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FabFilter Pro-R2
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Test de Fabfilter Pro-R 2

Réverbération algorithmique logicielle de la marque FabFilter

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Test écrit
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J’ai encore réverb d’elle
9/10
Award Valeur sûre 2023
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La sortie d'un effet Fabfilter est toujours un petit événement, même si à l’heure des plug-ins "intelligents" ou très bon marché, les Néerlandais font face à une rude concurrence. De fait, nous n’attendions rien de particulier de cette Pro-R 2. Et nous avions bien tort…

Test de Fabfilter Pro-R 2 : J’ai encore réverb d’elle

Au-delà de tout reproche en termes de qualité audio et dotée d’une de ces inter­faces dont Fabfil­ter a le secret, la Pro-R est deve­nue la « go to » réverbe de quan­tité d’uti­li­sa­teurs. De tous ? Non, pas pour autant car s’il fut un temps loin­tain où les réverbes de qualité se comp­taient sur les doigts d’une main, le marché regorge aujour­d’hui de plug-ins tous plus enthou­sias­mants les uns que les autres. Sans même parler des réverbes à convo­lu­tion d’Au­dio Ease, Over­loud ou de Liquid­so­nics ou des clas­siques signés Lexi­con, Sonnox ou Even­tide et des nombreuses émula­tions qu’on trouve ça et là (PSP, Wave Alchemy, UA), on évoquera les produits inno­vants d’édi­teurs comme Izotope, 2CAu­dio ou Sonible. Et comme si tout cela n’était pas assez, voici qu’un viking nous propose des plug-ins d’une qualité hallu­ci­nante à 50$, au point de deve­nir le chou­chou de beau­coup d’entre nous… Bref, pour se hisser au-delà de cette mêlée bien dense, faire un bon produit ne suffit pas, il faut faire le meilleur ; c’est vous dire la pres­sion qui repose sur les épaules de Fabfil­ter !

Sauf que les Néer­lan­dais, on le sait, ne sont pas des rigo­los : leur Pro-Q demeure notam­ment le plus utilisé des EQ aujour­d’hui, leur Pro-L est deve­nue une vraie réfé­rence égale­ment, tout comme Pro-C, Pro-MB, Pro-DS, Saturn… Et comme ils n’ont pas l’ha­bi­tude de sortir des produits qui ne soient pas mûre­ment pensés et parfai­te­ment réali­sés, on se jette du coup sur l’ins­tal­leur pour voir de quel bois se chauffe cette Pro-R 2.

R comme Retrou­vailles

globalOn ne change pas une formule qui gagne et Pro-R 2 reprend donc le design et les couleurs de Pro-R, à savoir un mélange de bleu, de violet et de noir sur lesquels tranchent des textes blancs et des contrôles oran­gers tandis que la visua­li­sa­tion évoque des volutes de sable saha­rien. On retrouve aussi pour l’es­sen­tiel l’or­ga­ni­sa­tion de la première version, deux courbes dans la fenêtre prin­ci­pale (l’une pour l’EQ post-réverbe et l’autre pour le Decay Rate EQ qui permet d’orien­ter le travail de l’algo). Dans la partie supé­rieure de la fenêtre sont remi­sés tous les contrôles pour confi­gu­rer l’ef­fet, et c’est là qu’on trouve le plus de nouveau­tés puisque les sept potards de la V1 sont désor­mais au nombre de neuf…

reverbtimeAu centre, on trouve toujours le gros poten­tio­mètre Space qui défi­nit le temps de réver­bé­ra­tion, de 0,20 seconde à un confor­table 10 secon­des… sauf qu’il est flanqué d’un second potard qui permet de multi­plier ou divi­ser ce temps : on peut ainsi obte­nir un temps de réverbe allant de 0,05 secondes à… 40 secondes ! La Black­hole d’Even­tide n’a qu’à bien se tenir !

leftsideDans la partie gauche, quatre réglages nous attendent : Prede­lay, réglé en ms ou synchro­ni­sable au tempo, Charac­ter qui permet d’in­tro­duire des modu­la­tions jusqu’à un effet chorus, Thick­ness qui joue à la fois sur la densité, la satu­ra­tion et la non-linéa­rité de l’ef­fet et Distance qui vous place plus ou moins proche de la source.

rightsideDe l’autre côté, un bouton Bright­ness permet de jouer sur l’ab­sorp­tion plus ou moins grande des hautes ou basses fréquences, façon Tilt EQ. Ducking est un compres­seur rudi­men­taire qui permet­tra d’at­té­nuer l’ef­fet lorsque le signal dry se fait entendre, pour une meilleure intel­li­gi­bi­lité de ce dernier, et Stereo Width permet de défi­nir sans surprise la largeur de l’ef­fet : à 0%, on est en mono, on progresse jusqu’à 50% vers la True Stéréo, puis jusqu’à 100% vers le double Mono. On peut même monter à 120% où le signal Side est alors ampli­fié par rapport au centre, ce qui, outre l’ef­fet de largeur, permet­tra d’ob­te­nir une meilleure compa­ti­bi­lité mono. Sans surprise, Mix complète tout cela pour doser l’équi­libre entre son traité et son non-traité, sachant qu’on peut le verrouiller pour qu’il demeure le même lorsqu’on change de presets…

algosEt c’est tout ? Point du tout, car on dispose de trois nouveaux boutons. À droite, un petit flocon de neige permet de geler l’ef­fet (la réverbe est alors suspen­due), mais on dispose aussi d’un Auto-Gate, réglable en milli­se­condes ou synchro­ni­sable au tempo : vous vouliez des réverbes 80’s pour vos caisses claires ou vos toms façon Phil Collins dans In the Air Tonight ? Vous les avez ! Enfin, dans la partie gauche, on peut désor­mais choi­sir entre trois algos de réver­bé­ra­tion : Modern reprend l’algo de la première Pro-R, Vintage est modé­lisé d’après les premières réverbes numé­riques, et Plate est enfin une modé­li­sa­tion de réverbe à plaque…

Voilà qui s’avère donc ultra­com­plet, et pour se donner une idée de la façon dont tout cela sonne, on se rue sur le gestion­naire de presets où nous attend une double surpri­se…

Du son d’IR aux algos d’aujour­d’hui

presetbrowserOn dispose tout d’abord d’un nouveau gestion­naire de presets qui permet de parcou­rir l’ar­bo­res­cence de ces derniers mais aussi d’ef­fec­tuer des recherches via un moteur, par nom ou par tags, avec la possi­bi­lité d’ajou­ter ses propres tags : c’est parfait.

Et plus que parfaite, une sacrée surprise nous attend au bas de la fenêtre : Import IR ! Vous avez bien lu : Pro-R 2 peut impor­ter les réponses à impul­sion. Préci­sons-le toute­fois, la réverbe de Fabfil­ter n’est pas devenu un proces­seur à convo­lu­tion pour autant, et il ne s’agit pas ici de faire concur­rence à Alti­verb ou consorts qui demeu­re­ront de meilleurs choix pour avoir l’exact rendu de la réverbe.

Lorsqu’on importe une réponse impul­sion­nelle, le logi­ciel va en effet s’au­to­con­fi­gu­rer pour donner un équi­valent algo­rith­mique à la convo­lu­tion enre­gis­trée, ce qui offre ensuite toute lati­tude pour éditer ses carac­té­ris­tiques et sauver cela dans un nouveau preset. L’idée est d’au­tant plus brillante qu’elle s’ac­com­pagne d’une belle anima­tion de l’in­ter­face. Mon Dieu que ces Hollan­dais sont forts !

multicanalEt c’est tout cette fois ? Vrai­ment tout ? Non, même pas ! Car suivant l’évo­lu­tion du marché qui, avec le Dolby Atmos, s’est enfin plus large­ment mis au multi­ca­nal, Pro-R 2 gère désor­mais le son surround… Comment cela se passe ? De façon assez trans­pa­rente pour l’uti­li­sa­teur, plus en tout cas que chez certains éditeurs qui déclinent 12 versions d’un même plug-in au mépris du bazar dans nos réper­toires VST (suivez mon regard). Tout seul comme un grand, Pro-R 2 détecte en effet la nature de la piste sur laquelle il se trouve. Si c’est une piste multi­ca­nal, il vous affi­chera ainsi les vu-mètres corres­pon­dants tandis qu’une nouvelle option appa­raî­tra au bas de la fenêtre, vous permet­tant de défi­nir d’une part le niveau du canal LFE, celui du centre, celui du haut et le taux de cross­feed, et d’autre part la balance avant/arrière de chacun des réglages.

Je vous l’avoue : n’étant ni équipé d’une config surround ni un grand spécia­liste du multi­ca­nal, je ne saurais me pronon­cer sur la perti­nence de tout cela, sachant que Fabfil­ter n’a pas poussé ce pan de son logi­ciel jusqu’à inté­grer un enco­dage Ambi­so­nic. Nous ne sommes donc pas face à un concur­rent des produits de Dear Reality ou d’Au­dio Brewers, ce qui ne nous empê­chera pas d’al­ler voir comment cela sonne en bonne vieille stéréo…

Le son de choses

On commen­cera avec une caisse claire et une voix qui permettent d’ap­pré­cier les diffé­rences entre l’algo Modern, le Vintage et la modé­li­sa­tion de Plate :

PRO-R2-Snare-Dry
00:0000:04
  • PRO-R2-Snare-Dry00:04
  • PRO-R2-Snare-Modern00:04
  • PRO-R2-Snare-Vintage00:04
  • PRO-R2-Snare-Plate00:04
  • PRO-R2-Vocal-Dry00:10
  • PRO-R2-Vocal-Modern(2)00:12
  • PRO-R2-Vocal-Vintage(2)00:12
  • PRO-R2-Vocal-Plate(2)00:12

C’est aussi l’oc­ca­sion de tester le ducking inté­gré, sans puis avec :

PRO-R2-Vocal-Modern(2)
00:0000:12
  • PRO-R2-Vocal-Modern(2)00:12
  • PRO-R2-Vocal-Ducking00:10

Pour se faire une idée de la fonc­tion Gate, la batte­rie sera plus indiquée :

PRO-R2-Drums-Dry(2)
00:0000:07
  • PRO-R2-Drums-Dry(2)00:07
  • PRO-R2-Drums-gated­snare00:06

Ça marche carré­ment ! En sachant qu’à la croi­sée de tous les para­mètres du logi­ciel, on peut vrai­ment obte­nir tous types d’es­paces, et que les 40 secondes de temps de réverbe permettent d’al­ler titiller la Black­hole d’Even­tide :

PRO-R2-Drums-Dry(2)
00:0000:07
  • PRO-R2-Drums-Dry(2)00:07
  • PRO-R2-Drums-Ambiance00:07
  • PRO-R2-Drums-Ambian­ce200:07
  • PRO-R2-Drums-Plate00:07
  • PRO-R2-Drums-Vintage Hall00:07
  • PRO-R2-Drums-40s00:25

On s’in­té­res­sera aussi à l’ap­port de la fonc­tion Thick­ness, jouant tant sur la densité que la clarté de la réverbe. Passé le piano dry, vous enten­dez la réverb avec Thick­ness à 0, puis à –100 puis à 100 :

PRO-R2-Rhodes-Dry
00:0000:16
  • PRO-R2-Rhodes-Dry00:16
  • PRO-R2-Rhodes-Thick­ness000:20
  • PRO-R2-Rhodes-Thick­ness-10000:20
  • PRO-R2-Rhodes-Thick­ness10000:20

 Et évidem­ment, ce bon vieux Rhodes donnent envie de pous­ser Charac­ter à fond pour aller cher­cher des modu­la­tions qui font un magni­fique chorus :

PRO-R2-Rhodes-Thick­ness100­Cha­rac­ter100
00:0000:20

Nous reste à juger de la fonc­tion d’im­port des réponses à impul­sion. On compa­rera ainsi le résul­tat obtenu avec des réponses impul­sion­nelles réali­sées par Sample­craze sur la Bricasti M7 et rendues par la Convo­lu­tionXT, puis ce que Pro-R 2 en a fait (les fichiers « - Import ») :

PROR2 – Bricas­ti­Hea­vyAm­bience
00:0000:08
  • PROR2 – Bricas­ti­Hea­vyAm­bience00:08
  • PROR2 – Bricas­ti­Hea­vyAm­bience – Import00:08
  • PROR2 – Bricas­ti­Sun­set­Cham­ber00:08
  • PROR2 – Bricas­ti­Sun­set­Cham­ber- Import00:08
  • PROR2 – Bricas­tiS­tu­dioA00:06
  • PROR2 – Bricas­tiS­tu­dioA – Import00:06

Où l’on comprend que Pro-R 2 n’est pas un cloneur de réverbe et qu’il ne va pas se muer d’un coup d’un seul en une réplique parfaite de Bricasti M7, mais plutôt un imita­teur doué et que l’ana­lyse des réponses impul­sion­nelles qu’on lui soumet est plutôt juste en termes de timing comme de densité : on obtient ainsi des ersatz tout à fait exploi­tables et qui, une fois dans le mix, feront d’au­tant mieux le job qu’on peut affi­ner le modèle soi-même. C’est d’au­tant plus impor­tant que le soft fait toutes ses imita­tions avec l’algo Modern quand le Vintage ou le Plate seront parfois plus indiqués en fonc­tion de ce qu’on lui donne à manger…

Reste à voir comment le plug-in s’en sort avec une réverbe à ressorts, vu que c’est l’im­passe que s’est permis Fabfil­ter pour cette Pro-R 2. Pour le savoir, on se servira de deux IR de Space Echo, plus ou moins satu­rées. C’est cracra à souhait mais il s’agit d’ap­pré­cier les limites du logi­ciel :

PROR2 – RE201­low­drive
00:0000:08
  • PROR2 – RE201­low­drive00:08
  • PROR2 – RE201­low­drive – Import00:08
  • PROR2 – RE201­high­drive00:08
  • PROR2 – RE201­high­drive – Import00:08

bellspringEt je dois dire que, même si on ne peut pas parler d’une réverbe à ressorts à l’ar­ri­vée dans Pro-R 2, il est quand même assez éton­nant de voir comme le logi­ciel se débrouille pour mimer les réso­nances de l’ori­gi­nal : pour ce faire, il va faire des cloches violentes dans le post-EQ, ce qui ne sera pas forcé­ment heureux en termes de résul­tat, vu que le côté canard va vite géné­rer des fréquences qui tour­nent…

Il n’y a pas de miracle donc, même si le soft étonne, au point qu’on se dit que la fonc­tion méri­te­rait même mieux : plutôt que de devoir passer par une réponse impul­sion­nelle, on rêve que Pro-R 2 soit en mesure d’écou­ter un autre plug-in de réverbe pour l’imi­ter. Sa capa­cité de mimé­tisme lui assure en tout cas de pouvoir en partie se substi­tuer à pas mal de réverbes concur­rentes : vous ne juriez que par les Plate de votre Softube TSAR, les Halls de votre Vinta­ge­Verb ou les rooms de votre 2016 Stereo Room ? Au prix d’un peu d’huile de coude, vous pouvez impor­ter vos presets favo­ris dans Pro-R 2 et gageons qu’avec un petit peu d’édi­tion, vous obtien­drez quelque chose de suffi­sam­ment proche pour vous permettre de bosser avec un seul et unique plug-in, ce qui simpli­fiera gran­de­ment votre quoti­dien.

Certes, on aime­rait que Fabfil­ter se penche sur le sujet très parti­cu­lier de la Spring, même si l’usage des réverbes à ressort ne relève pas forcé­ment d’un outil comme Pro-R 2 car ce sont des effets qu’on utilise plus en insert pour donner un gros carac­tère à des sons qu’en envoi pour travailler la spatia­li­sa­tion dans le mixage (encore que je sois un gros fan de ce que propose PSP avec Spring­box et Nexcel­lence, même pour du mix)…

On aura le même raison­ne­ment en notant l’ab­sence de distor­sion ou d’in­ver­sion comme de pitch shif­ter pour faire des Shim­mer reverb, ce qui fera que Pro-R 2 ne concur­ren­cera pas les plug-ins orien­tés sound design comme on en trouve chez Even­tide avec Mangle­Verb ou Native Instru­ments avec Raüm, par exemple. Notons toute­fois que les 40 secondes de temps de réverbe font qu’elle suppléera sans problème une Black­ho­le… Et redi­sons-le : ces manques ne sont toute­fois pas des défauts rédhi­bi­toires, la Pro-R 2 étant avant tout pensée comme un outil pour le mixage et non un effet spécial, ce qu’elle fait extrê­me­ment bien en étant à la fois complète et simple à comprendre puis para­mé­trer…

Conclu­sion

Fabfil­ter a encore frappé, et il a même frappé d’une des plus magis­trales façons de toute son histoire en nous livrant un plug-in à la fois extrê­me­ment ergo­no­mique et diable­ment complet. Pro-R était déjà une excel­lente réverbe mais cette Pro-R 2 propose tant de choses dans une inter­face si abou­tie et avec tant de poly­va­lence que nombre de concur­rents, même les meilleurs, vont devoir revoir leur copie. Car si elle ne rempla­cera pas telle émula­tion ou tel proces­seur à convo­lu­tion pour certains cas précis, s’il lui manque encore d’ému­ler les très parti­cu­lières réverbes à ressorts et peut-être de s’aven­tu­rer sur des terres plus créa­tives, la Pro-R 2 a tout du plug-in que l’on dégai­nera en premier lieu avant les autres, parce qu’elle fera parfai­te­ment l’af­faire dans 95% des cas en trois clics. La mise à jour vaut-elle donc le coup pour les utili­sa­teurs de Pro-R ? Un million de fois oui ! Quant à ceux qui ne possé­daient pas la version précé­dente, avouons que son prix n’a rien de déplacé en regard de ce qui nous est proposé comme de la concur­rence, d’au­tant que l’édi­teur a un système intel­li­gent de remises pour récom­pen­ser ses plus fidèles utili­sa­teurs. 

Bref, une nouvelle réfé­rence est née, et il nous tarde du coup de voir ce que les Néer­lan­dais vous nous pondre pour la suite, vu qu’un certain nombre de leurs plug-ins attendent encore de passer en V2, quand un en parti­cu­lier attend de passer en V4…

9/10
Award Valeur sûre 2023
Fabrication (?) : Pays-Bas
Points forts
  • Pas d’IA mais un plug-in confondant d’intelligence !
  • Interface aux petits oignons, jolie, claire et redimensionnable à souhait
  • Excellent rapport polyvalence/simplicité
  • Les nouveaux algos Vintage et Plate
  • Paramètre Thickness intéressant
  • Le Freeze qui manquait
  • Le ducking ô combien pratique
  • L’Auto-Gate simple et efficace
  • La gestion du multicanal
  • La possibilité de porter le temps de réverbération jusqu’à 40 secondes !
  • Le mimétisme des fichiers de réponse impulsionnelle
  • Le nouveau navigateur de presets avec ses tags
  • Tout ce qu’on adorait déjà dans Pro-R dont le principe des courbes Decay Rate EQ et Post EQ et… le son !
Points faibles
  • Pas de modélisation de réverbe à ressorts
  • Pas de shimmer reverb ni de distorsion, ce qui restreint l'emploi pour le sound design
Auteur de l'article Los Teignos

Si j'avais eu le physique, nul doute que j'aurais fait un grand Sumo, mais vu que je ne pèse que 80 kg, j'occupe mon temps comme je peux entre musique et littérature.


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Si j'avais eu le physique, nul doute que j'aurais fait un grand Sumo, mais vu que je ne pèse que 80 kg, j'occupe mon temps comme je peux entre musique et littérature.