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UVI Vintage Vault 2
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On Refait Le Patch #69 : Test de l'UVI Vintage Vault 2

Bundle d'instruments virtuels de la marque UVI

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Prix public US : $599
Test vidéo
34 réactions
220 Vault
8/10
Award Qualité / Prix 2017
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3 ans après un Vintage Vault déjà plein de bonne choses, UVI remet le couvert avec Vintage Vault 2 qui démocratise quelques raretés légendaires au sein d'une interface efficace.

Plus de 3 ans se sont écou­lés depuis la sortie de Vintage Vault, le bundle rassem­blant tous les synthés virtuels d’UVI. Et comme l’édi­teur français ne s’est pas tourné les pouces au cours des dernières années, ce sont pas moins de 6 produits qui sont ajou­tés à Vintage Vault 2, propo­sant des sons issus de 15 synthés et 32 boîtes à rythmes supplé­men­taires.

Au programme de cette mise à jour, les nouveau­tés sont donc les suivantes :

  • Cameo (Casio CZ1, CZ101, CZ1000, CZ2300S, CZ3000 et CZ5000)
  • Digi­tal Synsa­tions Volume 2 (Enso­niq Fizmo, Roland JD800, Kawai K5000S)
  • OB Legacy (Oberheim XPan­der, OB-12, Matrix 6/Matrix 1000, OB-X/OB-Xa/OB-SX, SEM, MSR-2)
  • PX Apollo (Moog Apollo, ancêtre du Poly­moog)
  • UVS-3200 (Korg PS-3200)
  • UVX80 (Akai AX80)
  • Beat­Box Antho­logy 2 (Drum­Brute, Matrix­Brute, D.Rhythm Five, Clap Machine, PT Seven, DST, AnalogR, EMD, 8 Bit Box, EM7C, Drumzmo, Trans­wave Drums, DK5S, XD Five, Mini Pops 20S, Mini Pops 7, UVS3200, Gadget Beat, Kick Machine 2, U1250, LM One, Opti­gan, Sakata, SCTOM, SM305, Gadget 12, VerDrum One, Ratck, YCS 20m, YDD Eleven, FM 4OP et YPT Eight)

Et qui s’ajoutent à tout ce que conte­nait le premier Vintage Vault, à savoir :

  • Dark­light IIx (Fair­light CMI)
  • Digi­tal Synsa­tions (Roland D-50, Yamaha SY77, Korg M1 & Enso­niq VFX)
  • Emula­tion One (E-Mu Emula­tor & Drumu­la­tor)
  • Emula­tion II (E-Mu Emula­tor II)
  • Mello (Mello­tron)
  • String Machines (Solina String Ensemble, Roland RS-505 & VP-330, Korg PE2000, Crumar Perfor­mer et Eko Stra­di­va­rius)
  • The Beast (Syncla­vier)
  • Ultra Mini (Mini­moog Model D & Voxa­ger XL)
  • UVX-10P (Roland JX-10, JX-8P & MKS-70)
  • UVX-3P (Roland JX-3P)
  • Vector Pro (Prophet VS/VX, Yamaha SY22) 
  • Vintage Legends (Yamaha CS-70M, CS-40M & CS-20M, Elka Synthex, Rhodes Chroma, Yamaha DX1, Digi­tal Keyboards Synergy et Kurz­weil K250
  • Wave­run­ner (Waldorg PPG, Wave 2, 2.3, 360, Wave­term, Micro­wave XT & Rack Attack)
  • Beat­Box Antho­logy (toutes les gloires de la boîte à rythmes, à commen­cer par les TR, Linn­drum et autres Simmons)

Avouez que l’en­semble de ces noms a de quoi faire rêver n’im­porte quel collec­tion­neur, sachant qu’UVI semble avoir eu le souci de propo­ser un ensemble équi­li­bré entre synthés analos et numé­riques en mettant l’ac­cent sur quelques rare­tés dans le monde du logi­ciel, voire dans le monde tout court. C’est notam­ment le cas pour les nouveau­tés arri­vées avec cette version 2, qu’il s’agisse de l’Enso­niq Fizmo, du Korg PS-3200, de l’Akai AX80 ou du raris­sime Moog Apollo, dont il n’existe dans le monde que… 2 exem­plaires !

Inutile de dire que rassem­bler ces machines est déjà un sacré travail, colos­sal même si l’on part du prin­cipe qu’avant de virtua­li­ser quoi que ce soit, il faut s’as­su­rer que chaque synthé tourne à la perfec­tion, ce qui passera au mini­mum par une petite révi­sion sur les vieux coucous analo­giques, voire par une répa­ra­tion en bonne et due forme.

Voyons à présent ce qu’UVI a fait de toutes ces légendes.

Pour ce faire, deux possi­bi­li­tés. Soit la vidéo ci-contre, soit le texte qui suit :

Synth in the Shell

Préci­sons-le d’em­blée : les instru­ments propo­sés par ce Vintage Vault ne sont pas des émula­tions des synthés origi­naux mais des créa­tions inspi­rées par ces derniers et basées sur leur échan­tillon­nage. Nous sommes donc pas face à des synthé­ti­seurs au sens strict du terme comme en propose Artu­ria, U-He ou encore Xhils mais face à des ROMplers, pour le meilleur comme pour le pire.

UVI insiste en effet sur ce point : là où les émula­tions tentent de repro­duire une machine, d’imi­ter ses possi­bi­li­tés comme la façon dont elle sonne et réagit en repro­dui­sant les fonc­tion­ne­ment de chacun de ses modules voire de ses compo­sants (LFO, VCO, VCF, conver­tis­seurs, etc.), les ROMplers se basent sur des enre­gis­tre­ments des instru­ments, et sonnent donc exac­te­ment comme eux. Ce détail mis à part, le parti pris du ROMpler présente plusieurs autres avan­tages : outre une consom­ma­tion réduite en termes de ressources Proces­seur, cela permet à l’édi­teur de propo­ser d’une machine à l’autre un jeu de fonc­tions simi­laires. De fait, même si l’in­ter­face graphique change d’un instru­ment à un autre, une fois qu’on a compris comment se servir de l’un d’eux, on sait utili­ser tous les autres.

Les incon­vé­nients ? Outre le fait que les samples prennent un espace consé­quent sur le disque dur (117 Go en l’oc­cu­rence), aucun instru­ment UVI ne propose toutes les fonc­tions, les possi­bi­li­tés ou le work­flow des machines origi­nales, ce qui ne veut pas dire qu’au­cune édition n’est possible.

Chaque instru­ment est ainsi basé sur un double moteur à la base duquel se trouve un « oscil­la­teur » qui n’est ni plus ni moins qu’un des samples de base réalisé par UVI à partir des sono­ri­tés carac­té­ris­tiques de l’ins­tru­ment. Outre le laye­ring de ces deux sono­ri­tés soumises à un filtre, deux enve­loppes ADSR et des options d’édi­tion de base (accor­dage, porta­mento, stéréo, attri­bu­tion d’un effet à la molette), on dispo­sera encore d’un LFO et d’un step sequen­cer pour effec­tuer des modu­la­tions sur chacun des deux oscil­la­teurs de base, mais aussi une section d’ef­fet et un double arpé­gia­teur. Ca n’a l’air de rien comme ça, mais avec une concep­tion rela­ti­ve­ment simple, il y a déjà de quoi casser la raideur du sample et faire beau­coup de très belles choses, d’au­tant que le maté­riau de base (les samples des machines) est excellent du point de vue sonore, et que les trai­te­ments ne le sont pas moins (on retrouve notam­ment les algos de Thorus, Spark­verb et Relayer sous le capot). Si l’UVI­works­ta­tion, le player gratuit néces­saire à la lecture des banques, propose déjà de sophis­tiquer tout cela avec la possi­bi­lité de rajou­ter des effets ou de bâtir des multis, inutile de dire que lorsqu’on possède Falcon, le sampler virtuel d’UVI, on peut amener toute cette matière première beau­coup plus loin, avec des modu­la­tions de zinzins et le recours à bien des formes de synthèse pour méta­mor­pho­ser le son.

Concen­trons-nous toute­fois sur le seul emploi avec l’UVI­works­ta­tion, histoire de voir ce que les petits nouveaux ont dans le ventre.

Rencontre du troi­sième type

Utilisé par Hans Zimmer, Jarre ou Emmer­son Lake & Palmer, le Korg PS-3200 est un semi-modu­laire qui, s’il n’of­frait pas toutes les combi­nai­sons en termes de patching qu’on voyait sur les tenors du genre, n’en était pas moins révo­lu­tion­naire par sa possi­bi­lité de stocker 16 presets.

PS3200 1
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  • PS3200 1 00:32
  • PS3200 2 00:32

Beau­coup plus curieux, l’Apollo n’est ni plus ni moins qu’un proto­type poly­pho­nique Moog de 1973 qui préfi­gure le Poly­moog sorti deux ans plus tard. Une vraie origi­na­lité avec le gros son Moog au rendez-vous, même si cette pièce de collec­tion n’est pas forcé­ment très popu­laire : on le comprend lorsqu’on sait qu’il n’en existe que deux exem­plaires au monde !

Apollo 1
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  • Apollo 1 00:32
  • Apollo 2 00:32

Moins rare mais rela­ti­ve­ment méconnu égale­ment, l’AX80 est un analo produit par Akai dans les années 80 et qui s’avé­rait complexe à program­mer et qui a raté pour cette raison son rendez-vous avez le succès, au point de deve­nir culte aujour­d’hui.

AX80 1
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  • AX80 1 00:32
  • AX80 2 00:32

Deux produits viennent encore gros­sir de ce Vintage Vault 2 et on n’est pas mécon­tent de les accueillir vus qu’ils permettent de retrou­ver deux construc­teurs qui manquaient cruel­le­ment à la première version du bundle. OB propose des sons issus de 6 synthés Oberheim :

OBx 1
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  • OBx 1 00:32
  • OBx 2 00:08
  • OB612 00:32

Quant à Cameo, il nous permet de goûter aux joie de la synthèse à distor­sion de phase imagi­née par Casio.

CZ
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  • CZ 00:32
  • CX 00:32

Avec le deuxième volet de Digi­tal Synsa­tions, on passe dans le numé­rique en abor­dant d’autres styles de synthèse. Cela passe par un Kawai K5000S, un Enso­niq Fizmo et un Roland JD-800, là encore des rare­tés dans le domaine du virtuel :

K5000S
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  • K5000S 00:32
  • JD800 00:32
  • Fizmo 00:32
bbox

Complé­tant le tout enfin, la seconde mouture de la Beat­box Antho­logy propose des sons issus de 51 nouvelles boîtes à rythmes ou synthés aux capa­ci­tés percus­sives. Et, chose inté­res­sante, UVI ne s’est pas contenté d’al­ler voir du côté du Vintage pour propo­ser des choses vrai­ment récentes émanant de Teenage Mutant Engi­nee­ring comme… d’Ar­tu­ria (Drum­brute et Matrix­brute) !

bb8bit
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  • bb8bit 00:06
  • bbDrum­Brute 00:06
  • bbMi­ni­Pops 00:06
  • bbSC­TOM 00:06
  • bbVer­drum 00:06
  • bbXD­five 00:06

Les quelques extraits audio propo­sés ci-dessus permettent de s’en rendre compte : tout cela sonne indé­nia­ble­ment bien et couvre un énorme éven­tail de sons. Au jeu, on oublie en outre tota­le­ment qu’on est face à du sample, les instru­ments réagis­sant très bien au pitch bend comme aux diverses modu­la­tions que vous pouvez leur faire subir, et aux éven­tuels porta­mento.

Rassu­rons en outre ceux qui craignent de se sentir limité par la tech­no­lo­gie du sample : avec la simple archi­tec­ture propo­sée par UVI pour chacun de ces instru­ment, on a de quoi faire bien des choses très simple­ment. Voici d’ailleurs un patch de base d’OBXa suivi d’un même patch bricolé avec les seuls outils du bord :

init­patch
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  • init­patch 00:04
  • user­patch 00:04
 

Le pari est donc rempli, même si la copie rendue par UVI n’est pas parfaite, comme nous allons le voir.

O Brow­ser, where are you ?

patchlist

Le premier regret qu’on aura en parcou­rant les diffé­rents instru­ments propo­sés par UVI, c’est la dissy­mé­trie dont ils font preuve sur le plan struc­tu­rel. Si un PS-3200 se charge via un fichier UFS et qu’on accède ensuite, depuis celui-ci, aux diffé­rents presets via un petit menu avec les sous-caté­go­ries qui vont bien, sur le Cameo CM, on a ainsi un unique menu dérou­lant avec tous les presets dont seul le préfixe nous renseigne sur leur nature. C’est déjà moins pratique, mais il y a encore moins pratique puisque sur le Cameo CZ, chaque preset fait l’objet d’un fichier UFS, le passage de l’un à l’autre deve­nant forcé­ment plus lourd.

Mais c’est surtout le côté extrê­me­ment old school de la navi­ga­tion que l’on regret­tera, et qui est proba­ble­ment plus impu­table à l’UVI­works­ta­tion ou à Falcon qu’au Vintage Vault : on nous met face à plus de 7000 presets sans autre possi­bi­lité pour navi­guer dans tous ces sons que de choi­sir d’abord un instru­ment, puis de parcou­rir, quand elle existe, ses presets clas­sés par caté­go­ries. Pas de système de tags ? Non. Et pas de pré-écoute des UFS-presets non plus.

patchlist2

De fait, lorsqu’on cherche un patch de basse au son plutôt court et distordu par exemple, il faut partir à la pêche et visi­ter un à un tous les instru­ments. C’est vrai­ment extrê­me­ment dommage car ça amoin­drit gran­de­ment le côté pratique de cette collec­tion qui a tout pour plaire au song­wri­ter en quête de sons de qualité, et qui se contre­fiche bien, lorsqu’il cherche un son, de savoir si c’est tel synthé ou tel type de synthèse qui le produit. Évidem­ment, si demain UVI rend ses logi­ciels compa­tibles avec les formats NKS et VIP, ce défaut sera amoin­dri pour les posses­seurs des claviers Akai et Native Instru­ments, mais on espère que l’édi­teur aura à coeur de bosser sur ce point précis dans l’UVI­works­ta­tion comme dans Falcon car avec un tel corpus de sons, ça devient vrai­ment un point crucial au quoti­dien. Dans un couteau en effet, le manche est aussi impor­tant que la lame.

Tant qu’on en est à parler presets, notons que si les ROMplers qu’on nous présente offrent de sympa­thiques possi­bi­li­tés de trai­te­ment et d’édi­tion, permet­tant de s’éloi­gner vrai­ment des presets de base, l’UVI­works­ta­tion ne propose pas de possi­bi­lité de sauve­gar­der ses propres presets dans l’ins­tru­ment, ce qui est, une fois encore, très dommage, même si l’on peut sauve­gar­der cela dans un multi.

Enfin, certains regret­te­ront peut-être que la collec­tion fasse l’im­passe sur nombres de stars de la synthèse : pas de ARP, pas de Jupi­ter, pas de MS-20, Waves­ta­tion ou de Poly­six, pas d’OSC, pas de Juno ou de SH, de TB… La liste est longue des instru­ments qu’on s’at­ten­draient à trou­ver dans ce Vault et qui n’y figurent pas. Ces manques ne seront toute­fois pas rete­nus comme un défaut dans la mesure où la collec­tion Vintage Vault semble obéir à un ligne édito­riale autant que stra­té­gique toute à fait justi­fiable. Il est inutile de propo­ser une version virtuelle de plus de la TB par exemple, dans la mesure où il existe déjà quan­tité de plug-ins qui font cela très bien. Si l’on se dirige vers le bundle d’UVI, c’est juste­ment pour trou­ver ce qu’on ne trouve pas ailleurs.

De fait, si on aurait pu pensé l’offre d’UVI en concur­rence direct de celle d’une V Collec­tion d’Ar­tu­ria ou d’un Syntro­nik d’IK Multi­me­dia, elle s’avère en fait très complé­men­taire. Il y a bien sûr des zones de recou­pe­ment, aucun n’ayant fait l’im­passe sur le Mini­moog par exemple, mais d’un point de vue tech­no­lo­gique comme du point de vue des instru­ments propo­sés, chaque produit garde des atouts sur les autres, avec un rapport qualité/prix nette­ment moins bon tout de même en ce qui concerne le produit d’IK.

Nous fini­rons d’ailleurs en parlant tarif, souli­gnant qu’avec des sons émanant de plus d’une cinquan­taine de synthés et d’une centaine de boîtes à rythmes, le prix de 600 euros réclamé par l’édi­teur est réel­le­ment compé­ti­tif. En fonc­tion de ce que vous possé­dez déjà, la mise à jour vous sera quant à elle factu­rée 300 euros ou moins, ce qui, en regard des produits ajou­tés demeure compé­ti­tif, sachant que sur les synthés propo­sés, la concur­rence est rela­ti­ve­ment faible.

Et si bien sûr, on en voudrait toujours plus, force est de recon­naître qu’il y a déjà vrai­ment de quoi faire… en atten­dant Vintage Vault 3.

Conclu­sion

Une fois que l’on accepte le parti pris du sample avec tous les avan­tages qu’il procure (le son réel des instru­ments et une faible consom­ma­tion CPU) et ses incon­vé­nients (on n’est pas de l’ému­la­tion qui repro­duit fidè­le­ment le work­flow et les possi­bi­lité des instru­ments origi­naux), il faut recon­naître que ce Vintage Vault est une tuerie sonore qui devrait combler plus d’un musi­cien, que ce soit pour faire de la musique élec­tro­nique ou n’im­porte quel style d’ailleurs, à l’heure où les synthés se sont instal­lés avec succès dans la plupart des genres musi­caux. Simples à prendre à main et offrant malgré tout d’in­té­res­santes possi­bi­li­tés de trai­te­ment et d’édi­tion, les instru­ments de ce Vintage Vault valent autant pour la rareté de certains d’entre eux (les Moog Apollo, Akai AX80 et Enso­niq Fizmo ne courent pas les rues, que ce soit en réel ou en virtuel) que par le beau travail réalisé sur le sampling comme le Sound Design. Sitôt qu’on fait défi­ler des presets naissent des idées et c’est très bon signe pour un instru­ment.

Proposé à un tarif rela­ti­ve­ment agres­sif, ce bundle n’a en défi­ni­tive qu’un seul gros défaut : la façon dont sont gérés les presets. Avec plus de 7000 patches dispo­nibles, on voudrait des tags, des possi­bi­li­tés de pré-écoute ou encore un système de nota­tion pour simpli­fier la navi­ga­tion dans cette masse de sons. Autant de chose qui, si l’on en croit les gens d’UVI ayant suivi notre live, seraient visi­ble­ment en prépa­ra­tion. On a hâte ! 

On refait le patch : les tests vidéo d'Audiofanzine Voir tous les épisodes de "On refait le patch : les tests vidéo d'Audiofanzine"
8/10
Award Qualité / Prix 2017
Points forts
  • Le vrai son des instruments parfaitement samplé
  • Le sound design des presets
  • Un panorama extrêmement vaste et polyvalent de la synthèse
  • Le choix d’instruments qui ne sont pas si courants
  • Interfaces similaires simples à prendre en main
  • Du ROMpler certes, mais offrant de belles possibilités en termes de Sound Design
  • Et beaucoup plus encore si vous avez Falcon
  • Peu gourmand en CPU
  • Le rapport qualité/prix
Points faibles
  • Navigateur de presets old school (pas de tags ni de pré-écoute)
  • Hétérogénéité des banques (parfois un UFS global, parfois autant d’UFS que de presets)
  • Pas de possibilité de sauver ses presets dans l’UVIworkstation
  • Il faut en avoir conscience : ce n’est pas de l’émulation et on ne retrouve donc pas toutes les possibilités des originaux en termes de sound design et de workflow
Auteur de l'article Los Teignos

Si j'avais eu le physique, nul doute que j'aurais fait un grand Sumo, mais vu que je ne pèse que 80 kg, j'occupe mon temps comme je peux entre musique et littérature.


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Si j'avais eu le physique, nul doute que j'aurais fait un grand Sumo, mais vu que je ne pèse que 80 kg, j'occupe mon temps comme je peux entre musique et littérature.