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sonible frei:raum
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Test du Sonible Frei:raum

Egaliseur paramétrique logiciel de la marque sonible

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Test écrit
16 réactions
Libérateur d’espace
8/10
Award Innovation 2015
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La vie de pigiste pour Audiofanzine a ses avantages et ses inconvénients… Certes, passer son temps à tester les dernières nouveautés du monde de l’audio a de quoi rassasier la boulimie du Geek qui sommeille en nous. Cependant, au bout du énième banc d’essai consacré à la énième déclinaison virtuelle d’une machine hardware de légende, la lassitude commence à se faire sévèrement sentir.

Heureu­se­ment, de temps en temps, un produit sorti de nulle part vient ravi­ver la flamme couvant sous les braises encore chaudes de notre curio­sité meur­trie. Oui, je sais, j’en fais des caisses, mais je vous assure que parfois le manque de réelle inno­va­tion dans notre petit milieu a quelque chose de pesant. D’où mon bonheur non feint de vous présen­ter aujour­d’hui Frei:raum, un plug-in d’éga­li­sa­tion pour le moins singu­lier… 

Servus !

Avec son petit nom diffi­ci­le­ment prononçable pour les non-germa­no­phones, Frei:raum nous vient tout droit de Graz en Autriche. Déve­loppé par la toute jeune société Sonible, qui s’était jusqu’alors plutôt illus­trée dans le milieu hard­ware broad­cast, ce plug-in ressemble de prime abord à un égali­seur sept bandes somme toute ordi­naire. Sauf qu’en réalité, il n’en est rien ! En effet, outre ses fonc­tions d’éga­li­sa­tion « clas­siques », Frei:raum propose trois algo­rithmes indé­pen­dants de trai­te­ment du signal évoluant en paral­lèle qui le trans­forment en un outil autre­ment plus nova­teur que l’EQ de base. Mais commençons par le commen­ce­ment.

Sonible Frei:raum

Avec son bandeau supé­rieur vert, le premier algo­rithme est celui qui fait office d’éga­li­seur « ordi­naire » sept bandes à phase linéaire. Chacune des bandes dispose de réglages pour la fréquence (de 20 Hz à 20 kHz), le gain (+/- 24 dB), et le Q (0 à 20). Ces bandes sont débrayables, peuvent être mises en solo et proposent deux types de filtres chacune. Aux deux extrêmes, nous avons droit à un filtre en cloche et un passe-haut ou passe-bas. Juste à côté de ces bandes, nous avons le choix entre filtre en cloche ou en plateau. Et enfin, les trois bandes situées au milieu peuvent être confi­gu­rées en filtre en cloche basique ou passer en mode Smart EQ, ce dernier étant symbo­lisé par une petite baguette magique. Avant d’ex­pliquer ce curieux mode « magique », un petit mot quant à l’er­go­no­mie. 

Les bandes peuvent se régler de plusieurs façons. Tout d’abord via le bandeau supé­rieur, soit avec un clic main­tenu sur une valeur suivi d’un glis­se­ment vers le haut ou le bas, soit avec un double-clic sur une valeur pour une saisie au clavier. 

Il est égale­ment possible « d’at­tra­per » et de mani­pu­ler une bande direc­te­ment sur la repré­sen­ta­tion graphique centrale. Un code couleur permet alors de savoir clai­re­ment sur quelle bande vous travaillez, mais égale­ment sur quelle largeur de bande. Une telle mani­pu­la­tion en main­te­nant la touche Alt enfon­cée permet de régler le Q, la même chose avec cette fois la touche Shift bloque la fréquence pour ne travailler que sur le gain, et un double-clic remet tout à zéro.

D’autre part, l’éga­li­sa­tion peut se régler « à l’aveugle » en acti­vant le mode « blind:flug » via un clic sur le bouton idoine situé dans le coin supé­rieur droit de l’in­ter­face. Ainsi, vous trou­ve­rez des poten­tio­mètres virtuels en lieu et place de la repré­sen­ta­tion graphique centrale.

Pour finir, Frei:raum dispose d’un switch « clear solo » afin de suppri­mer les solos actifs sur les diverses bandes, d’un autre label­lisé « flat » pour remettre l’al­go­rithme sur lequel vous travaillez à zéro, d’un bypass et d’un solo pour chacun des trois algo­rithmes, ainsi que d’un bypass pour court-circui­ter le trai­te­ment du plug-in dans son ensemble sans avoir à subir de sauts audio à cause de la latence induite par cet EQ… Car c’est l’un des points noirs de l’en­gin, une bien belle latence de 4096 samples mini­mum. Ceci étant, ce n’est pas si énorme que ça pour un égali­seur à phase linéaire. Et puis il y a les fonc­tions bonus, à commen­cer par le Smart EQ… 

Sonible Frei:raum

Que se passe-t-il lorsque l’on clique sur la baguette magique de l’une des trois bandes centrales ? Eh bien, la bande bascule en mode Smart EQ et se voit affu­blée d’une petite étiquette avec un bouton de type « record » permet­tant d’ana­ly­ser le contenu spec­tral du signal traité. Pour un résul­tat effi­cace, il faut lancer l’ana­lyse sur une portion signi­fi­ca­tive de votre voie ne conte­nant que très peu de silence. Une fois cela fait en une poignée de secondes, la bande n’agit alors plus du tout comme un filtre clas­sique, mais plutôt comme un filtre « intel­li­gent », s’adap­tant au mieux à la source. Le résul­tat est assez diffi­cile à décrire avec des mots, mais ce Smart EQ semble trai­ter le signal en tenant compte des réso­nances afin d’ob­te­nir une balance opti­male. Chose curieuse, si l’on compte utili­ser les trois bandes dans ce mode, il faudra lancer le proces­sus pour chacune d’entre elles, alors que les résul­tats semblent iden­tiques. Notez d’autre part qu’un potard « sensi­ti­vity » permet de doser l’acuité de l’al­go­rithme : une valeur faible se concen­trera sur les crêtes d’une largeur de bande étroite, alors qu’une valeur plus élevée agira d’une façon plus globale.

À l’usage, l’en­semble est rela­ti­ve­ment perti­nent et la possi­bi­lité de ne trai­ter que certaines parties du spectre via les trois bandes permet d’ajus­ter le tout à son goût. Cepen­dant, n’at­ten­dez pas de cet algo­rithme qu’il fasse tout le travail à votre place, nous ne sommes pas dans le monde de Oui-Oui. D’autre part, une ampli­fi­ca­tion ou une atté­nua­tion trop violente avec cet outil entrai­nera forcé­ment quelques arte­facts audio plus ou moins audibles, il faut donc savoir raison garder. Mais enfin, le rendu sonore est tout de même assez bluf­fant, comme nous le verrons par la suite avec les exemples audio.

Sonible Frei:raum

Passons main­te­nant au deuxième algo­rithme, j’ai nommé Proxi­mity EQ. Tout de bleu vêtu, ce dernier n’a en fait rien à voir avec un égali­seur, si ce n’est que son action peut être défi­nie indé­pen­dam­ment selon sept bandes. Mais que fait-il donc alors ? Eh bien, comme son nom le laisse suppo­ser, Proxi­mity EQ offre la gestion de la sensa­tion de distance avec la source sonore en dosant le mélange entre le signal utile et le signal réver­béré. Bref, il s’agit plus ou moins d’une sorte de « dé-réver­bé­ra­teur » multi­bandes. Outre le fait de pouvoir appliquer Proxi­mity EQ de façon plus ou moins pronon­cée selon les zones du spectre sonore, l’al­go­rithme dispose d’un potard de balance globale de son action, d’un autre baptisé « strength » ajus­tant la sépa­ra­tion entre le son direct et le son diffus, et enfin d’un dernier poten­tio­mètre « smoo­thing » pour adou­cir le rendu et ainsi éviter les arte­facts. Comme avec le Smart EQ, les résul­tats obte­nus sont la plupart du temps probants. De plus, poussé dans ses derniers retran­che­ments, ce trai­te­ment produit des sono­ri­tés assez étranges qui pour­ront éven­tuel­le­ment servir en situa­tion de Sound Design. 

Sonible Frei:raum

Le dernier algo­rithme répond au doux nom d’En­tropy EQ et se distingue visuel­le­ment de ses confrères par sa teinte garance. À l’ins­tar du Proxi­mity EQ, ce trai­te­ment n’est pas un égali­seur à propre­ment parler. Entropy EQ se propose tout simple­ment de doser le mélange entre le contenu harmo­nique et inhar­mo­nique du signal, compre­nez par là qu’il gère la balance entre les tran­si­toires et le déclin du son. En cela, il se comporte un peu comme un Tran­sient Desi­gner, sauf qu’une fois encore, cet algo­rithme travaille sur sept bandes. Niveau réglage, outre ceux des diffé­rentes bandes, Entropy EQ offre un poten­tio­mètre pour la balance globale du trai­te­ment ainsi qu’un potard « strength » gérant la sépa­ra­tion entre contenu harmo­nique et inhar­mo­nique. Là encore, le rendu sonore est à la hauteur des attentes. De plus, il s’avère que cet Entropy EQ se marie à merveille avec l’al­go­rithme Proxi­mity EQ lorsqu’il s’agit d’af­fi­ner encore plus la sensa­tion d’es­pace sonore. Enfin, ce dernier larron peut lui aussi être inté­res­sant en matière de Sound Design.

Après ce tour du proprié­taire, prenons un instant pour nous plaindre un petit peu…

Motzig…

Frei:raum est un plug-in dont l’in­ter­face est rela­ti­ve­ment claire avec des retours visuels colo­rés foison­nants censés faci­li­ter sa mani­pu­la­tion. Cepen­dant, trop de couleur finit par tuer la couleur. À tel point qu’on se surprend parfois à mani­pu­ler une bande de l’un des trois algo­rithmes alors qu’on pensait travailler sur un autre. Cela n’a rien de rédhi­bi­toire et l’on finit par s’y faire, mais enfin, cela fait tout de même désordre. Peut-être qu’une fonc­tion « lock » bloquant telle ou telle bande sur son réglage actuel pour­rait éviter quelques acci­dents malen­con­treux. Ou bien encore une fonc­tion « undo/redo » afin de pouvoir reve­nir en arrière pour­rait servir de garde-fou… Bref, en l’ab­sence de solu­tion, la prudence est de mise.

Hormis cela, il est regret­table que Sonible n’ait pas cru bon d’in­té­grer un compa­ra­teur A/B. En effet, pour obte­nir un résul­tat des plus natu­rels, il est néces­saire de prendre son temps pour affi­ner les diffé­rents réglages. Pour ce genre de tâche, une fonc­tion A/B aurait été une arme précieuse.

Au rayon des absents, nous pouvons égale­ment comp­ter l’op­tion « dry/wet ». C’est assez dommage, car cela faci­lite diable­ment la vie avec ce genre de trai­te­ment. D’ailleurs, il aurait été encore plus judi­cieux d’in­clure un potard « dry/wet » indé­pen­dant pour chacun des algo­rithmes.

Enfin, en grands gour­mands que nous sommes, nous aurions appré­cié avoir la possi­bi­lité de régler les para­mètres « strength » et « smoo­thing » des Proxi­mity EQ et Entropy EQ de façon indé­pen­dante pour chacune des bandes. Cela aurait réel­le­ment décu­plé la puis­sance de la bête. Toute­fois, ne boudons pas notre plai­sir, car il y a déjà large­ment de quoi faire. 

Avant de passer à notre session d’écoute, faisons un point sur quelques détails tech­niques que j’ai omis de préci­ser en début de test. Frei:raum est dispo­nible aux formats VST, AAX et AU en 32 et 64-bit pour Mac OS X (10.7 et plus) et Windows (Seven et plus).

Ques­tion tarif, il vous faudra débour­ser 399,90 € pour pouvoir profi­ter de l’en­gin sur un ou deux ordi­na­teurs. Oui, ça pique un peu. En même temps, vu les capa­ci­tés de cet égali­seur hors-normes, nul doute que l’édi­teur a dû dépen­ser pas mal d’éner­gie en R&D et cela se paye, c’est évident. De plus, Sonible offre une remise éduca­tion de 40 %, ce qui est tout de même géné­reux.

L’ins­tal­la­tion est un véri­table jeu d’en­fant. En revanche, pour l’au­to­ri­sa­tion, il y a un hic. La procé­dure est ultra simple en soi… mais néces­site obli­ga­toi­re­ment que votre ordi­na­teur soit connecté au net.

Pour finir, sachez que la bestiole consom­mait envi­ron 2,5 % de ressources CPU sur la machine de test (MacBook Air Core i7 bicœur cadencé à 2 GHz). Certes, cela n’est pas anodin, mais il faut bien se rendre compte que Frei:raum n’est pas non plus le style de plug-in qu’on utilise par palette de douze sur une même session. Rien d’alar­mant, donc.

Voyons main­te­nant ce que cet EQ atypique a dans le ventre… 

Mia gengan heit auf Lepschi !

Pour commen­cer, essayons Frei:raum sur une piste de batte­rie virtuelle noyée dans une réverbe.

01 Drums verb
00:0000:19
  • 01 Drums verb 00:19
  • 02 Drums verbless 00:19

Ici, le mariage Proxi­mity EQ / Entropy EQ donne quelque chose de plutôt convain­cant. Mais c’était un cas « facile », voyons ce que cela donne en partant d’une base beau­coup plus complexe…

03 Drums dry
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  • 03 Drums dry 00:13
  • 04 Drums wet 00:13
  • 05 Drums good 00:13
  • 06 Drums Sound Design 2 00:19
Sonible Frei:raum

Il s’agit de l’en­re­gis­tre­ment témoin d’une batte­rie réalisé lors d’une répé­ti­tion avec mon groupe au moyen… d’un simple iPhone 4S avec son micro mono d’ori­gine. Cette prise n’a jamais eu d’autre préten­tion que de servir de réfé­rence pour l’étape de compo­si­tion/arran­ge­ment d’un titre. Néan­moins, j’ai voulu tester ce que Frei:raum pouvait donner sur une source aussi « pauvre ». Le premier extrait est le son brut issu de l’iPhone. Le deuxième combine les trois algo­rithmes afin d’ob­te­nir un rendu plus ou moins exploi­table. Le troi­sième est un peu plus « char­cuté », mais c’est fina­le­ment ce qui conve­nait le mieux au titre en cours d’ar­ran­ge­ment. Enfin, le dernier est le résul­tat d’un petit plai­sir soli­taire durant lequel je me suis amusé à envoyer la batte­rie vers un auxi­liaire dispo­sant d’une instance du plug-in avec des réglages extrêmes pour l’En­tropy EQ et le Proxi­mity EQ, le tout suivi d’un delay. Avouez que ces résul­tats sont assez bluf­fants, surtout lorsqu’on sait que la source provient d’un télé­phone portable !

Conti­nuons avec une prise de guitare acous­tique.

07 Gtr dry
00:0000:43
  • 07 Gtr dry 00:43
  • 08 Gtr wet 00:43
  • 09 Gtr Sound Design 00:43

La source n’a vrai­ment rien d’ex­tra­or­di­naire. Cepen­dant, l’al­liance des trois trai­te­ments permet d’amé­lio­rer un peu la sauce. Certes, cela ne trans­forme pas notre pauvre guitare en instru­ment de premier plan, mais au sein d’un mix, cela sera sans doute suffi­sant. Enfin, je n’ai une fois de plus pas pu résis­ter à l’ap­pel de l’ex­pé­ri­men­ta­tion. Le sample 09 illustre une utili­sa­tion outran­cière du Proxi­mity EQ et de l’En­tropy EQ. Le rendu est inté­res­sant, n’est-ce pas ?

Passons main­te­nant à un autre cas que j’ai volon­tai­re­ment rendu diffi­cile pour les besoins de ce test.

10 Piano dry
00:0000:56
  • 10 Piano dry 00:56
  • 11 Piano bad 00:56
  • 12 Piano good 00:56
  • 13 Piano Sound Design 00:56

Le premier extrait corres­pond au signal source. Pour le deuxième, j’ai volon­tai­re­ment égalisé ce piano de façon illo­gique via l’EQ de mon séquen­ceur. Dans le troi­sième, je me suis servi du Smart EQ pour réta­blir un certain équi­libre tonal, mais j’ai égale­ment utilisé une touche des deux autres algo­rithmes pour rappro­cher un peu la source. Le résul­tat est plutôt sympa­thique, même si l’on peut noter la présence d’ar­te­facts sur les tran­si­toires. En même temps, il faut bien avouer que j’ai eu la main lourde sur l’éga­li­sa­tion salis­sante du départ. Enfin, je me suis encore une fois aven­turé du côté du Sound Design en mélan­geant Frei:raum avec un delay et une réver­bé­ra­tion. Planant, non ? 

Pour clôtu­rer cette séance d’écoute, j’ai à nouveau voulu soumettre la bête à rude épreu­ve…

14 Live dry
00:0000:28
  • 14 Live dry 00:28
  • 15 Live wet 00:28

Nous avons ici affaire à un extrait issu d’un enre­gis­tre­ment de l’un de mes tout premiers concerts… Ça ne me rajeu­nit pas tout ça… Bref, je suis abso­lu­ment inca­pable de vous dire qui a enre­gis­tré cela, et encore moins comment, mais le son est pour le moins infâme. Et malheu­reu­se­ment, Frei:raum n’a pas pu grand-chose contre ça. Comme je vous le disais un peu plus tôt, nous ne sommes pas dans le monde de Oui-Oui !

Zoin, bitte !

À l’is­sue de ce test, force est de consta­ter que Frei:raum possède des quali­tés indé­niables. Le mariage atypique de ses trois algo­rithmes en fait un outil puis­sant qui, certes, ne servira pas tous les jours à tout le monde, mais qui pourra faci­li­ter la vie, voire carré­ment sauver la mise dans certains cas. Malgré ses quelques défauts, l’in­ves­tis­se­ment en vaut large­ment la chan­delle pour peu que vous soyez à la recherche d’un trai­te­ment de cet acabit. Enfin, comme d’ha­bi­tude, je vous invite à télé­char­ger la version de démons­tra­tion afin de vous forger votre propre avis, cette dernière étant plei­ne­ment fonc­tion­nelle pendant 14 jours. Pour ma part, je féli­cite Sonible et décerne à ce Frei:raum un Award « Inno­va­tion ». Que les autres déve­lop­peurs en prennent de la graine, des plug-ins nova­teurs tels que celui-ci, nous en voulons tous les jours !

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8/10
Award Innovation 2015
Points forts
  • Plug-in atypique et novateur
  • Trois algorithmes indépendants
  • EQ intelligent
  • Dé-réverbérateur efficace
  • Gestion des transitoires
  • Travail sur 7 bandes pour chacun des algorithmes
  • Pertinence du mariage Proximity EQ / Entropy EQ
  • Invite à l’expérimentation (Sound Design)
  • Nombreux retours visuels colorés…
Points faibles
  • Mais cumul des couleurs parfois déroutant
  • Les 3 analyses pour Smart EQ
  • Artefacts audio si l’on abuse
  • Pas d’undo/redo
  • Pas de comparateur A/B
  • Pas de dry/wet
  • Connexion internet obligatoire pour l’autorisation

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