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DMG Audio TrackComp 2
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Test du compresseur logiciel DMG Audio TrackComp 2

Compresseur logiciel de la marque DMG Audio appartenant à la série Track

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Prix public : 113 € TTC
Test écrit
33 réactions
Le caméléon de la compression
9/10
Award Qualité / Prix 2020
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Prisés par les connaisseurs, les produits signés DMG Audio sont pourtant peu représentés sur votre site préféré. La récente sortie de la seconde mouture de TrackComp est donc l’occasion idéale pour remédier à cela. En octobre 2017, la première version proposait déjà cinq types de compresseurs différents. En sus d’algorithmes retravaillés, cette v2 ajoute pas moins de quatre nouvelles modélisations ! Autant vous dire que le programme du jour est chargé…

Test du compresseur logiciel DMG Audio TrackComp 2 : Le caméléon de la compression

Jarod

Dispo­nible pour Mac et PC aux formats VST, VST 3, AAX en 32 et 64 bits ainsi qu’en RTAS 32 bits, Track­Comp 2 est un plug-in dédié au trai­te­ment de la dyna­mique du signal. L’ins­tal­la­tion s’ef­fec­tue en un tour­ne­main et l’au­to­ri­sa­tion n’est qu’une simple forma­lité grâce à un fichier reçu par cour­rier élec­tro­nique. Merci!

Comme je vous le disais, Track­Comp 2 regroupe neuf compres­seurs au sein d’une inter­face graphique unifiée. Cette dernière est vecto­rielle, donc redi­men­sion­nable à l’envi. Dans l’ordre, l’uti­li­sa­teur a le choix entre les modèles suivants :

  • DMG : algo­rithme basé sur le compres­seur maison Compas­sion. C’est le modèle « clean » du groupe avec tout de même le réglage « curve » qui permet de calquer sa réac­tion sur des compor­te­ments proches de modèles hard­wares sans ajout de distor­sion harmo­nique, ce qui le rend beau­coup plus inté­res­sant que le compres­seur digi­tal de base.
  • E-Chan­nel : compres­seur modé­lisé à partir des consoles SSL série E.
  • G-Bus : émula­tion du compres­seur de bus des consoles SSL.
  • 76D : modé­li­sa­tion du grand clas­sique 1176.
  • 2A : basé sur un autre grand clas­sique, le LA-2A.
  • 76A : calqué sur une autre décli­nai­son du 1176.
  • 160 : modé­li­sa­tion du fameux compres­seur VCA signé dbx.
  • Zener : émula­tion d’un compres­seur vintage signé EMI pour Abbey Road.
  • 2k5 : basé sur compres­seur de bus API 2500.

SizesNotez l’ab­sence d’un modèle Vari-Mu. Un LA-3A ou un Distres­sor n’au­raient égale­ment pas été de refus. Enfin, il y a déjà large­ment de quoi faire avec tout ça! D’ailleurs, face à autant de possi­bi­li­tés, il m’est impos­sible de vous faire ici une descrip­tion exhaus­tive de chacun de ces compres­seurs. Je vais donc plutôt me concen­trer sur les éléments qui me semblent être les plus impor­tants et vous renvoyer vers le manuel si vous souhai­tez de plus amples infor­ma­tions. Celui-ci est libre­ment acces­sible depuis le site de l’édi­teur et sa lecture me parait indis­pen­sable pour bien saisir certains aspects de la bête. En effet, Track­Comp 2 est on ne peut plus dense avec malheu­reu­se­ment une ergo­no­mie pas toujours très intui­tive, comme nous allons le voir…

Commençons par des réglages communs à tous les modèles. Outre le clas­sique navi­ga­teur de presets, la barre supé­rieure du plug-in permet de régler l’over­sam­pling jusqu’à un coef­fi­cient multi­pli­ca­teur de 16 en passant par 2, 4 et 8. Détail inté­res­sant, il est possible de choi­sir un over­sam­pling qui ne sera appliqué qu’au moment du rendu « offline ». C’est carré­ment bien vu, car en x16, la consom­ma­tion proces­seur grimpe vite… De fait, si Track­Comp offre une latence nulle et une consom­ma­tion plafon­nant à 0,7 % sans suréchan­tillon­nage sur ma machine de guerre (Mac Pro fin 2013 Hexa­coeur Xeon 3,5 GHz – 32 Go DDR3), avec l’over­sam­pling à son maxi­mum, ma bécane monte jusqu’à 11,2 % pour 127 samples de latence! Merci donc, monsieur DMG Audio, pour cette option « offline ».

Juste à côté des options de suréchan­tillon­nage se trouvent les fonc­tions rela­tives à la compa­rai­son A/… H! Vous avez bien lu, là où beau­coup trop d’édi­teurs font l’im­passe sur la compa­rai­son A/B, DMG Audio propose 8 empla­ce­ments afin de pouvoir compa­rer rapi­de­ment plusieurs réglages diffé­rents. Cerise sur le gâteau, cet outil de compa­rai­son est pilo­table par MIDI et il est possible de l’au­to­ma­ti­ser! Ça ne servira pas tous les jours, mais avouez que c’est une option fort sympa­thique. Imagi­nez un peu passer d’une gentille petite compres­sion « utili­taire » sauce SSL sur un bus de batte­rie lors du couplet à une méchante compres­sion paral­lèle façon 1176 sur les refrains en moins de temps qu’il n’en faut pour l’écrire. Bref, chapeau bas.

Enfin, c’est toujours au sein de la barre supé­rieure qu’il est possible de choi­sir entre side­chain interne ou externe.

Restons dans les para­mètres communs à tous les modèles avec de part et d’autre de l’in­ter­face : 

  • Indi­ca­teurs des niveaux crêtes en entrée et sortie;
  • Indi­ca­teur de la réduc­tion de gain;
  • Réglages de niveaux d’en­trée et de sortie (-40 dB à +18 dB) – il s’agit de gain « propre », c’est-à-dire sans ajout de distor­sion harmo­nique;
  • Réglage du niveau seuil;
  • Réglage du gain « MakeUp » en sortie avec ajout de distor­sion harmo­nique diffé­rent selon la modé­li­sa­tion.

CenterQuelques remarques à propos de ces derniers. La plage de niveau dispo­nible en sortie m’a parfois paru un peu juste lors de compres­sions extrêmes. De plus, elle inter­vient avant le mélange « dry/wet » et ne permet donc pas de réel­le­ment régler le niveau global de sortie pour de la compres­sion paral­lèle. Enfin, le curseur « MakeUp » est pour le moins contre-intui­tif, car il faut le bais­ser pour augmen­ter le gain… Je pense que l’objec­tif était de corré­ler visuel­le­ment le gain « MakeUp » avec le niveau en sortie. À l’usage, c’est fran­che­ment pertur­bant, surtout si vous êtes comme moi un aficio­nado des surfaces de contrôle MIDI puisqu’il faut alors tour­ner à contre­sens votre potard pour rele­ver le niveau…

Passons à présent au centre de l’in­ter­face graphique. Tout en haut se trouve un sélec­teur permet­tant de choi­sir parmi les neuf modèles de compres­seur, ce qui modi­fie la liste des réglages dispo­nibles juste en dessous. C’est somme toute logique, puisqu’un 1176 ne propose pas les mêmes fonc­tions ou les mêmes plages de réglages qu’un 2500. Là où c’est assez dérou­tant, c’est que l’édi­teur a fait le choix de propo­ser d’al­ler plus loin que les machines hard­wares dont il s’est inspiré, mais pas de la même façon pour chacun des modè­les… Ainsi, il est par exemple possible de modi­fier de façon conti­nue les temps d’at­taque et de relâ­che­ment du 2A, chose impos­sible sur un LA-2A origi­nal qui ne dispose d’au­cun potard pour les constantes tempo­relles, alors que ça n’est pas proposé sur le 160. Diffi­cile de résu­mer le pourquoi du comment en quelques lignes, il faut pour cela se plon­ger dans le manuel comme je vous l’ai déjà indiqué. Sachez qu’a minima, Track­Comp offre l’en­semble des réglages de chacun des modèles dont il s’ins­pire et qu’il y a parfois des options de cali­brage afin de repro­duire le compor­te­ment de n’im­porte quelle révi­sion ou édition hard­ware. De plus, de judi­cieuses petites barres rouges sont présentes sur certains curseurs afin d’in­diquer les « limites » de la plage de réglage du modèle origi­nal. En main­te­nant la touche « Alt » enfoncé, vous n’au­rez accès qu’à cette plage, mais il est bien entendu possible d’al­ler plus loin, et ce, de façon conti­nue.

Finis­sons ce tour d’ho­ri­zon avec les derniers para­mètres qui sont présents pour tous les modèles : 

  • Stereo Link : dose de façon conti­nue la corré­la­tion entre la compres­sion des canaux gauche et droit pour un trai­te­ment « full stereo » jusqu’à « dual mono »;
  • Auto­gain : compen­sa­tion auto­ma­tique de la réduc­tion de gain, soit via le gain « MakeUp », soit par le niveau de sortie, selon le choix de l’uti­li­sa­teur;
  • Dry/Wet : mélange entre le signal source et le signal traité.

Dommage qu’il n’y ait pas de mode de trai­te­ment M/S, mais cela aurait certai­ne­ment trop alourdi l’in­ter­face déjà bien four­nie. Quant à la fonc­tion d’Au­to­gain, l’idée est belle, mais le rendu m’a semblé peu probant la plupart du temps.

2k5Avant de voir ce que la bestiole a réel­le­ment dans le ventre au travers d’exemples sonores, permet­tez-moi un mot quant à l’uti­li­sa­tion de Track­Comp au jour le jour. Hormis le curieux cas du curseur « MakeUp » dont je vous ai déjà parlé, l’er­go­no­mie géné­rale est plutôt bonne… À l’ex­cep­tion des modèles inspi­rés des 1176 et du LA-2A… En effet, l’in­ter­face unifiée ne reprend pas l’er­go­no­mie clas­sique de ces monstres sacrés dont la simpli­cité d’uti­li­sa­tion est tout aussi légen­daire que leur pâte sonore. Il est ainsi diffi­cile de retrou­ver ses petits lors des premières utili­sa­tions : quel réglage corres­pond au poten­tio­mètre « Input » du 1176? Au « Peak Reduc­tion » du LA-2A? Etc. Encore une fois, la réponse est à cher­cher au sein du manuel. Ceci étant, même une fois tous les détails de fonc­tion­ne­ment assi­mi­lés, force est de consta­ter que le côté « direct » des modèles hard­wares n’est pas réel­le­ment au rendez-vous. Person­nel­le­ment, j’ai véri­ta­ble­ment commencé à appré­cier les modé­li­sa­tions 76D, 76A et 2A à partir du moment où j’ai cessé de les consi­dé­rer comme des substi­tuts aux machines hard­wares afin de mieux les appré­cier pour ce qu’elles sont réel­le­ment. C’est assez curieux comme ressenti, c’est pourquoi je tenais à le souli­gner; d’au­tant que cela n’a abso­lu­ment pas été la même histoire avec les autres compres­seurs propo­sés. Je suis par exemple un fan absolu de l’API 2500 et la modé­li­sa­tion offerte par Track­Comp ne m’a abso­lu­ment pas dérouté tant sur le plan ergo­no­mique que sur le plan sonore. 

Bref, enchai­nons main­te­nant avec une session d’écou­te…

Made­moi­selle Parker

Commençons par décou­vrir la pâte sonore de la modé­li­sa­tion Zener sur une ligne de basse :

01_Bass_dry
00:0000:16
  • 01_Bass_dry00:16
  • 02_Bass_Zener THD Soft00:16
  • 03_Bass_Zener THD Hard00:16
  • 04_Bass_Zener THD Harder00:16

Ici, aucune réduc­tion de gain due à la compres­sion à propre­ment parler puisque cette modé­li­sa­tion offre un mode baptisé « THD » permet­tant d’uti­li­ser la bestiole comme une « simple boîte à distor­sion ». Je n’ai pas la chance de connaître la véri­table machine hard­ware, cela étant, cette version virtuelle possède un sacré carac­tère!

Essayons à présent de faire la même chose avec le 2k5, une autre modé­li­sa­tion pas si courante que ça dans le monde du plug-in :

05_Bass_2k5 THD Soft
00:0000:16
  • 05_Bass_2k5 THD Soft00:16
  • 06_Bass_2k5 THD Hard00:16
  • 07_Bass_2k5 THD Harder00:16

Le 2k5 ne dispose pas d’un mode THD, mais il est tout de même possible de l’uti­li­ser comme une machine à distor­sion en le violen­tant un peu. Là, je connais parti­cu­liè­re­ment bien le sujet et je peux vous assu­rer que DMG Audio a diable­ment bien travaillé.

Dans un registre d’uti­li­sa­tion plus conven­tion­nel, voici ce que donne une instance de Track­Comp avec le modèle maison DMG réglé de façon à mettre en avant l’at­taque de cette ligne de basse :

08_Bass_DMG Attack
00:0000:16

Puis un dernier exemple avec le modèle G-Bus réglé au cordeau afin de maîtri­ser cette basse pour le moins sautillante :

09_Bass_GBus Control­Freak
00:0000:16

Effi­cace, non?

Passons au trai­te­ment d’un bus de batte­rie :

10_Drums_dry
00:0000:16
  • 10_Drums_dry00:16
  • 11_Drums_GBus Thick00:16
  • 12_Drums_76D Density00:16
  • 13_Drums_76D NY Crunch00:16
  • 14_Drums_2A NY Crunch00:16

Le premier extrait se résume au signal source. Pour le deuxième, la modé­li­sa­tion G-Bus est mise à profit de façon à épais­sir le rendu. Sur le troi­sième exemple, c’est le 76D qui malaxe la dyna­mique pour un résul­tat simi­laire, mais au carac­tère sonore un poil moins « poli ». Pour les deux derniers samples, les modé­li­sa­tions 76D et 2A sont utili­sées afin de joli­ment salir le son de cette batte­rie un peu trop sage au travers d’une compres­sion paral­lèle.

Si vous avez du mal à entendre les diffé­rences, je vous invite à télé­char­ger ces extraits afin de les écou­ter tranquille­ment sur un système de moni­to­ring digne de ce nom. En effet, j’ai comme toujours unifor­misé la sensa­tion de volume perçu afin que cela ne vienne pas faus­ser votre juge­ment. Du coup, les diffé­rences sautent forcé­ment moins à l’oreille… Mais alors, quel est donc l’in­té­rêt au final? Outre le grain sonore, jetez donc un œil aux niveaux crêtes des diffé­rents samples. Elle n’est pas belle la vie?

Voyons à présent ce qu’il est possible de faire sur un bus regrou­pant cette batte­rie avec la ligne de basse précé­dente, le tout agré­menté d’un petit « whoosh » ciné­ma­tique :

15_Bus_dry
00:0000:16
  • 15_Bus_dry00:16
  • 16_Bus_2k500:16
  • 17_Bus_2k5-Zener00:16

Comme d’ha­bi­tude, le premier extrait se résume au signal source en guise de réfé­rence. Sur le deuxième exemple, une instance du plug-in calée sur la modé­li­sa­tion 2k5 sert à donner une plus grande cohé­rence ainsi qu’une belle sensa­tion de mouve­ment à l’en­semble sans pour autant déna­tu­rer l’im­pact du break. Enfin, une deuxième instance en mode Zener vient tenir la bride du signal tout en ajou­tant une touche de « couleur » vintage. Notez qu’ici, aucun autre trai­te­ment n’a été utilisé et que cela méri­te­rait certai­ne­ment quelques retouches, notam­ment au niveau de l’éga­li­sa­tion de la cloche par exemple. Ceci étant, je trouve le résul­tat parti­cu­liè­re­ment attrayant.

Pour finir, essayons la bête dans le contexte d’un mix :

18_None­the­less_dry
00:0000:27
  • 18_None­the­less_dry00:27
  • 19_None­the­less_Drums00:27
  • 20_None­the­less_Bass00:27
  • 21_None­the­less_Gtr-FX00:27
  • 22_None­the­less_Vox00:27
  • 23_None­the­less_Mixbus00:27

J’ai commencé par retra­vailler la batte­rie qui me semblait un peu mollas­sonne. La grosse caisse et la caisse claire sont trai­tées avec des instances utili­sant le modèle E-Chan­nel pour rega­gner en « poids » ainsi qu’en impact. De plus, une troi­sième instance est insé­rée sur le bus batte­rie pour un trai­te­ment paral­lèle au travers du 2 A histoire de donner à l’en­semble un peu plus de carac­tère.

Pour la basse, trois instances de Track­Comp sont utili­sées en série : 

  • 2A pour nive­ler la ligne tout au long de l’ex­trait;
  • 160 afin de ragaillar­dir les tran­si­toires;
  • Zener pour la colo­ra­tion.

Sur le quatrième exemple, un 160 placé sur le bus des guitares élec­triques permet d’ob­te­nir un son sensi­ble­ment plus « tran­ché » alors qu’un 2k5 avec le « Stereo Link » à 47 % sur le bus des effets (notes aigües) sert à accen­tuer la sensa­tion de mouve­ment dans le champ stéréo.

Pour la voix, la fameuse utili­sa­tion en série d’un 1176 (ici 76A) suivi d’un LA-2A fait mouche.

Pour finir, une instance du G-Bus sur le master sert à lier le tout.

Bien entendu, l’ajout de ces compres­seurs sur le prémix origi­nal vient modi­fier l’équi­libre géné­ral, surtout en ce qui concerne l’es­pace 3D au travers de l’ex­pres­sion des réver­bé­ra­tions. Il convien­drait donc de retra­vailler un peu tout ça. Cepen­dant, le rendu global est diable­ment sympa­thique avec juste­ment un beau gain en profon­deur de champ, vous ne trou­vez pas?

Bref, comme diraient mes deux collègues barbus, il est grand temps de passer au « conclu­sage »!

Sydney

Regrou­per autant de compres­seurs diffé­rents au sein d’un seul plug-in est un défi auda­cieux que DMG Audio relève avec brio selon moi. Certes, quelques couacs ergo­no­miques viennent parfois enquiqui­ner l’uti­li­sa­teur, mais c’est large­ment compensé par d’autres fonc­tions forts bien senties (compa­rai­son A/H, options de rendu « offline », etc.) et en fin de compte, la qualité sonore déli­vrée rafle tout sur son passage. Avec un tarif de 84,99 £ HT, soit envi­ron 122 € TTC, le rapport qualité/prix est tout bonne­ment incroyable! De fait, Track­Comp deuxième du nom offre de quoi faire face à quasi­ment toutes les situa­tions. Le seul véri­table manque me semble être l’ab­sence d’un modèle Vari-Mu, mais cela pour­rait bien être comblé à la faveur d’une future mise à jour étant donné l’his­to­rique du joujou…

Comme d’ha­bi­tude, je vous invite à ne pas prendre mes propos pour argent comp­tant. Télé­char­gez donc la version d’éva­lua­tion, vous m’en direz des nouvelles! 

 

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9/10
Award Qualité / Prix 2020
Points forts
  • 9 compresseurs en un
  • Palette sonore exceptionnelle
  • Modèle Zener et 2k5 à tomber !
  • De quoi faire face à quasiment toutes les situations
  • Va plus loin que la modélisation « classique »
  • Rapport qualité/prix
  • Interface redimensionnable
  • Fonction de comparaison A/H pilotable par MIDI et automatisable
  • Oversampling jusqu’à x16 avec option « offline »
  • Installation et autorisation simplissimes
Points faibles
  • Pas de modèle Vari-Mu
  • Pas de mode M/S
  • Ergonomie pas toujours intuitive
  • Lecture du manuel obligatoire
  • Autogain peu probant

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