « spéciaux », et des « modi­fiers », permet­tant de maltrai­ter le son d’une guitare pour en faire toute autre chose.

À noter que le système de presets est très bien pensé, avec une gestion par « Style », par « Song », par type d’am­pli guitare ou basse ou encore par type d’ef­fet. À partir des éléments sépa­rés et très faciles à mettre en place, il est égale­ment possible d’en­re­gis­trer ses propres patchs, qu’on intègre à la biblio­thèque avec la gestion par caté­go­rie et mots clés. Pour conclure, cette version ESSEN­TIAL de GUITAR RIG présente quelques limi­ta­tions vis-à-vis de sa grande sœur « PRO », mais reste tout à fait exploi­table pour maquet­ter très propre­ment un son de guitare. Je vous invite enfin à consul­ter le test de ce cher Red Led qui, outre ses jeux de mots, vous présen­tera plus en détail les fonc­tion­na­li­tés de la version pro.

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Reak­tor 5 Player

REAK­TOR est l’usine à gaz par excel­lence. Ce logi­ciel permet d’ac­cé­der, dans sa version complète, aux para­mètres les plus infimes de la gestion du son et ses mani­pu­la­tions. La palette sonore est infi­nie. Oui, c’est brillant, mais il faut être un geek et/ou un ingé­nieur pour tirer profit de l’in­té­rêt profond du soft. C’est sans doute en partant de ce constat que l’équipe de Native a proposé cette version PLAYER de REAK­TOR 5, desti­née plus volon­tiers à ceux qui veulent faire de la musique au sens clas­sique du terme qu’à ceux qui souhaitent explo­rer de nouvelles contrées sonores. Là, je me permets de vous envoyer direc­te­ment au test de Will Zégal concer­nant la version « pro » pour mieux vous rendre compte des capa­ci­tés de la plate­forme.

J’en profite pour noter la mise à jour remarquable en version 5.5 qui, outre des bugs corri­gés, propose une refonte graphique du plus bel effet et sort un peu de la tris­tesse de l’an­cienne inter­face. L’un des prin­ci­paux défauts qu’on pouvait trou­ver dans certains step séquen­ceurs ou géné­ra­teurs à pattern était le fait qu’ils ne se synchro­ni­saient pas au « stop ». Ce défaut était très gênant puisqu’avec certains modules, on ne pouvait presque jamais avoir deux fois de suite le même morceau. Ce problème a été corrigé dans tous les instru­ments et vous pouvez désor­mais stop­per le morceau et repar­tir d’un autre point, le step se reca­lera bien à la mesure et au temps où il doit être.

Je parlais de « clas­sique » ci-dessus, à propos de l’ap­proche musi­cale de REAK­TOR. Rassu­rez-vous, il ne s’agit pas de jolis ensembles de cordes, mais bien d’une orien­ta­tion élec­tro très pous­sée.

Voici la liste des modules ou « ensembles » que REAK­TOR 5 PLAYER vous propose :

• SPARK

Il s’agit d’un synthé­ti­seur FM (et un peu plus) à deux oscil­la­teurs, dési­gné par le fonda­teur de REAK­TOR en personne. Ce synthé propose un grand nombre de para­mètres, y compris un délai, un simu­la­teur de HP, une réverbe en plus de tous les para­mètres de Shaper, Ring. Vous trou­ve­rez plus d’une centaine de patchs de sons diffé­rents rien que pour ce synthé­ti­seur. Des nappes très riches aux basses les plus inci­sives, rien ne fait peur à SPARK.

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BBCODE (forums)

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BBCODE (forums)

• CARBON

Un autre synthé­ti­seur « à l’an­cienne ». Basé sur 3 oscil­la­teurs celui-ci. D’une ergo­no­mie peut-être plus dérou­tante que Spark, on trouve égale­ment un grand nombre de presets pour se rendre compte de la puis­sance de l’en­gin.

• SPACE DRONE

Avec SPACE DRONE, on n’est plus vrai­ment dans le synthé­ti­seur. Même s’il s’agit effec­ti­ve­ment d’un moteur de synthèse, je le nomme­rai plus volon­tiers « géné­ra­teur ». SPACE DRONE s’oc­cupe de géné­rer des nappes de sons, plus ou moins riches, du début à la fin d’une compo. Il n’y a pas de « note », juste un ensemble harmo­nique qui évolue en fonc­tion de para­mètres très faciles à mani­pu­ler.

• NEWS­COOL

Un géné­ra­teur de pattern avec une inter­face très sympa. L’idée est de dessi­ner un pattern en utili­sant les samples inclus dans le module et de regar­der l’al­go­rithme lire aléa­toi­re­ment les steps de la séquence. Très effi­cace pour tous les besoins de ryth­mique « glitch », il est égale­ment surpre­nant en terme de faci­lité de créa­tion.

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• AERO­BIC

Un synthé­ti­seur avec Step Séquen­ceur. Très complet, il propose 6 modules en simul­tané ainsi qu’une gestion par snap­shot. Plus volon­tiers orienté ryth­mique, les modules de synthèse permettent la créa­tion de motifs de basse plutôt corrects.

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La grande poly­va­lence de REAK­TOR réduite à sa version « PLAYER » offre, ni plus ni moins, 9 synthés complè­te­ment diffé­rents. Malgré le cadre « REAK­TOR », on est vrai­ment dans des approches diffé­rentes, comme pour­raient l’être plusieurs VSTi. Pour finir, la stabi­lité du logi­ciel est remarquable. L’er­go­no­mie géné­rale est bien pensée et il est possible assez rapi­de­ment de se faire la main dessus. Pour ceux qui sont déjà habi­tués à la synthèse, il ne devrait pas y avoir de problème. Pour ceux au contraire qui découvrent cet univers passion­nant, une période d’adap­ta­tion aux modules sera néces­saire, mais la quan­tité de presets dispo­nibles par modules leur permet­tra déjà une créa­ti­vité remarquable.

Voilà donc pour ce tour d’ho­ri­zon de REAK­TOR 5 PLAYER. Même si certains aficio­na­dos du tritu­rage de son se trou­ve­ront peut être limi­tés par rapport à la version complète, cet ensemble très poussé de géné­ra­teurs de sons en tout genre ravira la plupart des musi­ciens à la recherche d’ho­ri­zons élec­tro origi­naux et très complexes.

Kore Player

Encore une belle inven­tion de Native Instru­ments. À l’ori­gine, KORE est un ensemble soft/hard­ware permet­tant de char­ger n’im­porte quel VSTi ou effet VST / AU et de l’uti­li­ser avec l’in­ter­face de contrôle. KORE PLAYER est la version logi­cielle seule du KORE. En gros, vous avez dans un petit VSTi la plupart des patchs de tous les logi­ciels dont nous avons parlé et même plus. En clair, vous ouvrez un KORE et vous pouvez char­ger un preset de REAK­TOR (Best of Reak­tor vol. 1), de KONTAKT (Factory Selec­tion) et des presets « KORE ». Un seul patch par instance certes, mais pour tous ceux qui ne souhaitent pas s’en­com­brer avec des inter­faces graphiques compliquées et qui souhaitent juste avoir le son x ou y avec seule­ment une poignée de potards et de switchs pour « bidouiller » (dixit le mode d’em­ploi) le son, et bien, ils seront ravis. Au niveau de l’er­go­no­mie, vous trou­ve­rez un très bon navi­ga­teur de presets, par caté­go­rie / mots clés ainsi que par biblio­thèque. On trouve 8 switchs assi­gnables et 8 potards et un tableau de 8 snap­shots pour enre­gis­trer des posi­tions de réglages et passer de l’un à l’autre selon une durée défi­nie.

Chez Native Instru­ments, il y a trois autres logi­ciels parti­cu­liè­re­ment connus : FM8, Absynth et Massive. Comme la version player de ces deux logi­ciels n’existe pas (à ma connais­sance et/ou à ce jour), ils ont utilisé KORE pour vous permettre de lire plus de 400 patchs de ces logi­ciels. Bien entendu la gestion des sons est très réduite par rapport aux versions complètes, cepen­dant, vous trou­ve­rez dans la liste de patchs de quoi vous amuser pour commen­cer, et même pour après.

Kontakt 4 Player

Bon, jusque là, c’est plutôt pas mal. On peut déjà faire beau­coup de chose avec cette KOMPLETE 7 ELEMENTS. Pour­tant, ce n’était que l’en­trée… Nous allons Kons­ta­ter ce K’il se passe du Kôté de KONTAKT 4 PLAYER. Eh bien, je vais vous dire… Je ne serai peut-être d’ac­cord qu’avec moi-même, mais les 99 € de l’en­semble proposé par la KOMPLETE ELEMENT pour­raient être unique­ment le prix à payer pour KONTAKT 4 PLAYER et la biblio­thèque de samples qui vient avec.

KONTAKT n’a plus à faire ses preuves. Il est main­te­nant complè­te­ment mûr et une quan­tité incroyable d’édi­teurs utilisent cette plate­forme pour déve­lop­per leurs banques de sons. Le moteur est stable et le Scrip­ting (la gestion des inter­ac­tions évène­ments/para­mètres du son) est très poussé. L’in­ter­face utili­sa­teur est très claire, la navi­ga­tion par « librai­ries » ou par mots clés est très bien pensée. Je m’ar­rête là pour la descrip­tion du logi­ciel car on ne peut pas faire grand-chose de plus dans le moteur. En effet, il est impos­sible dans cette version PLAYER de sauve­gar­der un patch ou de modi­fier les para­mètres de scripts, etc.

Je calme un peu mon enthou­siasme et mets un gros point noir sur le fait suivant :

KONTAKT 4 PLAYER peut lire unique­ment les banques estam­pillées « Native Instru­ments », c’est-à-dire qui ont été auto­ri­sées via le Service Center. Si vous ache­tez une banque chez un éditeur de banques KONTAKT indé­pen­dant – qui n’est pas offi­ciel­le­ment atta­ché à Native Instru­ments – vous ne pour­rez vous servir de cette banque qu’en mode « démo » dans KONTAKT et ce, pour une durée d’une demi-heure par instance unique­ment. Après la demi-heure d’uti­li­sa­tion, le patch devient noir. Il faudra relan­cer KONTAKT pour avoir une nouvelle demi-heure. Si vous souhai­tez lire des banques d’édi­teurs indé­pen­dants, dispo­nibles un peu partout sur le net plus confor­ta­ble­ment, la version PRO de KONTAKT 4 vous sera plus profi­table. Voilà donc pour ce point noir, qui est compré­hen­sible commer­cia­le­ment, mais qui heurte ma sensi­bi­lité d’uti­li­sa­teur.

Ceci étant, je trouve toujours que l’offre de KONTAKT 4 PLAYER est incroyable et je vous explique pourquoi : on peut faire de la musique avec. Vrai­ment. Pas pour rigo­ler. Lors de l’ins­tal­la­tion, pas loin de 12 Go de samples ont été instal­lés et la plupart sont prévus pour être lus avec des patchs KONTAKT. Bien entendu, ce ne sont pas les banques complètes (même s’il est marqué sur la boîte, vous n’au­rez pas les strings VSL complètes), mais il y a assez pour faire à peu près tout et n’im­porte quoi.

Voici quelques exemples de ce qu’on peut faire avec la librai­rie four­nie avec Kontakt :

kontakt-guitare

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• kontakt-guitare00:25
• kontakt-drums00:21
• kontakt-strings00:32
• kontakt-2basse00:25
• kontakt-sax00:18
• kontakt-trum­pet00:10

Comme vous pouvez l’en­tendre et bien qu’elle ne soit pas exempte de tout défaut, cette banque vous permet­tra de travailler des parties acous­tiques correctes, de quoi maquet­ter en tout confort, en n’ou­bliant pas que nous sommes dans un bundle à 99 €.

Voici une rapide liste de ce qu’on trouve dans cette librai­rie de samples :

• Abbey Road 60’s (batte­rie à la mode des 60’s) (voir le test)
• Orches­tral :
  • VSL STRINGS (en ensemble unique­ment, avec les arti­cu­la­tions suivantes :)
    • Sustain
    • Forte piano
    • Sfor­zando
    • Stac­cato (les registres bas sont très exploi­tables)
    • Tremolo
    • Pizzi­cato
  • VSL BRASS (idem)
    • Sustain
    • Forte piano
    • Sfor­zando
    • Stac­cato
    • Sustain 2
    • Sustain 3
  • Orches­tral Percus­sions
  • Un concert Grand piano
  • Un clave­cin
  • Percus­sions d’or­chestre
• Horns :
  • Sax section
  • Trom­bone section
  • Trum­pet section
• Acous­tic piano
• Elec­tric piano
• Organ
• Guitar
• Bass
• Drums
• Vintage (une grande collec­tion de sons de drums machines et de synthés vintage) :
  • Mello­tron
  • 808
  • 909
  • String Melody
  • […]
• World :
  • Flûtes ethniques
  • Corne­muses
  • Darbouka
  • Djembe
  • […]
• […] La liste est très longue.

Pour finir la présen­ta­tion de KONTAKT, j’ai été vrai­ment impres­sionné par la qualité et la quan­tité des sons propo­sés. On peut vrai­ment toucher à tout et de manière très propre. Honnê­te­ment, je ne saurais pas dire si dans la KOMPLETE 7 ELEMENTS, les « cadeaux » sont ces librai­ries KONTAKT ou tous les logi­ciels que nous avons vus avant.

Au final

Voilà un petit délire composé très rapi­de­ment n’uti­li­sant que des sons de la KOMPLETE 7 ELEMENTS. La guitare jazzy du début étant écrite en MIDI et les guitares auto­wah et lead étant jouées dans GUITAR RIG. Tous les autres sons proviennent de KORE ou KONTAKT.

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BBCODE (forums)

Après ça… Que dire ? Qu’à l’achat de la KOMPLETE 7 ELEMENTS, vous avez un bon de réduc­tion de 50 € dans la boutique en ligne Native Instru­ments… D’un point de vue « cible », on peut se rendre compte que le pack est clai­re­ment orienté « débu­tant » dans le monde de la M.A.O. Il y a TOUT pour commen­cer à faire de la musique en MIDI, faci­le­ment, avec classe et dans tous les styles : Elec­tro, Rock, Soul, Hip-hop, Clas­sique…

Bien entendu, un utili­sa­teur confirmé se tour­nera vers d’autres solu­tions logi­cielles, souvent plus onéreuses, mais plus adap­tées à ses besoins. Le saut vers la grande sœur de la KOMPLETE 7 ELEMENTS pourra se faire pour accé­der aux versions complètes de certains logi­ciels, d’une banque de sons plus grande et plus précise, mais avec un budget aussi serré que 100 €, je ne peux que m’in­cli­ner devant ce petit bundle qui a tout d’un grand.