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Analo en solo
8/10
Award Qualité / Prix 2017
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Un an à peine après le Minilogue, Korg présente le Monologue, un nouveau synthé analogique monodique à mémoires au prix très abordable. Allez, on y retourne !

Au NAMM 2016, Korg avait jeté un pavé dans la mare avec le Mini­logue, un synthé analo­gique poly­pho­nique program­mable à tarif très serré. En fait, c’est de loin le synthé le moins cher de sa caté­go­rie, dont les spéci­fi­ca­tions tech­niques et les quali­tés sonores font le bonheur de ceux qui ont pu s’en procu­rer un. Alors que les clients commencent enfin à être servis en quan­tité suffi­sante, le construc­teur nippon présente le petit frère, quelques semaines avant le NAMM 2017. Voici donc le Mono­logue, un synthé analo­gique mono­dique ultra compact. On pour­rait trop vite penser qu’il s’agit ni plus ni moins d’une simple voix de Mini­logue dans un embal­lage encore plus restreint. Ce n’est qu’en partie vrai, puisque le Mono­logue propose des nouveau­tés au rayon synthèse qui lui confèrent un son diffé­rent du grand frère. Autant de bonnes raisons d’en faire un tour complet…

Alu et bois

Korg Monologue : Monologue 1

Le Mono­logue est du même type de concep­tion que le Mini­logue. La fini­tion est soignée mais un peu épurée par rapport à celle du grand frère : on perd le galbe et les débords de la façade en alu, ce qui laisse appa­raître les chants de la coque en plas­tique et la plaque arrière en bois. Les commandes directes ont aussi fait une cure d’amai­gris­se­ment : 15 poten­tio­mètres, 1 enco­deur cranté, 11 sélec­teurs (à cran ou à ressort), 7 boutons rectan­gu­laires et 16 boutons carrés. Leur rigi­dité inspire confiance : axes métal­liques bien fermes pour tout ce qui tourne, réponse franche pour les boutons et sélec­teurs. On retrouve le mini-écran OLED 10 × 20 mm visible sous tous les angles, fonc­tion­nant comme oscil­lo­scope en temps réel ou affi­cheur de valeurs. Le pitch bend conserve la forme d’un petit bâton métal­lique à ressort. En plus du pitch, il peut pilo­ter des para­mètres de synthèse. Le clavier dyna­mique de type slim est réduit à 2 octaves (mi à mi), ce qui permet de réduire la voilure (35 × 28 cm). Il est secondé par un sélec­teur de trans­po­si­tion sur plus ou moins deux octaves. C’est le prix à payer pour conte­nir le prix de vente à quelques centaines d’eu­ros, pour un synthé analo­gique avec mémoires et séquen­ceur.

Korg Monologue : Monologue 14

La partie arrière comprend une plaque de bois vissée, avec un décou­page pour la connec­tique : prise casque, sortie audio mono­pho­nique (pas de stéréo dans la machine) et entrée mono pour injec­ter des sources externes dans le filtre (toutes au format jack 6,35).

Viennent ensuite deux prises mini-jack pour la synchro (entrée/sortie par impul­sion), un duo d’en­trée/sortie MIDI, une prise USB type B (signaux MIDI unique­ment) et la partie alimen­ta­tion (pous­soir marche/arrêt tempo­risé, borne pour alimen­ta­tion externe de 9 V avec bloc à l’ex­tré­mité hélas non four­nie !). Il n’y a pas de prises pour pédales, c’est bien domma­ge… Sous le capot, on trouve une trappe pour rece­voir 6 piles (four­nies) de type AA, permet­tant une auto­no­mie annon­cée de 6 à 8 heures, suivant le type de piles.

Cent sons

Korg Monologue : Monologue 10

La prise en main du Mono­logue est abso­lu­ment immé­diate : ergo­no­mie basée sur une fonc­tion/un bouton avec trois types de réponses des poten­tio­mètres (saut, seuil, rela­tif), fonc­tion Load Panel (mode manuel), mémoires programmes réins­crip­tibles avec dump MIDI, affi­cheur complet (programmes, para­mètres, oscil­lo­scope) et séquen­ceur avec 16 boutons de pas dédiés. Il manque toute­fois une fonc­tion Compare.

Le mode Edit permet d’ac­cé­der à des para­mètres addi­tion­nels via les touches du séquen­ceur et l’en­co­deur. Cela concerne les réglages globaux (accor­dage, trans­po­si­tion, mode de réponse des commandes, courbe de vélo­cité, divi­sion tempo­relle et pola­rité de synchro en entrée/sortie, canal/filtre MIDI, routage MIDI/USB, brillance de l’écran, tempé­ra­ment du clavier, dumps MIDI), les programmes (porta­mento, Slide, desti­na­tion du pitch bend, synchro du LFO, suivi de clavier sur le VCF, réponse en vélo­cité du VCF et du VCA, ajus­te­ment du volume du programme, initia­li­sa­tion du programme, dump du programme) et le séquen­ceur (BPM, longueur, réso­lu­tion, swing, Gate, effa­ce­ment/acti­va­tion/lissage des mouve­ments).

Korg Monologue : Monologue 8

Le Mono­logue contient 100 programmes réins­crip­tibles, dont 80 pré-program­més. On les sélec­tionne avec l’en­co­deur, la touche [Shift] permet­tant d’ac­cé­lé­rer le mouve­ment par saut de 10. Tout est mémo­risé dans chaque programme, depuis les para­mètres de synthèse à ceux du séquen­ceur, y compris le tempo. Bravo ! Avec les commandes en accès direct, il est facile d’ob­te­nir rapi­de­ment une petite collec­tion de sons de basses, leads, percus­sions et effets spéciaux.

On se rend vite compte que l’on verse le plus souvent dans des sons tran­chants, voire agres­sifs. C’est le parti pris du construc­teur, qui a choisi cette voie pour ne pas faire doublon avec le Mini­logue. Résul­tat, il est déli­cat de créer des sons ronds et chauds avec le Mono­logue. Nous nous sommes pour­tant effor­cés de le faire dans nos exemples audio, pour chan­ger des démons­tra­tions que l’on trouve sur la toile. Nous avons appré­cié les ondes variables, les inter­ac­tions de VCO et le LFO ultra rapide, qui permettent de sortir des sentiers battus. La distor­sion apporte aussi son grain de folie. Sur des temps de relâ­che­ment d’en­ve­loppe élevés, le VCA a tendance à se rouvrir en cliquant, ce qui n’est pas très agréable sur les lentes ouver­tures de filtre (cf. exemple audio « Carrie Tribute »). Comme sur le Mini­logue, nous avons appré­cié la flui­dité impec­cable des commandes conti­nues, qui fait souvent défaut sur les machines sous contrôle numé­rique, même les plus chères. Nous retrou­vons la même réso­lu­tion de 1 024 valeurs (10 bits), ce qui suffit à élimi­ner tout effet d’es­ca­lier, en parti­cu­lier sur l’ac­cord des VCO et les réglages du filtre.

01 Bass 1
00:0000:54
  • 01 Bass 1 00:54
  • 02 Bass 2 00:14
  • 03 Bass 3 00:56
  • 04 Bass 4 00:15
  • 05 Selfo 00:18
  • 06 Sync Disto 00:26
  • 07 Ring Mod 00:34
  • 08 Wave Mod 00:19
  • 09 Inter­val 00:25
  • 10 Drums 00:33
  • 11 Voice and trash 00:42
  • 12 Carrie Tribute 00:53

Solo Korg

Korg Monologue : Monologue 3schemas diag.JPG

Le Mono­logue prend quelques secondes à l’al­lu­mage pour s’ac­cor­der, bien qu’il soit mono­dique. L’unique voix est consti­tuée de deux VCO, un mélan­geur, un VCF, une enve­loppe et un LFO. Le VCO1 s’ac­corde direc­te­ment sur 5 octaves avec le sélec­teur d’oc­tave global (mémo­risé), alors que le VCO2 dispose d’un réglage rela­tif de pieds (2–4–8–16) et d’un réglage fin (plus ou moins une octave par centième de demi-ton) ; il possède donc une plage de 10 octaves ! Le VCO1 est capable de produire trois ondes à contenu harmo­nique conti­nuel­le­ment variable sur 1 024 valeurs à partir d’une dent de scie, d’un triangle et d’une impul­sion. Sur le VCO2, l’im­pul­sion est rempla­cée par un géné­ra­teur de bruit blanc fixe ; cela aurait été bien de pouvoir chan­ger sa couleur. Les VCO peuvent inter­agir de deux manières exclu­sives : soit en synchro­ni­sa­tion, soit en modu­la­tion en anneau ; on perd donc la Cross-modu­la­tion du Mini­lo­gue…

Korg Monologue : Monologue 3schemas VCO.JPG

Un mixeur permet ensuite de mélan­ger le signal du VCO1 et du VCO2 (ou du VCO1 et de la modu­la­tion en anneau entre les VCO) et y ajoute l’éven­tuel signal présent à l’en­trée audio. La résul­tante entre alors dans le filtre passe-bas réso­nant 2 pôles. Avec une colo­ra­tion diffé­rente du filtre du Mini­logue en mode 2 pôles, on tire vers des sons plus agres­sifs et coupants. On parvient à l’auto-oscil­la­tion en pous­sant la réso­nance, avec une onde en sinus carac­té­ris­tique (cf. l’un des exemples audio). La fréquence de coupure et la réso­nance se règlent sur 1 024 valeurs, ce qui permet une réponse parfai­te­ment lisse. La fréquence de coupure est modu­lable par l’en­ve­loppe (quan­tité bipo­laire de –511 à +511), le suivi de clavier (0–50–100%, via le menu), la vélo­cité (idem) ou le LFO. Le signal passe ensuite dans le VCA, modu­lable par l’en­ve­loppe ou la vélo­cité (sur 128 valeurs). Un para­mètre permet d’ajus­ter le volume rela­tif de chaque programme de –25 à +25, afin d’ho­mo­gé­néi­ser les niveaux.

Quelques modu­la­tions

Korg Monologue : Monologue 11

Faute de molette de modu­la­tion, le pitch­bend est assi­gnable à une quin­zaine de para­mètres, hélas mutuel­le­ment exclu­sifs : le pitch (plus ou moins 12 demi-tons), le temps de Gate, les pitch/varia­tions/niveaux de chaque VCO, la coupure du filtre, la réso­nance, la quan­tité d’en­ve­loppe, les segments A/D, la vitesse et l’in­ten­sité du LFO, le temps de porta­mento. On peut aussi choi­sir un tempé­ra­ment de clavier pour chaque programme, parmi 20 modèles pré-sélec­tion­nés ou 12 modèles program­mables (6 sur les 128 notes MIDI et 6 sur une octave).

On dispose d’un LFO à trois formes d’onde (dent de scie, triangle, carré, mais pas de géné­ra­teur aléa­toire), capable de modu­ler de manière bipo­laire l’une des trois cibles suivantes : pitch global, formes d’onde des VCO et coupure du filtre. Il peut fonc­tion­ner selon trois modes : cycle lent (0,05 à 28 Hz), cycle rapide (0,5 à 2,8 kHz) et coup unique. En cycle rapide, la fréquence monte donc très large­ment dans le domaine audio, merci ! La fréquence peut aussi se synchro­ni­ser à l’hor­loge globale/MIDI par divi­sion tempo­relle (plusieurs dizaines de valeurs, de 4 à 1/2048 de temps). Le LFO ne fonc­tionne qu’en cycle libre, contrai­re­ment au LFO du Mini­logue qui dispose des deux modes.

Le Mono­logue ne dispose que d’une seule enve­loppe pouvant agir en même temps sur un para­mètre cible (VCO1+2, VCO2 ou VCF) et le VCA. Notons au passage que la possi­bi­lité de modu­ler les 2 VCO est une amélio­ra­tion par rapport au Mini­logue. Très simpli­fiée, l’en­ve­loppe offre trois modes astu­cieux pour contour­ner le fait qu’elle n’existe qu’en unique exem­plaire : le premier, AD, permet d’en­chai­ner les segments d’at­taque et de déclin ; le deuxième, AGD, permet de main­te­nir le son après le segment d’at­taque aussi long­temps qu’une touche est enfon­cée (Gate), puis de passer au relâ­che­ment ; dans ces deux cas, le segment de déclin fait aussi office de relâ­che­ment, l’en­ve­loppe affec­tant le para­mètre cible et le VCA de manière iden­tique ; dans le troi­sième mode, AD+G, le para­mètre cible est affecté par une enve­loppe AD (comme dans le premier mode), alors que le VCA fonc­tionne en Gate. Cela permet de décon­nec­ter l’en­ve­loppe du VCA, mais ce n’est tout de même pas aussi souple que deux enve­loppes sépa­rées, comme sur le Mini­logue. Le Mono­logue perd aussi la possi­bi­lité de pilo­ter la fréquence ou l’in­ten­sité du LFO par l’en­ve­loppe, dommage.

Séquences en mouve­ment

Korg Monologue : Monologue 20

Le Mono­logue est fait pour le mouve­ment. Il émet et reçoit des CC pour tous ses para­mètres via MIDI / USB, c’est donc un excellent candi­dat à l’au­to­ma­tion. Mieux, il est doté d’un séquen­ceur de 16 pas entiè­re­ment program­mable, semblable à celui du Mini­logue. On peut régler le tempo, la longueur (1 à 16 pas), la réso­lu­tion, le swing et le Gate. L’en­re­gis­tre­ment se fait indif­fé­rem­ment en temps réel ou en pas-à-pas.

En temps réel, le séquen­ceur fonc­tionne en auto-quan­ti­sa­tion à l’en­trée et Over­dub (la séquence tourne en boucle et on peut ajou­ter des notes ou écra­ser l’exis­tant) ; la touche [Rest] permet d’ef­fa­cer des notes à la volée sur chaque pas. En pas-à-pas, on choi­sit le pas à enre­gis­trer avec la rangée de 16 touches, puis on entre la note au clavier ; on peut aussi entrer des silences ou des liai­sons avec la touche [Rest], voire chan­ger le temps de Gate de la note en cours avec l’en­co­deur. Le mode pas à pas permet évidem­ment de modi­fier les notes après enre­gis­tre­ment.

Comme sur le Mini­logue, on peut aussi enre­gis­trer le mouve­ment de quatre commandes conti­nues en temps réel, en mani­pu­lant les poten­tio­mètres ou les sélec­teurs souhai­tés ; l’en­re­gis­tre­ment démarre au premier mouve­ment et s’ar­rête lorsque la boucle est bouclée (la lecture se pour­suit toute­fois). On peut réen­re­gis­trer des mouve­ments par-dessus une piste, les effa­cer (globa­le­ment ou piste par piste) ou les neutra­li­ser sans les effa­cer (piste par piste égale­ment).

Chaque piste de mouve­ment béné­fi­cie d’une fonc­tion de lissage, pour des tran­si­tions tout en douceur entre les pas. Par contre, il est impos­sible d’édi­ter les mouve­ments après coup. En lecture, on peut trans­po­ser la séquence en temps réel en acti­vant la touche [Key Trig/Hold], un bon point par rapport au Mini­logue ; dommage que le motif soit redé­clen­ché immé­dia­te­ment depuis le début dès qu’on appuie sur une touche !

Les notes séquen­cées sont trans­mises en MIDI/USB, c’est aussi une bonne nouvelle. En revanche, les CC des commandes en mouve­ment dans les séquences ne le sont pas. Chaque séquence est sauve­gar­dée avec son programme. Avec sa rangée de touches et son sélec­teur de mode, le séquen­ceur du Mono­logue est bien plus intui­tif que celui du Mini­logue.

Bonne compa­gnie

Au final, le Mono­logue est une excel­lente surprise. Les possi­bi­li­tés de synthèse sont plus simples que sur le Mini­logue, mais l’es­sen­tiel est conservé, avec deux véri­tables VCO, un filtre réso­nant, une enve­loppe, un LFO et un super séquen­ceur à pas. Sa prise en main immé­diate le destine aux musi­ciens/DJ de tout niveau en synthèse. La nature des oscil­la­teurs, le choix d’un filtre deux pôles et la distor­sion analo­gique inté­grée l’orientent prin­ci­pa­le­ment vers les sons agres­sifs, ce qui est un choix tout à fait louable mais pas univer­sel. Il est donc complé­men­taire au Mini­logue, avec qui il ne fera pas double emploi. Avec sa qualité de construc­tion, ses fonc­tion­na­li­tés inté­grées, son format clavier compact pour un tarif très étudié, le Mono­logue reçoit notre premier Award Qualité/Prix de 2017 !

Télé­char­gez les extraits sonores (format FLAC)

  • Korg Monologue : Monologue 1
  • Korg Monologue : Monologue 2
  • Korg Monologue : Monologue 3
  • Korg Monologue : Monologue 4
  • Korg Monologue : Monologue 5
  • Korg Monologue : Monologue 6
  • Korg Monologue : Monologue 7
  • Korg Monologue : Monologue 8
  • Korg Monologue : Monologue 9
  • Korg Monologue : Monologue 10
  • Korg Monologue : Monologue 11
  • Korg Monologue : Monologue 12
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  • Korg Monologue : Monologue 15
  • Korg Monologue : Monologue 16
  • Korg Monologue : Monologue 17
  • Korg Monologue : Monologue 18
  • Korg Monologue : Monologue 19
  • Korg Monologue : Monologue 20
  • Korg Monologue : Monologue 3schemas diag.JPG
  • Korg Monologue : Monologue 3schemas VCO.JPG

 

8/10
Award Qualité / Prix 2017
Points forts
  • Excellent rapport qualité / prix
  • VCO à ondes variables modulables
  • Interactions des VCO (Ring Mod, Synchro)
  • Filtre passe-bas 2 pôles bien typé
  • LFO avec mode rapide et coup unique
  • Séquenceur de mouvements
  • Transposition des séquences en temps réel
  • Petite distorsion analogique intégrée
  • 100 mémoires de programmes
  • Paramètres continus à 1024 valeurs
  • CC MIDI pour toutes les commandes
  • Clavier dynamique assignable au filtre et au volume
  • Entrée audio pour traiter des sources externes
  • Connectique avec synchro, MIDI et USB
  • Qualité de construction
  • Prise en main immédiate
  • Alimentation possible par piles
Points faibles
  • Très orienté sons agressifs
  • VCA qui a tendance à cliquer
  • Pas de PWM sur le VCO2
  • Une seule enveloppe restreinte
  • Destinations de modulation exclusives et simplistes
  • Pas d’arpégiateur
  • Clavier réduit à deux octaves
  • Pas de prises pour pédales
  • Bloc d’alimentation non fourni
Auteur de l'article synthwalker Passionné de synthés, concepteur produits et rédacteur presse

J'aime tous les synthés, avec une préférence pour les poly vintage à mémoires, qui m'accompagnent depuis le début des 80's. J'écris depuis 25 ans sur les synthés et j'ai contribué au développement de certains d'entre eux. Plusieurs centaines de mes articles ont été publiés sur Audiofanzine et auparavant dans les magazines PlayRecord, Recording, Keyboards, Musicsound et Musiciens.


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J'aime tous les synthés, avec une préférence pour les poly vintage à mémoires, qui m'accompagnent depuis le début des 80's. J'écris depuis 25 ans sur les synthés et j'ai contribué au développement de certains d'entre eux. Plusieurs centaines de mes articles ont été publiés sur Audiofanzine et auparavant dans les magazines PlayRecord, Recording, Keyboards, Musicsound et Musiciens.