Charvel, le retour de la vengeance...

Ces trois modèles se veulent à la hauteur de la répu­ta­tion de la marque en terme de qualité, mais aussi tout à fait abor­dables en prix.

Les San Dimas Style 1 2H (forme stra­toïde) et Style 2 2H (forme de type Télé­cas­ter) disposent toutes deux d’un corps en aulne avec fini­tion noire au poly­uré­thane, d’un manche en érable d’une seule pièce avec un radius de 12"-16', de micros Seymour Duncan SH4/JB en cheva­let et '59 en manche, d’un trémolo Floyd Rose, de méca­niques Grover minia­tures, d’un accas­tillage noir et d’une housse.

La So-Cal Style 1 2H se carac­té­rise quant à elle par un corps en aulne en fini­tion noire poly­uré­thane avec plaque de protec­tion et micros DiMar­zio Tone Zone (cheva­let) et Evolu­tion (manche). Pour le reste, on retrouve les mêmes carac­té­ris­tiques prin­ci­pales que sur les deux autres modèles: manche en érable d’une seule pièce avec radius de 12"-16', trémolo Floyd Rose, méca­niques Grover minia­tures, accas­tillage noir et housse four­nie.

A noter que si ces trois guitares seront par défaut dispo­nibles en fini­tion noire, des séries limi­tées dans d’autres tons seront aussi dispo­nibles à inter­valle trimes­triel, une nouvelle couleur chas­sant l’autre tous les trois mois. Ainsi, en Juillet et pendant une période de 3 mois, la San Dimas Style 1 2H sera dispo­nible en rouge « Candy Red », la San Dimas Style 2 2H dans un jaune nommé « Pegan Gold » et la So-Cal Style 1 2H dans une nuance d’orange bapti­sée « Candy Tange­rine ». Chaque trimestre de nouvelles couleurs rempla­ce­ront les précé­dentes, ce qui sur le long terme aura au moins l’avan­tage de rendre d’au­tant plus facile la data­tion de ces instru­ments.

Fabriqués en Cali­for­nie, ces trois modèles seront dispo­nibles dans le courant de l’été à un prix annoncé de 999,99$.

Sachez égale­ment pour la petite histoire que chacun de ces modèles dispo­sera des contours exacts des Stra­to­cas­ter et Tele­cas­ter origi­nales (les têtes étant toutes copiées sur celles des Strats) grâce à un contrat de licence sans doute favo­risé par l’ap­par­te­nance de Char­vel/Jack­son au groupe Fender.