Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
Test écrit
34 réactions
R16 tout terrain
8/10
Award Qualité / Prix 2009
Partager cet article

La MAO c’est bien, mais on n’a pas toujours un ordinateur sous la main quand le besoin d’enregistrer de la musique se faire sentir, parfois sans prévenir. C’est pour ça que les ministudios existent, ce sont des solutions pratiques mais dont les possibilités et l’ergonomie sont souvent limitées. Zoom a donc décidé de sortir le R16, un appareil hybride, à la fois interface audionumérique, surface de contrôle et ministudio complètement autonome. Voyons ce que ça donne !

La MAO c’est bien, mais on n’a pas toujours un ordi­na­teur sous la main quand le besoin d’en­re­gis­trer de la musique se faire sentir, parfois sans préve­nir. C’est pour ça que les mini-studios existent, ce sont des solu­tions pratiques mais dont les possi­bi­li­tés et l’er­go­no­mie sont souvent limi­tées. Zoom a donc décidé de sortir le R16, un appa­reil hybride, à la fois inter­face audio­nu­mé­rique, surface de contrôle et minis­tu­dio complè­te­ment auto­nome. Voyons ce que ça donne !

Le R16 tente de rassem­bler deux mondes bien distincts : les amou­reux de la MAO, prêt à tout suppor­ter pour avoir l’er­go­no­mie et la flexi­bi­lité que peut appor­ter l’in­for­ma­tique dans le monde la musique, même les bugs et autre crash système. Et les adeptes des minis­tu­dios embarqués, systèmes stables, auto­nomes et compacts, mais dont l’er­go­no­mie et le côté fermé peuvent ennuyer plus d’un utili­sa­teur. La cible de ce R16 est donc le musi­cien mi-nomade, mi-séden­taire, voulant à la fois une inter­face audio / contrô­leur MIDI pour leur ordi­na­teur afin de mixer et peau­fi­ner tranquille­ment les morceaux chez eux, et un système d’en­re­gis­tre­ment complè­te­ment auto­nome facile à trans­por­ter. Nous allons donc tester ces deux facettes du R16, mais commençons tout d’abord par débal­ler l’en­gin…

À la sortie du carton, le R16 donne une bonne première impres­sion. Sa fini­tion blanche et gris clair est assez clean et le plas­tique a l’air résis­tant. Nous sommes surpris par sa légè­reté, une vraie plume ! Un bon point pour ceux plani­fiant d’em­por­ter le R16 partout avec eux. Les dimen­sions sont assez petites pour une inter­face embarquant neuf faders linéaires : le R16 est fin et se glis­sera dans n’im­porte quel sac à dos. Certes, il est beau­coup plus grand qu’un enre­gis­treur portable de type M-Audio Micro­Track II ou Zoom H2, mais on verra que ses possi­bi­li­tés en matière d’en­re­gis­tre­ment sont incom­pa­rables !  On se rapproche plus du studio inté­gré numé­rique comme on en voit chez Tascam, Roland, Korg ou… Zoom ! Les boutons, potards et faders sont en plas­tiques et font un peu jouet, mais à ce prix (moins de 400€), il est diffi­cile d’es­pé­rer mieux. Atten­tion tout de même aux faders qui se déchaussent un peu trop faci­le­ment. Le R16 est livré avec son adap­ta­teur secteur et offre aussi la possi­bi­lité de fonc­tion­ner sur piles (4,5 heures d’au­to­no­mie avec 6 piles AA selon le construc­teur) et cerise sur le gâteau, Cubase LE 4 et une carte SD de 1Go sont aussi présents dans la boîte.

 

La R16, du capot au coffre

Derrière l’ap­pa­reil, on remarque la présence de huit entrées analo­giques munies de prises combo XLR / Jack 6,35 mm. Il sera donc possible de bran­cher jusqu’à 8 micros, l’in­ter­face possé­dant 8 préam­plis, génial ! En revanche, seules les entrées 5 et 6 disposent d’une alimen­ta­tion fantôme pour les micros statiques. La guitare ou basse se verra obli­ga­toi­re­ment bran­chée sur l’en­trée 1, la seule propo­sant un mode haute impé­dance Hi-Z. Cela permet­tra d’uti­li­ser les simu­la­teurs d’am­plis et effets guitares du R16. Enfin, sachez que l’in­ter­face intègre deux micros (les mêmes que le Zoom H2) qui pour­ront être routés vers les entrées 7 et 8, pratique lorsqu’on n’a pas de micro sous la main et que l’on désire enre­gis­trer rapi­de­ment une idée. Au niveau des sorties, nous avons la « master » en jack 6,35 mm, qui servira à bran­cher vos moni­teurs et qui possède son propre réglage de volume et la sortie casque en 6,35 mm avec elle aussi son réglage de volume indé­pen­dant. C’est donc simple, mais effi­cace.

 

Sur la tranche de gauche, on retrouve le lecteur de cartes SDHC, compa­tible avec les cartes de 32 Go, de quoi voir venir ! Il y a aussi deux prises USB avec des fonc­tions bien distinctes : l’une est esclave et permet de bran­cher le R16 à un ordi­na­teur et l’autre, maître, pourra être utili­sée afin de bran­cher une clé USB ou un disque dur alimenté. Lorsque le R16 sera utilisé en tant qu’en­re­gis­treur auto­nome, on enre­gis­trera direc­te­ment sur la carte SD. Pour récu­pé­rer les fichiers, deux options s’offrent à nous : bran­cher le R16 à l’or­di­na­teur via USB et mettre l’in­ter­face en mode « carte reader », elle appa­rai­tra alors comme un vulgaire lecteur de cartes SD, ou bran­cher une clé ou un disque dur USB sur le R16 et y trans­fé­rer les fichiers via le mode « USB Storage ». Cette dernière option est pratique pour donner le fichier master en fin de session à vos musi­ciens sans avoir besoin d’al­lu­mer l’or­di­na­teur.



Sur la tranche

Chaque tranche possède son petit fader non moto­risé, un vumètre 4 LEDs, un poten­tio­mètre de gain et une diode « peak » indiquant la satu­ra­tion du signal en entrée. Juste au-dessus du fader se situe un Switch « play/mute/rec » permet­tant de muter les pistes ou de les armer pour l’en­re­gis­tre­ment. Au-dessus de la piste Master se trouve le potard permet­tant de mixer le son prove­nant des entrées avec le son prove­nant du séquen­ceur quand le R16 est utilisé en tant qu’in­ter­face audio­nu­mé­rique, ou le son du clic du métro­nome lorsqu’il est utilisé en enre­gis­treur nomade. Le métro­nome pourra être envoyé dans le casque ou dans le casque et les moni­teurs.


Dans la partie droite du R16, nous retrou­vons la partie trans­port avec les touches play, record, avance et retour rapide et stop. Un petit jogw­heel servira à régler diffé­rents para­mètres dans les menus et les touches situées à sa gauche servi­ront quant à elles à la navi­ga­tion dans ces menus et sous-menus. On retrouve aussi des touches permet­tant de program­mer des punchs in/out, fonc­tion très pratique pour les musi­ciens soli­taires : lancer la lecture et l’en­re­gis­tre­ment ne sera activé qu’à un certain moment de la chan­son. Il sera aussi possible grâce à la touche A-B repeat de boucler une ou plusieurs mesures d’un projet, afin de répé­ter une partie un peu compliquée. Enfin, la touche mark/clear permet­tra de placer des marqueurs dans le morceau, il sera ensuite rapide d’y accé­der via les touches « marqueur suivant » et « marqueur précé­dent ».

 

Outillage

Au-dessus des touches de trans­port se situe l’écran. Rien d’ex­tra­or­di­naire ici, juste un bête LCD mono­chrome affi­chant deux lignes de 20 carac­tères. L’er­go­no­mie est par consé­quent d’un autre âge, il faudra s’y faire. En effet, on s’ha­bi­tue vite aux grands écrans modernes, aux claviers et souris voire aux écrans tactiles ! Avec le R16, on a un peu l’im­pres­sion de faire un grand bond en arrière et un retour vers l’aus­té­rité des inter­faces d’an­tan. Rien de drama­tique non plus, nous avons utilisé des appa­reils de ce genre il y a une dizaine d’an­nées et nous sommes encore vivants. Il est juste dommage au vu de ce qui peut se faire actuel­le­ment (voir dossier sur l’iPhone notam­ment) d’être encore contraint de se farcir un manuel assez épais et des clics de boutons par dizaine juste pour chan­ger un para­mètre.  En parlant de manuel, celui-ci est exclu­si­ve­ment en anglais, atten­tion aux anglo­phobes !

 

Au dessus de cet écran se placent les boutons pour swit­cher des pistes 1–8 à 9–16 et le bouton USB permet­tant d’uti­li­ser le R16 en mode carte son, lecteur de cartes SD ou « USB Storage », néces­saire pour trans­fé­rer ses fichiers vers une clé ou un disque dur USB sans passer par un ordi­na­teur. Le bouton swap/bounce permet de swit­cher entre ces deux modes : le mode swap permet d’échan­ger deux pistes, les entrées micro ou l’en­trée guitare étant assi­gnées à des pistes spéci­fiques à la prise, cette fonc­tion peut se révé­ler vite indis­pen­sable ! Le mode bounce permet de faire le mixdown final sur la piste stéréo master ou encore de faire un « ping-pong » à l’an­cienne en prémixant plusieurs pistes sur une seule. Dans ce mode, il est possible de choi­sir si la piste de desti­na­tion est prise en compte dans le bounce, pratique. Le R16 propose aussi un undo/redo, mais un seul pas est dispo­nible. On n’a donc le droit qu’à une erreur, pas deux, j’en ai les mains qui tremblent.

 

Le bouton Project permet de gérer les projets : en créer un nouveau, en char­ger un autre, en copier, effa­cer, renom­mer ou proté­ger un et de faire de même pour les pistes sons. Tout cela nous semble assez complet et aucune fonc­tion ne manque à l’ap­pel. Il sera aussi possible de passer en 24 bit et de faire des play­lists de vos projets, utile pour les musi­ciens jouant sur scène avec des play­backs !

Avec le bouton Tool, on accède aux outils tels que le métro­nome, l’ac­cor­deur chro­ma­tique, qui s’est montré moyen­ne­ment effi­cace, et les réglages systèmes (date/heure, etc.) C’est ici aussi que l’on pourra chan­ger de carte SD en passant par le menu « exchange », le R16 vous propo­sera alors d’in­sé­rer une autre carte SD sans avoir besoin de reboo­ter la bête. On pourra aussi forma­ter la carte ou véri­fier la place qu’il reste dessus. Et comme il est possible de chai­ner deux R16, afin d’avoir plus d’en­trées/pistes, il vous faudra choi­sir lequel des deux est maître/esclave pour la synchro­ni­sa­tion.

Effec­ti­ve­ment vôtre

Pour chaque piste, on dispose d’une pano­ra­mique, d’un égali­seur 3 bandes para­mé­trique, d’un inver­seur de phase et d’un stéréo link pour enre­gis­trer deux sources dans un fichier stéréo. Tout cela est acces­sible en appuyant sur le bouton Pan/EQ, en plus du dosage d’en­voi vers les deux circuits auxi­liaires « reverb » et « chorus ». Le circuit réverb propose 4 algo­rithmes : hall, room, spring et plate avec les para­mètres de pre-délai, decay, EQ High, EQ Low, etc. L’autre circuit permet de rajou­ter un délai ou du chorus à n’im­porte quelle piste. Les réglages habi­tuels sont présents : depth, rate, prede­lay, etc. pour le chorus et time, feed­back, Hi Damp, etc. pour le délai.

Le R16 intègre aussi un grand nombre d’ef­fets d’in­sert que l’on pourra placer juste après les entrées, afin d’en­re­gis­trer direc­te­ment le son avec l’ef­fet (pour une guitare passée dans une satu­ra­tion par exemple), ou en insert d’une piste. Il sera aussi possible d’in­sé­rer des effets orien­tés maste­ring sur la piste « master », dont un compres­seur 3 bandes, un norma­li­seur, un EQ 3 bandes, un module lo-fi pour créer un son vieillot/radio, un module « dimen­sion » rajou­ter une sensa­tion d’es­pace au son et un module « réso­nance ».  Pour finir, le R16 intègre un réduc­teur de bruit appelé ZNR.

La liste des effets d’in­sert est très longue et ils sont accom­pa­gnés d’un grand nombre de presets. On retrouve, entre autres, un auto­wah, un phaser, un ring modu­la­teur, des simu­la­teurs d’am­plis pour guitare et basses (Marshall, Mesa Boogie, Fender, SVT, Hartke, H&K, etc.) et les clas­siques chorus, pitch, EQ, délai, trémo­lo… Bref, tout l’ar­se­nal néces­saire aux adeptes de la 6, 4 ou 5 cordes.

Le R16 propose aussi pour les micros des modé­li­sa­tions de U87, SM57, C414 et MD421 et des effets en tout genre. La liste est très longue et il serait fasti­dieux de tous les nommer : l’in­ter­face propose 135 effets et 390 presets. À noter tout de même la possi­bi­lité d’uti­li­ser 8 compres­seurs et 8 EQ en même temps, pas mal !

 

De l’en­re­gis­treur à l’in­ter­face audio

Là où se démarque le R16, c’est qu’il fait aussi inter­face audio numé­rique et surface de contrôle. Des drivers compa­tibles Mac et Windows sont four­nis (préci­sons aussi que le firm­ware peut être updaté via USB), et il sera ainsi possible d’en­voyer 8 voies direc­te­ment vers votre séquen­ceur préféré (ou le Cubase LE4 inclus), deux voies Master  reve­nant vers l’in­ter­face pour alimen­ter vos moni­teurs.

 

Le fait de pouvoir utili­ser le R16 en tant qu’in­ter­face audio numé­rique est non seule­ment très pratique, mais on est surtout bluffé par le fait de dispo­ser de cette fonc­tion en regard d’un prix aussi bas. Mais le plus éton­nant est encore à venir, puisque le R16 peut servir aussi de surface de contrôle, permet­tant d’uti­li­ser les boutons de trans­port et les faders (non moto­ri­sés, rappe­lons-le) avec le séquen­ceur, via une émula­tion Mackie Control.  Nous avons testé cette fonc­tion­na­lité, hélas très peu docu­men­tée (une petite page du manuel y est consa­crée, et elle ne précise même pas quels contrô­leurs MIDI sont utili­sables sur le R16) avec le Studio One de Preso­nus, Reaper et Cubase LE 4. Et ça marche ? Oui mais c’est perfec­tible, car si les boutons de trans­port, la molette, les flèches du curseur et les 5 touches de fonc­tion répondent bien, il nous a été impos­sible d’uti­li­ser les boutons Enter ou Exit, cepen­dant que les boutons Mute des tranches se comportent comme des Solo. Pourquoi pas ? Mais on aurait aimé l’ap­prendre dans la notice avec une liste des contrô­leurs MIDI dispo­nibles et leur affec­ta­tion de base. Sous le Cubase LE4 accom­pa­gnant la R16, la confi­gu­ra­tion de la surface fait aussi allu­sion à une touche Shift qu’il nous a été impos­sible de trou­ver, ce qui est bien dommage dans la mesure où cette dernière double­rait le nombre de contrôles dispo­nibles. Enfin, préci­sons que les potards de gain dispo­nibles sur chaque tranche ne sont pas MIDI : il vous sera donc impos­sible de les utili­ser pour régler le pano­ra­mique de chaque piste. Bref, cet aspect qui est un énorme plus pour le produit gagne­rait à être plus ration­nel et surtout plus docu­menté.

 

Le son de la R16

Avec un prix fixé à moins de 400€, 8 préam­plis et 135 effets, on pour­rait se poser des ques­tions concer­nant la qualité audio de la bête. Les préam­plis ont été testés avec le DPA 4099, qui se révèle être un micro assez exigeant vis-à-vis du préam­pli. Et bien il n’y a pas de miracle : nous avons dû pous­ser le gain quasi­ment jusqu’au bout de sa course et le souffle a commencé à poindre plus que le bout de son nez. Les conver­tis­seurs nous ont en revanche paru très corrects ainsi que les deux micros inté­grés, issus du H2 de la même marque. Il faudra faire atten­tion aux bruits de mani­pu­la­tions lorsque ces derniers sont acti­vés, on entend très bien le clic des boutons ! On pourra faire de la maquette sans problème, et c’est le rôle premier du R16 fina­le­ment. Les effets, en plus d’être très nombreux, sont assez effi­caces, les modé­li­sa­tions d’am­plis ne sont du niveau de ce que peut faire Line6, on sent la signa­ture sonore de Zoom… Les compres­seurs pompent pas mal et font remon­ter pas mal de souffle, mais pour le prix, on les pardon­ne… Les égali­seurs sont assez effi­caces feront l’af­faire sans trop de problèmes. Le R16 fait donc tranquille­ment le job, se montre très complet, auto­nome et prêt à l’em­ploi ! Il n’y a plus qu’à faire de la musique fina­le­ment !


Mais passons aux choses sérieuses, voici quelques exemples sonores :

La guitare acous­tique Garri­son de sieur Teignos avec le micro DPA 4099…

00:0000:00


ou les micros inté­grés :

00:0000:00


On rajoute un peu de réverbe et du chorus :

00:0000:00


Enfin, un essai avec une guitare élec­trique, une Gretsch G5120 et les simu­la­teurs d’am­plis inté­grés :

00:0000:00


Conclu­sion

 

Zoom frappe un grand coup en propo­sant du maté­riel hybride à prix plan­cher et il est certain que le R16 comblera beau­coup de musi­ciens étant à la recherche d’un enre­gis­treur 16 pistes mobile, d’une inter­face audio et d’une surface de contrôle MIDI. La grande force du R16 est de se suffire à lui-même, avec ses effets et micros inté­grés, son lecteur de cartes SD, son accor­deur et son métro­nome. On pourra regret­ter cepen­dant le peu de sorties dispo­nibles, que ce soit casque ou ligne : il sera impos­sible d’en­voyer un mix diffé­rent au batteur ou au bassiste et on devra ache­ter un ampli  casque supplé­men­taire. On pourra râler aussi sur le fait que seuls deux préam­plis micro disposent d’ali­men­ta­tions fantômes, que les boutons de volume pour le casque et la sortie master se trouvent à l’ar­rière du bestiau ou encore que la doc soit si succinte sur les aspects carte son et surface de contrôle.. Mais pour le prix, il serait juste ridi­cule de s’ar­rê­ter à ces détails pour ne pas se ruer sur l’af­faire. Chapeau bas, monsieur Zoom.

 

8/10
Award Qualité / Prix 2009
Points forts
  • 3 utilisations différentes et complémentaires
  • 8 entrées combo XLR/jack 6,35 mm
  • Peut fonctionner sur piles
  • Des effets à la pelle
  • Poids plume
  • Vumètres 4 segments sur chaque piste
  • Petit prix
  • Design sympathique
Points faibles
  • Une sortie stéréo seulement
  • Accordeur pas super efficace
  • Ergonomie d’un autre âge
  • Qualité des préamplis et de certains effets pas exceptionnelle
  • La doc qui ignore quasiment la fonction Surface de contrôle
Auteur de l'article Red Led

Je suis rentré dans la musique par la rosace d'une guitare classique et depuis, j'essaie d'en sortir sans trop de conviction.


Vous souhaitez réagir à cet article ?

Se connecter
Devenir membre
Auteur de l'article Red Led

Je suis rentré dans la musique par la rosace d'une guitare classique et depuis, j'essaie d'en sortir sans trop de conviction.