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Synthogy Ivory II Upright Pianos
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Test du Synthogy Ivory II Upright Pianos

Test écrit
3 réactions
Droit dans ses notes

Après Grand Pianos, c’est Upright Pianos, la banque dédiée aux pianos droits, qui bénéficie du nouveau moteur audio de l’éditeur Synthogy. Revue de détail.

Synthogy Ivory II Upright Pianos Des pianos, des pianos, oui, toujours des pianos… On conti­nue, après l’Ivory II Grand Pianos (voir test ici), les Granny Piano, Bowed Grand Piano, Plucked Grand Piano, Emotio­nal Piano et Mont­cla­rion Hall Piano de Tone­ham­mer (test ici), le Alicia’s Keys de Native Instru­ments (voir test ici) et les Kawai Ex-Pro, Old Black Grand et autres 88 notes d’Acous­tic­sampleS (voir test ici), avec la deuxième mouture de la banque Upright Pianos de l’édi­teur Synthogy, dédiée aux pianos droits.

Lors de la sortie de la première version en 2008, l’édi­teur avait fait forte impres­sion, en propo­sant pas moins de quatre pianos, un récent Yamaha U5, un A.M. Hume datant de 1914, un Packard de 1915 et un Tack Piano du tout début des années 1900 (piano dont les marteaux sont garnis de clous ou de punaises à l’en­droit frap­pant les cordes). 50 Go de contenu, plus de 5000 échan­tillons et jusqu’à 10 couches de vélo­cité, la majeure partie des formats d’ins­tru­ments virtuels et une version stan­da­lone carac­té­ri­saient cette banque qui était l’une des toutes premières à se consa­crer avec de tels moyens à l’ins­tru­ment. Voyons ce que nous réserve la version II.

Intro­du­cing Synthogy Ivory II Upright Pianos

Machine de test

MacPro Xeon 3,2 GHz

OS 10.6.7

Logic 9.1.4

Ivory II Upright Pianos 2.0.3

La nouvelle version se présente sous forme de 12 DVD (prévoir un petit peu de temps d’ins­tal­la­tion…), offre une version stan­da­lone et des plugs AU, VST et RTAS du moteur Ivory II commun à toutes les banques de l’édi­teur, le tout compa­tible PC et Mac, 32 et 64 bits. Le tout toujours auto­risé via iLok.

On utilise l’ap­pli­ca­tion dédiée pour l’ins­tal­la­tion, l’Ivory Library Instal­ler, instal­la­tion ne présen­tant pas d’autre parti­cu­la­rité que d’être longue. Une fois placée dans le dossier conseillé (Ivory Items), la banque propose les mêmes quatre pianos que ceux de la première version, mais consi­dé­ra­ble­ment augmen­tés, puisqu’on dispose main­te­nant de jusqu’à 16 layers de vélo­cité (nombre variant suivant les modèles) et de plus 84 Go de conte­nu…

Synthogy Ivory II Upright PianosOn ne revien­dra pas sur toutes les fonc­tions dont la majeure partie a été détaillée dans le test de l’Ivory II Grand Pianos (voir ici). Rappe­lons simple­ment quelques chan­ge­ments comme l’Har­mo­nic Reso­nance Mode­ling, modé­li­sa­tion de la réso­nance sympa­thique des cordes, au rendu très réaliste. Chaque note tenue réson­nera si une note en rela­tion harmo­nique est jouée. Puis le Half Peda­ling, qui permet de retrou­ver l’ac­tion d’une véri­table pédale de main­tien, sous réserve d’uti­li­ser une pédale et un clavier compa­tibles. Ou encore Silent Key Vel qui donne la possi­bi­lité de défi­nir une vélo­cité ne produi­sant aucun son, comme sur un vrai piano. Fonc­tion parti­cu­liè­re­ment utile en ce qui concerne la réso­nance via la tech­nique de jeu commune en musique contem­po­raine, consis­tant à plaquer un accord de façon muette et de le faire réson­ner en jouant d’autres notes en harmo­nie. Enfin, la fonc­tion Tuning Table qui permet de program­mer des accords maison, via messages Midi ou modi­fi­ca­tion d’un fichier texte.

Compa­rai­son

Le tour d’ho­ri­zon des pianos virtuels commençant à prendre de l’am­pleur, plusieurs fichiers Midi type réali­sés au fur et à mesure des premiers articles sont main­te­nant utili­sables.

On les retrou­vera donc de test en test, afin de faci­li­ter les compa­rai­sons entre instru­ments et éditeurs.

Tous les exemples illus­trant l’ar­ticle sont réali­sés à partir des nombreux presets four­nis, à l’ex­cep­tion de ceux utili­sant un chorus. En revanche, EQ et réverbe interne sont solli­ci­tés, ainsi que les diffé­rents réglages de réso­nance, bruits de pédale et de touches, timbre, Timbre Shift et largeur stéréo.

Old Timer…

Synthogy Ivory II Upright PianosCommençons par le premier des pianos présen­tés (chro­no­lo­gique­ment), le genuine tack piano, appelé par chez nous “piano punaise”, qui est selon l’édi­teur, un piano datant des années 1900, pas tout à fait accordé, et dont les feutres ont été garnis de véri­tables punaises métal­liques, dans le respect de la tradi­tion.

Le Keyset, élément fonda­men­tal de l’ins­tru­ment, peut offrir jusqu’à 10 layers de vélo­cité, avec un mini­mum de quatre, l’in­ter­face affi­chant, de plus, clai­re­ment le poids des échan­tillons dits “de base” et celui des échan­tillons de relâ­che­ment et de la pédale una corda. On peut aussi ne char­ger que les cinq couches hautes ou basses (en termes de vélo­cité).

Bien entendu, ce type de piano est à son aise dans le réper­toire du cinéma muet, comme dans cet extrait de “Myste­rious – Burglar Music”, issu du Sam Fox Moving Picture Music, Vol 1 de J.S. Zamec­nik (domaine public) :

 

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Ou dans les ambiances blues, bastringue ou boogie (extrait de “Triplets Bass Boogie” de Claude Bolling) :

 

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Le piano, sans être le plus nuancé des quatre, offre quand même une belle présence :

 

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Des varia­tions de dyna­mique assez grandes (sachant qu’on peut adap­ter la courbe de réponse au clavier, ainsi que la plage dyna­mique) :

 

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Et le passage des vélo­ci­tés reste tout à fait appré­ciable :

 

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On notera l’ac­tion de la réso­nance avec accord plaqué muet :

 

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L’ins­tru­ment se prête aussi aux passages plus inti­mistes, même si ce n’est pas sa desti­na­tion première :

 

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Sans oublier qu’il peut aussi être utilisé en musique clas­sique (roman­tique ici) :

 

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On peut être surpris, mais ce serait oublier que l’im­mense Glenn Gould avait demandé à Stein­way de lui prépa­rer un piano à punaise à partir d’un “petit” Concert, qu’il nomma “Harp­si­piano”, et dont la sono­rité se rappro­chait effec­ti­ve­ment du harp­si­chord, qu’il utilisa par exemple dans cette version enre­gis­trée pour la télé­vi­sion en 1960 du “Contre­point 4” de L’Art de la Fugue de Bach. Notez le commen­taire expliquant le son via les vieilles tech­niques d’en­re­gis­tre­ment…

 

 

Pour finir, la reprise de l’hom­mage déjà utilisé dans les diffé­rents tests, utili­sant deux occur­rences du piano :

 

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Loin d’être démodé ou seule­ment connoté western, ce type d’ins­tru­ment a toujours eu sa place dans le rock ou la pop (voire le jazz, jusque chez Weather Report…), des Doors à Jon Brion. Sa présence au sein du bundle de Synthogy est donc bien­ve­nue, et un outil créa­tif de plus à la dispo­si­tion du compo­si­teur.

 

 

Piano bar…

Synthogy Ivory II Upright PianosOn conti­nue avec un piano direc­te­ment extrait de l’at­mo­sphère enfu­mée du Cheers, un bar appa­rem­ment réputé de Boston. Le piano lui-même est quasi une pièce de musée, datant de 1915, soit 19 ans après que la firme Packard Piano & Organ Company ait mis des pianos à son cata­logue. Les pianos de la marque étaient répu­tés pour leur très grande qualité de fabri­ca­tion, ainsi que celle des bois utili­sés.

Le piano échan­tillonné par Synthogy a été accordé dans un esprit “honky-tonk”, et  affiche clai­re­ment une person­na­lité très marquée, moins métal­lique et resser­rée que celle du Tack Piano, mais offrant quand même une attaque très parti­cu­lière et béné­fi­cie cette fois de jusqu’à 14 couches de vélo­cité.

Ce piano est lui aussi adapté au réper­toire du cinéma muet, en repre­nant “Myste­rious – Burglar Music” :

 

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Et bien sûr le boogie :

 

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On entend dans l’exemple suivant son attaque un brin métal­lique :

 

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Le nombre de layers permet plus de varia­tions de dyna­mique :

 

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Ce qui s’en­tend bien évidem­ment dans le passage des vélo­ci­tés. On peut repro­cher un saut trop brusque dans le bruit de méca­nique sur les vélo­ci­tés les plus fortes :

 

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L’exemple suivant fait entendre l’ac­tion de la réso­nance avec accord plaqué muet :

 

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Quand on ne l’at­taque pas à forte vélo­cité, le piano offre un son très “brumeux”, “coton­neux”, qui donne une belle qualité à des ambiances nostal­giques ou douces :

 

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Son utili­sa­tion sur une pièce de Rimsky-Korsa­kov n’est pas non plus dénuée d’in­té­rêt :

 

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Pour finir, le morceau utili­sant deux pianos :

 

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Synthogy Ivory II Upright PianosLes plus atten­tifs auront remarqué la présence sur certains exemples de bruits de craque­ments, de siège et autres “para­sites” sonores. Il s’agit du layer Cleaks and Crunks, et sa décli­nai­son Random Creaks and Clunks, qui peuvent être acti­vés dans la partie Synth Layer, et donc pour chaque piano (y compris les Grand. Un Bösen­dor­fer qui couine, ça n’a pas de prix…). Sur les 88 notes du clavier, on dispose ainsi de tout un ensemble ajou­tant au réalisme (voire à l’hy­per-réalisme, dans le même sens que celui de l’illus­tra­tion, c’est-à-dire une fausse vraie réali­té…). Certains ne couvrent qu’une seule touche, d’autres ont été resam­plés sur plusieurs notes :

 

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On peut détour­ner ces échan­tillons, pour en faire des éléments de ryth­mique plutôt inté­res­sants :

 

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Leur acti­va­tion en mode Random empêche une trop grande régu­la­rité nuisible à la recherche de réalisme.

Quasi jumeau, mais diffé­rent…

Synthogy Ivory II Upright PianosOn passe à un autre ancêtre, puisque le piano A.M. Hume échan­tillonné par l’édi­teur date de 1914. Ce piano a été fabriqué par M. Stei­nert & Sons, dans l’une de ses deux usines de Leomins­ter, dans le Massa­chu­setts. Stei­nert, en plus d’être un facteur de pianos, était un reven­deur agréé Stein­ways & Sons, et, pour éviter toute confu­sion, a vendu quelque temps ses pianos sous les marques Jewett, Curtis, Wood­bury, Berk­shire et A.M. Hume (d’après le nom de son direc­teur de l’époque, Archi­bald Hume). Le nom M. Stei­nert & Sons a été réuti­lisé à partir de 1916. Des pianos à la répu­ta­tion de très bonne qualité ; le modèle retenu par l’édi­teur est 100 % d’ori­gine.

On passe un cap en termes de layers, puisque l’on peut dispo­ser de jusqu’à 16 couches de vélo­cité, ce qui se ressent bien sûr dans la dyna­mique globale de l’ins­tru­ment.

On commence avec “Myste­rious – Burglar Music” :

 

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Le boogie montre un son ferme, équi­li­bré, avec une attaque nette et suffi­sam­ment de corps sans être enva­his­sant :

 

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Attaque qui lui permet toujours d’être bien défini, même sur des passages affir­més :

 

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La dyna­mique est plus large, bien sûr, nombre de layers oblige :

 

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Ce que confirme le passage des vélo­ci­tés avec cepen­dant un petit reproche sur la trop grande simi­li­tude du bruit de méca­nique sur les vélo­ci­tés élevées…

 

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Pour suivre, l’ac­tion de la réso­nance avec accord plaqué muet :

 

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Son bel équi­libre en fait un piano très intime quand joué dans les vélo­ci­tés moyennes :

 

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Il se comporte très bien sur la pièce roman­tique :

 

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Pour finir, le morceau utili­sant deux pianos :

 

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Un très beau piano, pour le moment le plus équi­li­bré, ce qui est aussi logique vu l’orien­ta­tion des deux précé­dents. Du clas­sique au moderne, il sait se faire entendre, avec cette clarté de l’at­taque, qui n’est pas pour autant métal­lique ou désa­gréable comme on peut en trou­ver sur certains pianos et banques d’échan­tillons.

Contem­po­rain…

Synthogy Ivory II Upright PianosOn finit avec le piano moderne de la biblio­thèque, un Yamaha U5 (pas de date de fabri­ca­tion préci­sée, mais la fabri­ca­tion a été arrê­tée en 2006 si je ne me buse). Consi­déré comme le haut de gamme chez le facteur japo­nais, le piano a béné­fi­cié de tous les petits soins néces­saires en termes d’ac­cord et de prépa­ra­tion. L’ori­gi­nal béné­fi­ciait d’une pédale de soste­nuto (ce qui n’est pas le cas de tous les pianos droits, ni à queue d’ailleurs), ce qui ne pose pas de problèmes dans la version logi­cielle, puisque le moteur Ivory II recon­naît parfai­te­ment le numéro de contrô­leur 66, et qu’il suffit de le para­mé­trer sur votre clavier-maître, en lieu et place, ou en complé­ment, de la pédale de sustain tradi­tion­nelle (Midi CC 64). Là aussi l’édi­teur nous grati­fie de 16 couches de vélo­cité.

“Myste­rious – Burglar Music”, s’il n’est pas autant “raccord” qu’avec les pianos plus anciens, montre quand même la dyna­mique très large de l’ins­tru­ment :

 

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Le boogie montre le son carac­té­ris­tique Yamaha (on aime ou pas), équi­li­bré et avec cette attaque propre aux instru­ments du facteur, qui néces­site parfois une certaine force dans les doigts et un poignet en béton dans la réalité :

 

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L’im­pact du piano est vrai­ment très parti­cu­lier :

 

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Grâce aux nombreux layers, la plage de nuances est très large, mais le son reste toujours défini et brillant, avec la qualité de réso­nance des pianos haut de gamme de la marque :

 

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Le passage des vélo­ci­tés montre une belle régu­la­rité :

 

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L’exemple suivant fait entendre l’ac­tion de la réso­nance avec accord plaqué muet :

 

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Son bel équi­libre fonc­tionne bien sur cette pièce en demi-teintes, même si je préfère le son du Vintage dans ce cas précis, le Modern étant plus brillant que désiré :

 

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Sur le Rimsky-Korsa­kov, aidé par l’Am­bience du stan­da­lone, il se comporte presque comme un piano à queue, quart voire demi :

 

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Sur le morceau utili­sant deux pianos, sa brillance tran­chante place défi­ni­ti­ve­ment en avant la mélo­die :

 

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Indé­nia­ble­ment un très beau rendu de ce piano d’ex­cep­tion. Dans la réalité, il est à l’aise dans tous les contextes, et sa version virtuelle ne l’est pas moins. Mon goût parti­cu­lier m’em­mè­ne­rait vers des pianos plus doux, moins brillants, mais les amou­reux du son Yamaha seront comblés.

Bilan

Un petit rappel avant de conclure : chacune des 88 notes béné­fi­cie de ses propres échan­tillons (donc jusqu’à 16 couches de vélo­ci­tés), ces derniers n’étant pas bouclés, ce qui offre de belles réso­nances suivant les modèles de piano (on “entend” le bois).

Diffi­cile de trou­ver des reproches autres que les quelques déjà mention­nés. L’édi­teur réus­sit encore une fois son pari, en propo­sant la banque la plus complète sur le sujet à l’heure actuelle. Son prix, autour de 250 euros, en fait un instru­ment rela­ti­ve­ment abor­dable compte tenu de la richesse et du détail de l’échan­tillon­nage. Il faut en avoir l’usage, sachant que d’autres solu­tions existent, et qu’elles sont régu­liè­re­ment passées en revue sur AF.

Mais pour le profes­sion­nel à la recherche de pianos d’ex­cep­tion, qui ne deman­de­ront qu’un temps mini­mal de réglages (c’est quasi­ment du prêt à jouer, avec juste le réglage de sensi­bi­lité à ajus­ter selon les claviers de commande), qui sonnent parfai­te­ment sur toute l’éten­due du clavier, et se placent dans un mix en deux temps trois mouve­ments, le temps de la réflexion devrait être très court.

Points forts
  • Tout sauf...
Points faibles
  • ...bruits de mécanique parfois trop réguliers à forte vélocité
  • Temps d’ouverture du plug ou du standalone trop long
  • chaussette 1158 posts au compteur
    chaussette
    AFicionado·a
    Posté le 19/09/2011 à 19:24:49
    super test :)
    j'ai updaté mes ivory .. et en fait je suis pas impressionné par les résonances. c'est mieux que le un bien sur mais bon. Je trouve qu'on peut pas les pousser trop loin elles sont un peu courtes.
    je pense que c'est une modélisation ça devrait être possible de modifier ce param peut-être que je ne l'ai pas vu.
    du coup :) je mélange parfois ivory2 avec les résonances de pianoteq qui sont plus créatives même si je lis parci-là que pianoteq sonne pauvre.
    notamment pour les sons hyper proche (cinématographique) j'ai un bien meilleur rendu avec pianoteq :p

  • rossignol85 1370 posts au compteur
    rossignol85
    AFicionado·a
    Posté le 20/09/2011 à 21:07:07
    Quelque chose me gène dans l'écoute. J'ai l'impression, dans les changements de vélocité, de m'éloigner de la source quand ça joue tout doux et de me rapprocher quand ça joue plus fort. C'est étrange. J'ai remarqué ça sur d'autres démos pianos à base d'échantillons. Sur Pianoteq, je n'ai pas ce sentiment.
  • Dominique Le Bars 1852 posts au compteur
    Dominique Le Bars
    AFicionado·a
    Posté le 24/09/2011 à 09:01:01
    Curieux mais chez moi, les samples sont assez pourris.
    Il y a gros buzz numérique en souffle de fond sur toute les prises..

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