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Cakewalk Rapture Pro
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Test du Cakewalk Rapture Pro

Synthé virtuel à tables d'ondes de la marque Cakewalk

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Test écrit
9 réactions
Velocirapture
5/10
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Nouvelle mouture dans laquelle Cakewalk réunit et met à jour Rapture et Dimension Pro, Rapture Pro se veut offrir le meilleur des deux mondes, synthèse et lecture d’échantillons. Voyons ce que donne le résultat de cette hybridation.

Le Winter NAMM 2006 avait été l’oc­ca­sion pour Cake­walk de présen­ter un nouveau synthé PC et Mac (ce qui avait donné lieu à quelques spécu­la­tions quant à une version Mac de Sonar, Dimen­sion Pro ayant déjà béné­fi­cié d’une version pour l’OS d’Ap­ple…), Rapture. Utili­sant la lecture de tables d’ondes, le synthé présen­tait une archi­tec­ture assez musclée, avec six Elements stéréo (quasi des synthés complets, entiè­re­ment program­mables), deux filtres multi­modes par oscil­la­teur (jusqu’à 45 oscil­los…), une quaran­taine de géné­ra­teurs de forme dyna­mique (Enve­loppes), LFO et géné­ra­teurs de pas, une matrice de modu­la­tion très complète et autres joyeu­se­tés. Comme la plupart des instru­ments virtuels sous la bannière Cake­walk (Penta­gon, z3ta+, SFZ+­Pro­fes­sio­nal, etc.), les deux synthés ont été conçus par René Cebal­los (créa­teur de rgc:audio, nom sous lequel a été réali­sée la plupart des instru­ments, avant que Cake­walk ne rachète la société). Il semble­rait qu’il ne travaille plus chez Cake­walk (pas moyen d’avoir confir­ma­tion/infir­ma­tion), et qu’in­ci­dem­ment la réali­sa­tion de Rapture Pro ne soit pas de son fait.

Mais peu importe, d’une certaine manière. L’idée de Cake­walk derrière cette réunion de deux produits (au prix de la dispa­ri­tion de l’un et de l’autre de leur page Produits, même si on trouve encore une page dédiée à Dimen­sion Pro, petite inco­hé­rence) est de propo­ser une station de synthèse très complète, combi­nant synthèse sous­trac­tive (la lecture de tables d’ondes de Rapture diffère des clas­siques du genre au sens où elle est plus conçue pour produire des formes d’ondes à cycle unique) et lecture d’échan­tillons, spécia­lité de Dimen­sion Pro (même si en dessous d’une certaine longueur, les échan­tillons sont gérés comme des formes d’ondes à cycle unique). Il n’est donc pas éton­nant que Rapture Pro soit livré avec une banque d’échan­tillons/tables d’ondes de presque 10 Go (celle de Dimen­sion Pro pesait sept Go). 

Machine de test

MacPro Xeon 3,2 GHz
OS 10.10.4
Cake­walk Rapture Pro 2.0.1.509 puis 2.0.2.541
Logic Pro X 10.1.1

On le sait, l’union fait la force. Mais depuis quelque temps, l’offre en matière de synthèse a de quoi réjouir tout amateur de sound design, aussi bien du côté de produits répliquant des clas­siques que de celui de démarches plus créa­tives : si l’on prend les plugs récents (je mets de côté volon­tai­re­ment les synthés hard­ware et ne nomme que ceux qui ont été testés sur AF), les u-He Diva, Native Monark et la série incluse dans Komplete 10, Artu­ria Matrix-12 V, Xfer Serum, la version 2 d’Om­ni­sphere promettent déjà des nuits de recherches. Il faudra aussi bien­tôt parler des offres sur iPad et tablettes Android, qui commencent à deve­nir assez éton­nantes, notam­ment et évidem­ment en matière de gestes musi­caux.

Où Rapture Pro se place-t-il donc dans cette offre que l’on quali­fiera de plétho­rique ?

Intro­du­cing Cake­walk Rapture Pro

Le logi­ciel est donc Mac et PC (Windows 7 et 8, Mac OS X à partir de 10.7.5), et livré sous forme de plug-ins compa­tibles VST2i, VST3i et Audio Unit ainsi que sous forme d’ap­pli­ca­tion auto­nome (Stan­da­lone, 32 et 64 bits), mais dans ce dernier cas unique­ment sous Windows, tant pis pour les utili­sa­teurs Apple. Dommage.

Cakewalk Rapture Pro

Acheté neuf il en coûtera 199 dollars (au moment de la rédac­tion de ce test, on peut le trou­ver chez divers reven­deurs autour de 149 $), et une mise à jour pour les posses­seurs d’au moins un instru­ment virtuel Cake­walk, leur permet de béné­fi­cier d’un tarif préfé­ren­tiel (79 $). Cake­walk a mis en place un système d’au­to­ri­sa­tion via un Cake­walk Command Center (CCC), qui gère tous les produits enre­gis­trés et qui inclut cinq vidéos sur Rapture Pro que l’on peut regar­der pendant le télé­char­ge­ment. Il suffit de se connec­ter pour télé­char­ger, acti­ver, mettre à jour les logi­ciels possé­dés. Une tendance qui se géné­ra­lise, avec des quali­tés (les ordis récents ont de plus en plus tendance à se débar­ras­ser des lecteurs optiques), mais qui a ses défauts : pas d’in­ter­net, pas de solu­tions (plan­tage disque, etc.). 

Le CCC télé­charge d’abord les instal­leurs (plug et 12 biblio­thèques de samples), ce qui permet de les archi­ver, puis décom­presse le tout et le répar­tit dans les empla­ce­ments prévus. On se retrouve ainsi à la tête d’une biblio­thèque de sons, présets, formes d’ondes de LFO et échan­tillons de presque 14 Go.

Prin­cipes à l’œuvre

Rapture Pro est composé de six Elements, chacun d’eux pouvant être vus comme un synthé complet (en effet consti­tué d’un oscil­la­teur à table d’onde, de filtres, d’am­pli, de modu­la­teurs conti­nus, one shot ou par pas), que l’on utili­sera donc pour construire des sons consti­tués de plusieurs layers, ou au contraire comme un synthé multi­ca­nal (jusqu’à six, donc), ou comme un mélange des deux, toutes les combi­nai­sons étant possibles. Seule restric­tion, et diffé­rence avec un synthé modu­laire, presque aucune inter­ac­tion n’est possible d’un Element à l’autre : on ne peut en effet qu’uti­li­ser la fonc­tion Chain To Next Element, qui rend communs les effets et EQ des éléments, ou Ring Modu­late Previous Elements, qui permet de créer une modu­la­tion en anneau.

Cakewalk Rapture Pro

Un Program sera donc consti­tué de plusieurs Elements, sachant que Rapture Pro peut char­ger les siens propres, mais aussi ceux de Rapture et Rapture LE ainsi que ceux de Dimen­sion Pro et LE. Poly­va­lence encore plus grande en ce qui concerne les formats audio, puisque l’ins­tru­ment recon­naît les .SFZ, .WAV, .AIF, .FLAC et les diffé­rents formats Recycle ! 

On accè­dera à ces Programs via le Brow­ser, présen­tant les banques (sont instal­lées d’ori­gine celles de Rapture Pro, de Dimen­sion Pro et de Rapture Clas­sic, et l’on peut acqué­rir des exten­sions), les Types (par instru­ment, famille sonore) et Program (l’ins­tru­ment propre­ment dit) avec une quatrième colonne Info (qui donne même le nombre de fois où un Program a été char­gé…). Les deux grandes pages de program­ma­tion et modi­fi­ca­tions seront celle de l’Ele­ment et celle du Mixer.

Commençons par la première.

Les six Elements

Cakewalk Rapture Pro

Même si l’in­ter­face inclut beau­coup d’élé­ments (de modules), on s’y retrouve quand même via une orga­ni­sa­tion en quatre rangées (en plus de la barre d’ou­tils, de sélec­tion des Elements et de menus en haut du logi­ciel). La première rangée offre un oscil­la­teur (OSC/SMP) pouvant héber­ger aussi bien du multi­sample qu’une forme d’onde à cycle unique ou une table d’onde à propre­ment parler. On choi­sira la « forme d’onde » parmi les très nombreux choix propo­sés par l’édi­teur, dont on pourra ajus­ter la phase. On déter­mine ensuite la qualité de rendu, notam­ment quand des mouve­ments de hauteur sont atten­dus, évitant en haute réso­lu­tion des problèmes d’alia­sing, ainsi que le nombre de voix jusqu’à neuf, avec possi­bi­lité de Detune. Detune qui servira à régler le niveau de modu­la­tion en anneau si l’on active l’op­tion (l’os­cillo est alors dédou­blé). On trouve ensuite diffé­rents réglages de trans­po­si­tion et de suivi de clavier, de volume et de pan. Fonc­tions inté­res­santes : certains sons incluent des fichiers MIDI, que l’on peut expor­ter depuis la section MIDI Input et l’on peut impor­ter des fichiers Scala (pour les micro-accor­dages et autres tempé­ra­ments parti­cu­liers).

Plutôt que d’im­plé­men­ter un clas­sique système de filtrage, l’édi­teur a opté pour une confi­gu­ra­tion faisant appel à trois DSP, deux filtres et un EQ. De plus, il offre plusieurs routing, ce qui permet de créer un ensemble de sculp­ture du son très souple. Les filtres sont évidem­ment multi­mode et multi­pente, de type Pass (Hi, Lo, Band, avec ou sans réso­nance, All), Peak, Comb, à variable d’état et Rejec­tion (non réso­nant). Les DSP sont majo­ri­tai­re­ment des outils de satu­ra­tion, d’over­drive et de réduc­tion de bits et de fréquence d’échan­tillon­nage. On termine enfin cette partie avec un EQ trois bandes pouvant être confi­gu­rées en para­mé­trique, low et high shelf, avec sélec­tion de la fréquence, gain bipo­laire et facteur Q.

Cakewalk Rapture Pro

L’en­semble consti­tue une section très puis­sante, véri­table outil de sound design. On conti­nue avec un effet d’in­sert, à choi­sir entre toutes sortes de délais, de réverbes, de modu­la­tions (chorus, phaser, etc.) et des distor­sions, et évidem­ment tous les réglages néces­saires pour les para­mé­trer, ainsi qu’un Dry/Wet. Seul regret, alors que quasi­ment toutes les sections voire modules d’une section disposent d’un bouton d’ac­ti­va­tion/désac­ti­va­tion, l’ef­fet d’in­sert n’en est pas pourvu.

On termine par l’étage de modu­la­tion, lui aussi très correc­te­ment doté : un Step Gene­ra­tor (jusqu’à 128 pas, avec toutes les options de synchro possibles, profon­deur et lissage), un géné­ra­teur de forme dyna­mique extrê­me­ment puis­sant (avec points et segments virtuel­le­ment illi­mi­tés, forme, suivi de clavier, suivi de vélo­cité indé­pen­dants pour chaque segment, points de bouclages, zoom, etc.) et un LFO/Suivi de clavier qui ne l’est pas moins (en dehors des réglages habi­tuels, l’édi­teur offre plus de 80 formes d’ondes). Tous ces modu­la­teurs peuvent être utili­sés sépa­ré­ment et simul­ta­né­ment sur sept desti­na­tions ; la hauteur, le pan, le volume, ainsi que les fréquences de coupure et les réso­nances des deux filtres.

Prenons un seul Element, chargé d’une simple Sinus et d’un délai. En mani­pu­lant l’étage Filter et celui de modu­la­tion, on arrive très rapi­de­ment à ce type de résul­tats en perpé­tuelle évolu­tion (j’ai relâ­ché la note à un moment, sinon le son conti­nuait d’évo­luer) :

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Mélan­geons tout ça

Cakewalk Rapture Pro

Une fois la program­ma­tion effec­tuée pour tous les Elements dési­rés, il faudra les mélan­ger. À cet effet, Cake­walk a inclus une page dédiée, Mixer. On y retrouve l’équi­valent de six tranches, avec boutons d’ac­ti­va­tion, de chaî­nage (à partir de la deuxième), fader de volume, pan et deux départs d’ef­fets. En revanche pas de Solo (le bouton d’ac­ti­va­tion faisant office, lui, de Mute). Un bouton à gauche permet de confi­gu­rer les deux effets Master en paral­lèle (appelé Send…) ou en Series. Ces deux effets proposent les mêmes trai­te­ments que les effets que l’on trouve dans les Elements, sont implé­men­tés exac­te­ment de la même façon et sont communs à tous les Elements, comme les modules qui suivent.

On passe ensuite à une partie dédiée à la modu­la­tion (mais aussi propo­sant un Master EQ trois bandes), avec un Step Gene­ra­tor iden­tique à celui des parties indi­vi­duelles, à la diffé­rence près qu’il n’est actif que sur le volume, mais que l’on peut trai­ter diffé­rem­ment sur les canaux gauche et droit ! Une excel­lente idée, de quoi produire des modu­la­tions extrê­me­ment sophis­tiquées, tout en déli­ca­tesse. Modu­la­tions que l’on complè­tera idéa­le­ment par la Mod Matrix, offrant 24 rangs avec sélec­tion de la source, de la desti­na­tion, du taux et d’un lissage. Les sources sont toutes les commandes MIDI CC, le pitch, des données pseudo-aléa­toires, les huit boutons Macro et les deux pads X/Y (qui disposent d’un effet d’ac­cé­lé­ra­tion…) dispo­nibles dans la fenêtre Instru­ment, etc. J’ar­rête là, car sources et desti­na­tions occupent sept pages du manuel (quadri­lingue, dont français, ce qui devient une rare­té…). Dommage, le Vector Mixer, qui permet de passer d’un Element à l’autre, n’est pas inclus dans les Sources. Et, de fait, de très nombreux présets utilisent les diffé­rents contrô­leurs. Il serait d’ailleurs peut-être temps d’en­tendre les sons que propose ce synthé à l’ar­chi­tec­ture si puis­sante sur le papier.

Cakewalk Rapture Pro

Le logi­ciel offre de nombreuses imita­tions de sons réalistes, basés sur du multi­sample : pianos acous­tiques et élec­triques, basses, guitares, batte­ries et percus­sions, sons d’or­chestre, etc. Bien évidem­ment, Rapture Pro ne se présente pas comme un échan­tillon­neur capable de riva­li­ser avec les ténors du genre. D’où le côté parfois désuet des sons, mais pas plus que ceux que l’on trouve sur de grosses works­ta­tions maté­rielles et/ou logi­cielles, répon­dant ainsi plus ou moins au même concept qui préside à la réali­sa­tion de ces dernières.

Allons donc plutôt faire un tour du côté des sons synthé­tiques (en modi­fiant assez signi­fi­ca­ti­ve­ment la plupart des présets), en commençant par les basses.

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On arrive à obte­nir des sons assez compacts, mais il faut rentrer pas mal dans les présets. Et l’on constate aussi que les volumes sont par trop erra­tiques, avec les surprises inhé­rentes sur le système d’écoute du studio…

Passons aux leads.

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Là encore, beau­coup de diffé­rences dans les volumes. Et des program­ma­tions qui posent parfois ques­tion : comment utili­ser un lead dont le temps d’at­taque est très long ? Ah oui, faire des compos à 10 BPM…

Conti­nuons par les ambiances et autres claviers.

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Cakewalk Rapture Pro

S’il y a quelques très belles réus­sites, il y a aussi des choses incom­pré­hen­sibles, au niveau des volumes, attaques ou des tessi­tures. Et des sons pèsent parfois bien trop lourd (au-dessus de 2 Go de samples) pour les résul­tats sonores, que l’on peut souvent obte­nir avec trois Elements en synthèse (pour avoir au moins trois oscil­los) et un bon para­mé­trage des filtres…

Et quelques séquences pour finir.

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Bilan

Je l’avoue, je suis assez partagé, d’où la note. En commençant le test dès la mise à dispo­si­tion du logi­ciel pour test (juin 2015), puis après le récent update (voir l’en­ca­dré Machine de Test), la profu­sion de réglages et les possi­bi­li­tés de synthèse offertes semblaient d’une puis­sance à égaler n’im­porte lequel des synthés récents, qu’ils soient de concep­tion modu­laire, multi­tim­braux/layers ou de facture plus clas­sique (x oscil­los, x filtres au sein d’une seule archi­tec­ture mono­tim­brale). Pour­tant, et même s’il ne démé­rite pas vrai­ment, Rapture Pro ($199 tarif conseillé) peine à produire de gros sons tels qu’on peut en obte­nir de synthés beau­coup moins sophis­tiqués (mais conçus comme tels, concen­trant toute leur puis­sance dans l’ap­proche « analo­gique » du son), ou usant de synthèse simi­laire (on pense à Serum, bien sûr). 

On lais­sera de côté l’ap­proche pseudo-réaliste (les instru­ments « réels »), et on restera sur ce qui devrait faire de Rapture Pro le monstre de synthèse qu’il parait être. D’abord, les présets sont loin de rendre justice à la puis­sance du synthé. On est parfois étonné par le nombre de moyens mis en œuvre pour le résul­tat obtenu. Pour­tant, dès que l’on commence à rentrer dans la profon­deur du logi­ciel, en se deman­dant si l’on peut faire ça ou ça, la plupart du temps la réponse est posi­tive. Mais le son n’est pas toujours aussi « énorme » qu’on l’ima­gi­ne­rait. Il est vrai que l’on devient très diffi­cile, tant la luthe­rie virtuelle fait des progrès, non seule­ment dans l’imi­ta­tion (ce qui serait vain…), mais aussi dans une concep­tion sonore origi­nale. On pourra en revanche toujours créer des sons très évolu­tifs grâce aux excel­lents Step et Env Gene­ra­tor, ainsi qu’à la matrice de modu­la­tion. Et là, Rapture Pro est un candi­dat de choix pour ce type de sound design.

Télé­char­gez les extraits sonores (format FLAC)

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5/10
Points forts
  • Possibilités de synthèse extrêmement puissantes
  • Équivalent à six synthés à un oscillo
  • Conception de l’étage de filtre
  • Link des réglages d’effets
  • Step Generator global permettant de traiter différemment gauche/droite
  • Particulièrement performant pour tous les sons « animés »
  • Matrice de modulation
  • Deux Pads X/Y
  • Vector Mixer
  • MIDI Learn très complet
  • Bonne gestion des ressources CPU
  • Bibliothèques originelles de Rapture et Dimension Pro fournies
  • Tarif de l’upgrade
  • Possibilités de rajouter des extensions
  • Manuel quadrilingue
Points faibles
  • Pas d’interaction entre Elements autre que Ring Mod
  • Pas de boutons Mute sur les FX
  • Manque de cohérence entre les volumes de présets
  • Présets ne rendant pas assez justice au potentiel du synthé
  • Sons utilisant des samples trop lourds pour le résultat sonore
  • Utilisation trop systématique de réverbe et délai
  • Sonorités définitivement « numériques »
  • Quelques bugs, lors d’automation ou mouvements trop rapides via MIDI CC
  • Manque une section globale pour la poly/monophonie
  • Pas de Standalone pour Mac

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