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Native Instruments Solid Mix Series
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Test de la Native Instruments Solid Mix Series

Test écrit
51 réactions
C’est du solide

Enrichissant sa série Studio Effects, Native Instruments s’attaque aux EQ et compresseurs du roi de la console, en particulier ceux de ses séries 4000 E et G.

Initiée avec Reflek­tor, conti­nuée avec les Vintage Compres­sors, la série Studio Effects de l’édi­teur Native Instru­ments est donc prolon­gée par la Solid Mix Series, ensemble regrou­pant un compres­seur, un EQ et un compres­seur de bus. Il n’échap­pera à personne, après avoir vu les inter­faces et les spéci­fi­ca­tions, que la source d’ins­pi­ra­tion de Native est le fabri­cant anglais SSL, et plus parti­cu­liè­re­ment les séries 4000 E et G.

Est-il vrai­ment utile de rappe­ler la place essen­tielle dans le son de la musique enre­gis­trée et la pratique du studio des quarante dernières années tenue par les consoles produites par le fabri­cant anglais ? Du Studio Compu­ter et de sa décli­nai­son avec inté­gra­tion du Total Recall au sein du SSL 4000 E Series Master Studio System à la créa­tion du MADI, sans comp­ter l’émer­gence de la « branche dissi­dente » deve­nue Oxford Digi­tal puis Sony Oxford, et le virage numé­rique pris dans les années 80, l’ex­cel­lence de la marque a plu aux plus grands ingé­nieurs du son et aux musi­ciens ayant pratiqué les produits, l’un des plus fameux d’entre eux, Peter Gabriel, en étant même devenu le copro­prié­taire.

L’ap­pa­ri­tion dans le monde numé­rique d’ému­la­tions des plus fameux éléments des consoles n’a pas tardé, et l’on ne compte plus les repro­duc­tions virtuelles du fameux Bus Compres­sor, des EQ des séries E ou G. Waves, URS, UA, Sonnox, Cyto­mic (liste non exhaus­tive), jusqu’à la marque elle-même avec ses Duende, ont tenté d’ap­pro­cher le son mythique de ces éléments, et c’est Native qui s’y attelle aujour­d’hui avec sa Solid Mix Series.

Intro­du­cing Solid Mix Series

Machine de test

MacPro Xeon 3,2 GHz
OS 10.6.8
Logic Pro 9.1.5
Guitar Rig Pro 5.0.2
Solid Mix Series

Le télé­char­ge­ment des trois plugs de la Solid Mix Series, compa­tibles Mac et Windows, s’ef­fec­tue après achat sur le site de l’édi­teur (199 euros, dispo­nibles unique­ment sous forme de bundle). L’en­semble est installé via la procé­dure habi­tuelle (Service Center, numéro de série, etc.). Rien de parti­cu­lier à signa­ler, les trois plugs se retrouvent dans l’on­glet Compo­nents, dans les caté­go­ries Dyna­mics pour les Solid Buscomp et Solid Dyna­mics, et dans EQ pour le Solid EQ. Eh oui.

La docu­men­ta­tion est instal­lée dans le dossier Native Instru­ments des Appli­ca­tions, en anglais unique­ment, ce qui devient une manie chez Native et peut être parfois pénible. Native s’est donc fendu de trois manuels, suffi­sant pour prendre en main les plugs, mais sans plus, ni histo­rique, ni réelle mise en pers­pec­tive.

Voici venu le temps d’un aveu : je n’ai pas de SSL 4000 à la maison, et ne pour­rai donc pas effec­tuer de compa­rai­son direc­te… En revanche, ce test mettra en face des plugs Native la version Univer­sal Audio des éléments dispo­nibles. C’est parti.

Des fréquences

Native Instruments Solid Mix Series

Façade grise, boutons de couleurs (Native a visi­ble­ment retenu la version Black Knob de l’EQ série E, conçue avec George Martin), on se retrouve en terrain connu, la confi­gu­ra­tion ne lais­sant pas non plus de doute : filtres passe-haut HPF (de 31 à 600 Hz) et passe-bas LPF (de 3 kHz à 48,9 kHz !) acces­sibles après ouver­ture de la sous-fenêtre du bas (symbole triangle sur la droite de l’in­ter­face), deux shel­ving LF et HF, (fréquence et gain) et deux para­mé­triques LMF et HMF (fréquence, gain et facteur Q). La parti­cu­la­rité des shel­ving est de pouvoir bascu­ler en mode semi-para­mé­trique, grâce au bouton Bell, qui change le compor­te­ment de la plage d’EQ de plateau à cloche. Autre réglage, fonda­men­tal quant au type de son, le sélec­teur permet­tant de choi­sir entre EQ de type série G et série E. Le compor­te­ment des LF et HF se verra doté d’une courbe plus douce, tandis que les HMF et LMF seront eux dotés d’un Q constant quel que soit le réglage de gain en mode E. En mode G, les pentes des LF et HF sont plus raides, et la largeur de bande variera selon le réglage de gain. Consé­quence, l’un pour le travail de préci­sion, l’autre pour des correc­tions plus souples. Le ± 20 dB des réglages de gain corres­pond à celui des séries G, les séries E n’of­frant que ± 15 dB.

Dernier élément de réglage, un menu dérou­lant offrant 14 présets, de correc­tion pour la grosse caisse, au « chatoie­ment » sur bus stéréo (il s’agit bien sûr d’un très léger boost en fréquences hautes). Le tour du plug est terminé, ne reste qu’à le faire entendre. Tout de même avant cela, je renvoie à deux choses concer­nant les EQ et l’im­plé­men­ta­tion d’une simple fonc­tion de trans­fert (je les avais déjà mention­nées dans le test des Focus­rite Midnight) : d’abord le livre L’au­dio­nu­mé­rique de Curtis Roads pour les types de filtres et d’EQ et leur compor­te­ment, notam­ment au niveau des rebonds, de la phase et autres effets induits (les lecteurs assi­dus d’AF connaissent l’im­por­tance du bouquin et l’his­toire de sa dernière version française) et puis ce site, rhyth­min­mind dont l’au­teur a publié un très édifiant papier (en anglais seule­ment) sur les EQ para­mé­triques logi­ciels (voir aussi la discus­sion sur Audio­fan­zine à ce sujet).

Compor­te­ment

Afin de comprendre comment travaille chaque version de l’EQ, voici quelques exemples sonores sur un bruit blanc, accom­pa­gnés de leur analyse fréquen­tielle via captures d’écran dans FreqA­na­lyst Pro de Blue Cat Audio (donc sur lesquelles les éven­tuels problèmes de phase ne seront pas lisibles), selon diffé­rents réglages. Ceux qui voudront entendre le résul­tat sonore le pour­ront aussi. D’abord, prenons notre bruit blanc.

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Ensuite compa­rons les pentes de coupure. Dans le premier exemple, on enten­dra le LF en mode shel­ving réglé à 155 Hz, avec un cut de 17 dB. D’abord E, ensuite G.

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Native Instruments Solid Mix Series

C’est très subtil, il est en effet très dur d’en­tendre une action diffé­rente (ce qui est un peu normal sur du bruit blanc, pas le plus simple à suppor­ter). Ce que confirme la mesure, en capture A : en blanc le bruit blanc, en rouge le mode E, en vert le mode G (le code couleur sera le même durant tout le test, sauf excep­tion préci­sée).

Native Instruments Solid Mix Series

C’est un peu plus flagrant avec le HF, où l’on peut clai­re­ment voir les diffé­rences de pente, je vous fais grâce de l’écoute du bruit blanc, capture B. En revanche, voilà ce que ça donne sur une cymbale, avec les mêmes réglages, un boost de 13,5 dB à 10 kHz, en confi­gu­ra­tion shel­ving. D’abord d’ori­gine, ensuite selon E et selon G.

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On passe aux para­mé­triques, avec comme premier exemple, une boucle batte­rie, qui gagnera à être plus défi­nie.

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Les correc­tions seront rela­ti­ve­ment légères, pas plus de 3 dB, sauf sur le LF qui monte à 7 dB. Le coupe-bas est réglé sur 75 Hz, la fonda­men­tale de la grosse caisse étant aux alen­tours de 70 Hz. On enten­dra d’abord la correc­tion façon série E, puis série G.

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Native Instruments Solid Mix Series

Les diffé­rences entre les deux modes n’ap­pa­raissent pas ici de manière flagrante d’un point de vue fréquen­tiel (peut-être quelques subti­li­tés au niveau de la phase).

On essaie tout de suite de repro­duire la même correc­tion avec le plug UA, qui modé­lise un Chan­nel Strip série E. Voir la capture C pour les réglages effec­tués sur l’un et l’autre. On réen­ten­dra la version E de Native puis UA.

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Sur le UA, les réglages sont moins solli­ci­tés pour arri­ver à un résul­tat assez proche, et l’image semble moins resser­rée, mais là aussi, c’est subtil. Il faut cepen­dant bouger les fréquences, les plugs n’étant visi­ble­ment pas cali­brés de façon iden­tique.

Pour entendre une diffé­rence réelle entre les deux modes chez Native, il faut pous­ser les réglages, comme ici. E d’abord, G ensuite.

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Native Instruments Solid Mix Series

Pour info, voici le type de cloche proposé par les EQ version Native, selon E et G, capture D, avec ces réglages : 2049 Hz/+13,2 dB/Q=2,40. La capture E montre en jaune le « même » réglage sur le plug UA. Notons la confir­ma­tion de la diffé­rence de cali­brage entre les plugs, puisqu’il a fallu centrer le UA sur 2570 Hz pour obte­nir la même couver­ture de fréquences.

Native Instruments Solid Mix Series

Concer­nant les réponses des deux séries chez Native, on voit que la diffé­rence ne tient pas seule­ment à la largeur de bande, mais aussi au volume. Par acquit de conscience, j’ai aussi mesuré la diffé­rence entre les deux en appliquant un offset de 3 dB à l’ana­lyse de la courbe, permet­tant de rattra­per la diffé­rence de volume, qui confirme si besoin était la diffé­rence de largeur de bande entre les deux modé­li­sa­tions.

Essayons ensuite une EQ en mode série G sur un piano. D’abord le piano d’ori­gine.

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Ensuite traité par Native, et par UA (en gardant à l’es­prit que UA est censé modé­li­ser une série E).

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On travaille réel­le­ment dans la finesse, les modi­fi­ca­tions sont subtiles, avec une tendance à accen­tuer un peu plus les aigus chez Native. Mais en termes de modi­fi­ca­tion, on peut aussi être un peu plus inci­sif, sans pour autant rentrer dans la dissec­tion comme certains plugs le permettent. La douceur typique SSL ? Peut-être bien.

Du canal au bus

Commençons par le Solid Dyna­mics, qui corres­pond à la section Dyna­mics de la console origi­nale. On y trouve un compres­seur et un expan­deur/gate. Native ayant fourni les sections sous forme de plugs sépa­rés, on pourra très faci­le­ment placer la section dyna­mique avant ou après l’EQ. Rappe­lons que ces choix sont fonda­men­taux, notam­ment dans la gestion de la compres­sion. Un compres­seur réagis­sant au signal entrant, on pren­dra soin d’en­le­ver du signal à trai­ter les éven­tuelles fréquences indé­si­rables, notam­ment ce qui se passe dans le bas, là où l’éner­gie déve­lop­pée pour­rait faire réagir le compres­seur de façon intem­pes­tive, et dans ce cas EQ avant. Tout comme sur un signal idéal, on pourra avoir envie de rattra­per un peu les consé­quences de la compres­sion, et dans ce cas EQ après. Et parfois EQ avant et EQ après, ce que permet très faci­le­ment le virtuel…

Côté compres­seur, on dispose d’un sélec­teur Soft/Hard, là où l’ori­gi­nal n’était que Soft Knee. Viennent ensuite le Thre­shold (de –20 à + 10 dB), le Ratio (de 1:1 à l’in­fini), le Release (de 0,1 à 4 secondes), un sélec­teur Fast Attack (permet­tant de passer sur l’ori­gi­nal de 30 ms à 3 ms pour une réduc­tion de 20 dB) et un autre Lin Rel (bascule d’un release loga­rith­mique à un release linéaire). Pas de bouton Make-Up Gain, comme sur l’ori­gi­nal la compen­sa­tion de la perte de gain est auto­ma­tique.

Au centre se pose un petit vumètre, dont le manque de préci­sion n’est pas vrai­ment idéal pour ce type de trai­te­ment. On conti­nue avec la section Gate/Expand, avec les sélec­teurs de fonc­tion, un Thre­shold (de –30 à +10 dB), un Ratio (de 0 à 40), et un Release (de 0,1 à 4 secondes). Là aussi, un bouton Fast Attack est dispo­nible, faisant passer le temps d’at­taque de 1,5 ms à 100 micro­se­con­des…

Enfin, cachés mais dévoi­lés par le bouton trian­gu­laire, les ultimes réglages, outre le menu dérou­lant de présets : un bouton de gain d’en­trée (+ 10 dB), un bouton Side­chain, un autre pour lier les modi­fi­ca­tions aux deux canaux (Link L-R), et un fader Dry en plus du Wet pour effec­tuer de la compres­sion paral­lèle direc­te­ment au sein du plug-in, bravo. Bien sûr, il faudra parfois pratiquer cette variante via un bus, en raison de la souplesse ainsi appor­tée (possi­bi­lité d’EQ, etc.).

Native Instruments Solid Mix Series

Le son du plug est assez doux, avec un son rela­ti­ve­ment trans­pa­rent, même si avec des temps d’at­taque et release courts, le compres­seur rajoute des harmo­niques, voir la capture F (en blanc le son de base, en rouge, le signal une fois passé dans le compres­seur). Voici quelques exemples audio, le premier sur une guitare dont on veut renfor­cer le côté inci­sif.

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Compres­sée d’abord, elle est ensuite « gatée » afin de réduire les réso­nances qui remontent, les tran­si­toires n’étant pas abîmées grâce aux modes Fast Attack.

Conti­nuons avec une voix, qui sera lissée, afin de rendre son déroulé plus linéaire et grigno­ter quelques dB pour le mix.

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Encore une fois, un compor­te­ment assez doux, même si le résul­tat de la compres­sion permet de remon­ter sensi­ble­ment le volume global.

Passons à la boucle de batte­rie. D’abord seule, puis subis­sant une compres­sion raison­nable, plus punchy, suivie d’une autre plus créa­tive.

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Même à des réglages extrêmes, on reste dans un champ sonore assez doux, loin des destruc­tions que l’on peut obte­nir avec d’autres compres­seurs. En cela, il est proche de ce que l’on attend d’un élément censé émuler du SSL. C’est vrai­ment un compres­seur de mix, c’est-à-dire un compres­seur auquel on ne deman­dera pas plus de 4 ou 5 dB de réduc­tion de gain.

Dernier petit exemple, un gate façon 80’s, sur la réver­bé­ra­tion d’une caisse claire, calé sur le tempo en jouant sur le Thre­shold et le Release.

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Conti­nuons avec le dernier élément de la Solid Mix Series, le compres­seur de bus de la série G, encore un élément qui a fait la gloire de SSL. Au menu, un réglage de Thre­shold (de –20 à + 20 dB), le Ratio (de 1:5 à 10:1, alors qu’on ne trouve sur l’ori­gi­nal que trois réglages, 2:1, 4:1 et 10:1), le Release (de 0,1 à 1,6 seconde et mode Auto) et un Make-Up Gain. On y ajoute un vumètre à aiguille direc­te­ment repris de l’ori­gi­nal, plus les boutons cachés Side­chain, Link L-R, Dry et Wet. Des fonc­tions et réglages en plus, mais manque l’Au­to­Fade, se déclen­chant sur un temps réglable, de une à 60 secondes.

Voyons ce qu’il donne sur une batte­rie, d’abord non trai­tée, puis version Native et version UA.

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Là encore, subti­lité plus que gros sabots (même si on peut le pous­ser, notam­ment pour la compres­sion paral­lèle), et compor­te­ment attendu, les éléments sont « glued » comme disent les Anglo-saxons. Et on retrouve aussi bien ce type d’ac­tion sur le piano des exemples précé­dents, qu’il rend un peu plus compact. Piano seul, Native et UA pour finir.

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Bilan

Native conti­nue son petit bonhomme de chemin avec ses effets dits de studio. Une réverbe à convo­lu­tion de bonne qualité, Reflek­tor, des compres­seurs vintage plus que corrects, un effet de trai­te­ment de tran­si­toires effi­cace même si légè­re­ment en dessous de son modèle et main­te­nant cette série inspi­rée par le paran­gon de la console, tous sont réali­sés avec une certaine réus­site.

On retrouve indé­nia­ble­ment le côté doux et subtil des trai­te­ments de la marque anglaise, un peu en deçà des copies d’autres éditeurs, mais sans non plus avoir à rougir du son d’en­semble. Des problèmes de cali­bra­tion parfois, quelques lour­deurs et ralen­tis­se­ments lors de l’uti­li­sa­tion dans Logic (dus à Guitar Rig ?), des vumètres peu précis, le fait que Guitar Rig ne bascule pas auto­ma­tique­ment en stéréo, ou l’ac­ti­va­tion par défaut du Gate géné­ral sont quelques-uns des reproches à formu­ler.

Sinon, la Solid Mix Series est un moyen de s’ha­bi­tuer à l’ap­proche sonore et aux fonc­tions de son inspi­ra­teur hard­ware, et offre une couleur supplé­men­taire dans son arse­nal (assez diffi­cile, voire quasi impos­sible à atteindre avec les plugs inclus dans votre DAW) à un prix raison­nable au regard de ses concur­rents logi­ciels, d’au­tant que le Guitar Rig 5 Player est toujours gratuit. Le plug Solid Dyna­mics est un peu au-dessus des deux autres par la réus­site de son inté­gra­tion Compres­seur/Gate/Expan­deur, qui offre de nombreuses solu­tions de trai­te­ment dans un seul outil, très simple d’em­ploi.

Indis­pen­sable ? Cela dépen­dra des attentes de chacun. Inté­res­sant à utili­ser ? Oui, sans trop de risques de double emploi, sauf à déjà possé­der une suite copiant les mêmes éléments et sources.

Points forts
  • Trois plugs
  • Modes G et E pour l’EQ
  • Fonctions supplémentaires
  • Douceur et subtilité du son
  • Liberté de configuration EQ-Comp
  • Sidechain
  • Solid Dynamics très réussi dans son genre
  • Compression parallèle directement dans le plug
Points faibles
  • L’interface de Guitar Rig, ben des fois...
  • Quelques blocages dans Logic
  • Vumètres peu précis
  • Bascule en stéréo de Guitar Rig pas automatique
  • Gate activé par défaut dans Guitar Rig
  • Gestion des niveaux entrant et sortant pas toujours simple

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