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Devine Machine Krishna Synth
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Test de Krishna Synth

Synthé virtuel hybride de la marque Devine Machine

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Prix public US : $49 incl. VAT
Test écrit
Quand Krishna brama, on le vit chez nous

Connu pour l'excellente boîte à rythme GURU, Devine Machine revient avec Krishna, un synthé soustractif doté d'un ‘Frame Oscillator’ générant des formes d'ondes animées dont on peut contrôler la forme à chaque instant, et faisant de la resynthèse. De quoi faire la différence ?

Connu pour l’ex­cel­lente boîte à rythme GURU, Devine Machine revient avec Krishna, un synthé sous­trac­tif doté d’un ‘Frame Oscil­la­tor’ géné­rant des formes d’ondes animées dont on peut contrô­ler la forme à chaque instant, et faisant de la resyn­thèse. De quoi faire la diffé­rence ?

Boite

Krishna Synth se télé­charge direc­te­ment sur le site de Devine Machine, et se présente sous la forme d’un plug-in au format VST seule­ment (les formats AU et RTAS sont prévus dans un futur proche) pour PC et Mac. Par contre, le télé­char­ge­ment est assez consé­quent, puisque Krishna Synth est livré avec 6 Go de données ! On a donc un nombre impor­tant de presets sous la main (clas­sés par types) et de formes d’ondes animées à impor­ter. Il est fourni égale­ment avec deux docu­men­ta­tions (en anglais seule­ment, malheu­reu­se­ment) au format PDF, qui se révèlent ample­ment suffi­santes pour décou­vrir rapi­de­ment les diffé­rentes fonc­tion­na­li­tés. Au passage, une version boîte est dispo­nible moyen­nant un supplé­ment.

À première vue, le design de la bête semble assez simple. Toutes les fonc­tions ou presque sont acces­sibles sans avoir à se bala­der des heures dans des onglets, puisque 90% des para­mètres sont dispo­sés direc­te­ment sur l’in­ter­face graphique, ce qui rend l’uti­li­sa­tion de Krishna plutôt agréable. Des para­mètres avan­cés sont propo­sés à l’em­pla­ce­ment du Frame Oscil­la­tor, que nous verrons plus loin. On se demande d’ailleurs si l’os­cil­la­teur prin­ci­pal, dont les fonc­tion­na­li­tés sont l’atout prin­ci­pal du synthé­ti­seur, va tenir toutes ses promesses, et si le reste va révé­ler ou pas quelques surprises. Ne tirons pas de conclu­sion trop hâtive, et voyons pour commen­cer les modules ‘clas­siques’ que Krishna nous propose.

L’ar­chi­tec­ture sous­trac­tive

Krishna

Donc, en plus du Frame Oscil­la­tor, nous trou­vons deux oscil­la­teurs inspi­rés par le monde de l’ana­lo­gique, para­mé­trés très simple­ment : forme d’onde (sinus, carré, triangle, dents de scie ou bruit blanc), volume, panning, phase (posi­tion de départ de la forme d’onde), offset sur le pitch, ainsi qu’un contrôle de mixage entre la sortie de ces deux oscil­la­teurs… La plupart de ces para­mètres se retrouvent d’ailleurs sur l’os­cil­la­teur prin­ci­pal.

De plus, deux para­mètres regrou­pés sous le nom ‘Sync’ permettent d’ef­fec­tuer des asso­cia­tions des trois oscil­la­teurs pour faire de la modu­la­tion d’am­pli­tude (AM), de fréquence (FM) ou en anneau (RM). Un potard permet de choi­sir le type de modu­la­tion et les oscil­la­teurs concer­nés tandis que l’autre règle la quan­tité de modu­la­tion. C’est une fonc­tion très discrète, mais extrê­me­ment simple et effi­cace.

Enri­chis­se­ment du son

Pour rester dans la mode de l’ana­lo­gique, un unique filtre stéréo à modé­li­sa­tion analo­gique est dispo­nible, et se para­mètre en 3 régimes, passe-bas, passe-haut ou passe-bande, avec un contrôle de la fréquence de coupure et de la réso­nance. On regrette de ne pas avoir plus de types de filtres dispo­nibles, ou de ne pas pouvoir en coupler plusieurs à la suite, mais celui-ci fait plutôt bien son affaire au niveau sonore.

Oscillateurs

Krishna four­nit égale­ment à l’uti­li­sa­teur quelques effets sympa­thiques pour magni­fier le résul­tat sonore. Au programme, une distor­sion à tubes dont on peut régler le niveau avant la satu­ra­tion, un multi-effets qui peut fonc­tion­ner en phaser, flan­ger ou chorus, un délai, et une réver­bé­ra­tion. Ces effets se para­mètrent assez simple­ment, avec peu de potards, mais permettent d’ob­te­nir des résul­tats immé­diats et utiles.

Enfin, le logi­ciel propose via l’on­glet Master quelques para­mètres clas­siques, mode de fonc­tion­ne­ment en mono, legato, un pitch global, et le temps de porta­mento (glissé du pitch entre deux notes jouées à la suite).

Les panneaux de contrôle supplé­men­taires

Pour finir cet aperçu des fonc­tion­na­li­tés de base du synthé­ti­seur, inté­res­sons-nous aux onglets qui occupent la place du Frame Oscil­la­tor. En plus du para­mé­trage de l’os­cil­la­teur animé, nous verrons qu’il est possible d’af­fi­cher la forme de l’en­ve­loppe en cours. Trois autres onglets sont dispo­nibles, celui qui permet de gérer le MIDI Learn et d’af­fi­cher les assi­gna­tions MIDI CC aux para­mètres du logi­ciel ; un onglet qui sert d’ex­plo­ra­teur de presets ; et enfin, un onglet qui se faisait discret jusqu’à main­te­nant, mais qui a un inté­rêt capi­tal, celui des options.

En effet, cet onglet propose une quaran­taine de para­mètres supplé­men­taires, affi­chés sous forme de liste et clas­sés par caté­go­ries, qui permettent par exemple de modi­fier le compor­te­ment ‘ana­lo­gique’ des oscil­la­teurs 2 et 3, celui de chaque effet (délai, ampli­fi­ca­teur à tubes, chorus…), des enve­loppes, des LFOs, la poly­pho­nie, le mode unis­son… La présen­ta­tion de ces nouvelles carac­té­ris­tiques du synthé­ti­seur est assez peu claire (les couleurs !), et il sera sans doute néces­saire de faire un tour dans la docu­men­ta­tion pour se fami­lia­ri­ser avec chaque entrée, mais cela vaut le détour.

Modu­la­tion du son

Les enve­loppes

Enveloppes

Krishna four­nit trois enve­loppes AHDSR, qui peuvent être contrô­lées par la vélo­cité, la note jouée, et agir sur n’im­porte quel para­mètre du synthé­ti­seur. Le sigle AHDSR que nous n’avons pas l’ha­bi­tude de voir contrai­re­ment à son homo­logue ADSR, permet donc de contrô­ler le temps d’at­taque du son (Attack), le temps néces­saire avant le début de la décrois­sance avec volume main­tenu au maxi­mum (Hold), le temps de décrois­sance (Decay), le niveau en dB de soutien du son (Sustain), et enfin le temps pour s’éteindre après le relâ­che­ment de la touche du clavier (Release).

On remarque d’ailleurs la présence d’un panneau à l’em­pla­ce­ment du Frame Oscil­la­tor, qui affiche la forme de l’en­ve­loppe en cours d’édi­tion avec un axe tempo­rel précis, et qui met en couleur orange les para­mètres modi­fiés par l’en­ve­loppe. Au passage, l’as­si­gna­tion d’une commande se fait simple­ment par glis­ser-dépo­ser de l’en­ve­loppe vers le para­mètre, tout comme pour les LFO…

LFO et modu­la­tion

Les LFO (Low Frequency Oscil­la­tor) sont au nombre de 5, et permettent de faire varier la valeur de n’im­porte quel para­mètre du synthé­ti­seur à une vitesse que l’uti­li­sa­teur peut spéci­fier. Dans Krishna Synth, chacun d’entre eux peut être assi­gné à trois para­mètres, que l’on peut fixer via un glis­ser-dépo­ser comme pour les enve­loppes, ainsi que par un moyen bien pensé, à savoir un bouton qui récu­père le dernier mouve­ment effec­tué sur un para­mètre à la souris ! En effet, la forme du LFO peut être choi­sie parmi plusieurs formes d’ondes, dont une aléa­toire, et peut être dessi­née à la main ! Cette section fait égale­ment appa­raître un mini séquen­ceur qui permet de jouer une séquence de notes. Autres parti­cu­la­ri­tés de ces LFOs, on peut les para­mé­trer comme des oscil­la­teurs supplé­men­taires, ou faire en sorte qu’un LFO diffé­rent soit assi­gné à chaque voix…

Le Frame Oscil­la­tor

À présent, nous allons parler du cœur de Krishna Synth, de l’élé­ment qui fait à la fois l’ori­gi­na­lité et la force du synthé­ti­seur, à savoir son Frame Oscil­la­tor (oscil­la­teur par images). Le prin­cipe est le suivant : au lieu de se conten­ter d’avoir un oscil­la­teur à forme d’onde fixe, ou dans le meilleur des cas une forme d’onde avec un morphing entre A et B, Devine Machine propose une forme d’onde animée dont on peut modi­fier chaque état et voir la forme évoluer au cours du temps dans une fenêtre.

LFO
Frame oscillator

En pratique, la forme d’onde animée est compo­sée d’un certain nombre d’images ou frames en anglais, que cela soit 35 ou 1500, et on doit assi­gner à un LFO la varia­tion de l’image en cours, pour que la sortie de l’os­cil­la­teur change au cours du temps. Ainsi, les images peuvent être parcou­rues dans l’ordre, mais aussi de n’im­porte quelle manière possible, à la vitesse que l’on désire.

La ques­tion que l’on se pose à ce stade est donc : comment modi­fier chacune de ces images ? Il y a un certain nombre de moyens… On peut d’abord éditer les images à la main : un certain nombre d’ou­tils est dispo­nible pour ‘des­si­ner’ les formes d’ondes, du crayon de base aux fonc­tions qui permettent de créer des formes d’ondes plus lissées ou aux effets qui s’ap­pliquent en temps réel sur la forme d’onde sans modi­fier sa base (fonc­tion carré, bitcru­sher, miroir…). Sont dispo­nibles égale­ment des outils pour stabi­li­ser la phase de l’en­semble, gérer la liste d’images (ajou­ter, suppri­mer, insé­rer des images vides, norma­li­ser…). Main­te­nant, il semble diffi­cile de créer des formes d’ondes animées à partir de rien et d’édi­ter toutes les images une par une, à moins de se limi­ter à une dizaine d’états diffé­rents. C’est pourquoi il faut du maté­riel à la base…

Effets

Le plus simple est de puiser dans la biblio­thèque de formes d’ondes animées (movie files), qui fait plusieurs giga-octets. On lui repro­chera par contre d’être très mal agen­cée, car chacun de ces fichiers est indexé par un numéro, et sans aucune infor­ma­tion sur son contenu. Il faudra donc les parcou­rir au hasard pour trou­ver son bonheur… On peut égale­ment partir d’un preset, ceux-ci étant enre­gis­trés avec leurs formes d’ondes spéci­fiques.

Mais surtout, un autre point fort de Krishna Synth, c’est la possi­bi­lité de partir d’un fichier son externe en utili­sant l’al­go­rithme d’ana­lyse resyn­thèse F.A.T. (Frame Analy­sis Tech­no­logy), pour créer une forme d’onde animée qui aura un certain nombre de carac­té­ris­tiques en commun avec le son d’ori­gine, ce qui est très diffé­rent de simple­ment lire un fichier audio. Dans un sampleur, tout le monde a déjà essayé de jouer un son avec deux octaves de plus ou de moins qu’à l’ori­gine, et ce n’est pas souvent génial… Avec un algo­rithme d’ana­lyse resyn­thèse, le son a le même contenu harmo­nique quelque soit la note jouée, même si la repro­duc­tion du son d’ori­gine est perfec­tible. Qu’à cela ne tienne, nous obte­nons quoi qu’il arrive une nouvelle forme d’onde animée, et donc du nouveau maté­riel pour du sound design. Notons égale­ment que l’im­port n’est pas limité aux fichiers sonores !

Nous avons donc essayé d’im­por­ter des fichiers sonores externes, et de modi­fier les autres para­mètres pour faire un preset, histoire de véri­fier l’uti­li­sa­tion de l’al­go­rithme d’im­port dans la pratique. Nous sommes partis de notes uniques enre­gis­trées par plusieurs instru­ments (guitare élec­trique satu­rée, cordes, flûte, chœurs…). Les résul­tats sont aléa­toires, parfois l’ins­tru­ment est très bien repro­duit, parfois on recon­naît son contenu harmo­nique, parfois ça ne fonc­tionne pas et le résul­tat lorsqu’on s’éloigne de l’oc­tave d’ori­gine peut être déce­vant. Un temps d’ana­lyse est néces­saire, et dépend de la longueur du son à trai­ter. Vous pouvez entendre les résul­tats dans la rubrique médias du test.

Vous pouvez entendre les résul­tats dans la rubrique médias du produit. Plusieurs sons sont trai­tés par l’al­go­rithme d’ana­lyse synthèse. Dans le fichier audio d’exemple, vous pour­rez entendre le son origi­nal, suivi du son synthé­tisé joué sur plusieurs octaves. Cela permet de consta­ter les limites du Frame Analy­sis Tech­no­logy, qui repro­duit plus faci­le­ment les sons ayant un compor­te­ment harmo­nique simple, comme la flûte japo­naise ou le piano élec­trique de notre exemple. Sur des sons comme l’en­semble de cordes voire la guitare satu­rée, la tech­nique montre ses limi­tes… Ces samples ont été réali­sés avec la fonc­tion « import a sound » de Krishna, en réglant le para­mètre « Frame » dans le LFO au maxi­mum. Les réglages peuvent être affi­nés avec les para­mètres de l’on­glet d’op­tions.

Les perfor­mances

Main­te­nant, nous allons répondre à quelques ques­tions pratiques que l’on peut légi­ti­me­ment se poser, sur les perfor­mances du logi­ciel. Tout d’abord, en termes de perfor­mances proces­seur, Krishna Synth peut se révé­ler gour­mand selon les effets qui sont acti­vés et surtout selon le nombre de voix jouées en même temps. Avec chaque effet en marche, le filtre, les 3 oscil­la­teurs et 6 notes jouées en même temps, la consom­ma­tion peut atteindre 40% du CPU sur la plate­forme de test, un PC avec 1 Go de RAM et un Pentium-M à 1.76 Ghz. Il faut donc avoir une confi­gu­ra­tion qui tienne le coup pour profi­ter de la bête, et faire atten­tion à ce qu’on fait en program­mant le synthé­ti­seur…

options

Concer­nant les perfor­mances sonores, plusieurs ques­tions doivent obte­nir des réponses : Krishna Synth est-il poly­va­lent ? Quel carac­tère a le son qui en sort ? Et surtout, quel plus apporte le Frame Oscil­la­tor en termes de nouvelles sono­ri­tés ? D’abord, il faut dire qu’aujour­d’hui il existe peu de synthé­ti­seurs logi­ciels payants qui sortent des sons ridi­cu­les… Avec Krishna Synth le son peut être ‘gros’ avec les bons para­mètres, car il y a de la modé­li­sa­tion analo­gique, la simu­la­tion de tube, même si il n’est pas dans la caté­go­rie des copies analo­giques. Ce qui change la plupart du temps d’un synthé­ti­seur à l’autre, c’est sa person­na­lité et sa poly­va­lence, qui souvent sont en oppo­si­tion.

Dans ce cas, au niveau poly­va­lence nous sommes servis, puisqu’en plus de propo­ser tous les éléments du synthé­ti­seur sous­trac­tif à modé­li­sa­tion analo­gique, les possi­bi­li­tés sont démul­ti­pliées par les capa­ci­tés du Frame Oscil­la­tor, qui peut impor­ter n’im­porte quel type de sons. Cela est démon­tré d’ailleurs par le nombre de caté­go­ries de presets… Pour la person­na­lité par contre, les sons qui sortent de Krishna Synth ne sont pas vrai­ment typés, et il est probable que la plupart des sono­ri­tés obte­nues pour­raient l’être avec de la patience sur d’autres synthé­ti­seurs ayant à peu près les mêmes fonc­tions… Ce qui fait vrai­ment son plus, c’est plutôt le fait de pouvoir arri­ver à ce résul­tat rapi­de­ment, et de pouvoir expé­ri­men­ter à l’in­fini avec l’im­por­ta­tion de sons acous­tiques ou tota­le­ment impro­ba­bles…

Conclu­sion

Pour conclure ce test, on peut dire que Krishna Synth est un instru­ment virtuel plutôt inté­res­sant. Pourvu d’une archi­tec­ture de synthé­ti­seur sous­trac­tive très clas­sique, mais effi­cace, d’une ergo­no­mie agréable, et surtout d’un concept inno­vant qui éveillera la curio­sité et la créa­ti­vité des bidouilleurs. On peut dire que Devine Machine s’est creusé la tête pour se démarquer du nième synthé­ti­seur de certains concur­rents plus gros…

Mais histoire de faire mon rabat-joie de service, je dois repro­cher à Krishna Synth de ne pas être irrem­plaçable dans un set de synthé­ti­seurs. On peut le consi­dé­rer comme un synthé­ti­seur sous­trac­tif très amélioré, mais je ne suis pas convaincu à 100% par l’ap­port du Frame Oscil­la­tor, qui peut deman­der un inves­tis­se­ment consé­quent avant de livrer tous ses secrets (tester tous les movie files, diffé­rents types de fichier audio exter­nes…), et qui ne fait qu’amé­lio­rer une struc­ture de synthèse vue et revue, sans impres­sion­ner au niveau rendu. J’at­tends encore le synthé­ti­seur qui va calmer la satu­ra­tion du marché en la matiè­re…

Néan­moins, je tire mon chapeau pour l’ori­gi­na­lité et la qualité de la fini­tion, et je ne peux que conseiller à ceux qui recherchent un synthé­ti­seur sous­trac­tif poly­va­lent qui sorte du lot, de tester la version de démons­tra­tion sur le site offi­ciel… À condi­tion d’avoir plusieurs giga-octets libres sur son disque dur (pour la version commer­ciale), et un ordi­na­teur assez puis­sant !

Points forts
  • L'originalité
  • L'analyse-resynthèse et l'animation de la forme d'onde
  • La polyvalence
  • La bibliothèque de presets et de formes d'ondes animées conséquente
  • La simplicité d'utilisation et la clarté de l'interface
  • Les modulations AM, FM et RM
  • La possibilité de dessiner à la souris la forme des LFO
Points faibles
  • On peut être un peu perdu face au concept du Frame Oscillator
  • Un unique filtre
  • La présentation des paramètres avancés
  • Les 2000 formes d'ondes animées indexées par des numéros, sans aucun tag ou classement
  • La taille de l'ensemble sur le disque dur (plusieurs gigaoctets)
  • Documentation en anglais seulement
Auteur de l'article Wolfen

Développeur freelance pour de nombreuses sociétés dans le domaine de l'industrie musicale, créateur de la marque Musical Entropy, et musicien qui achète plus de matos qu'il n'en joue

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