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Concours "en français dans le texte"

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Discograph
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Discograph organise du 1er juin au 31 octobre 2010 un jeu concours intitulé "en français dans le texte".

Ce concours est ouvert aux artistes non signés et qui s’ex­priment en français. Cette année, le thème retenu est l’en­fance.

pour parti­ci­per, cliquez ici.



  • cabana 74 posts au compteur
    cabana
    Posteur·euse AFfranchi·e
    Posté le 14/06/2010 à 11:20:57
    je cite :
    "Il vous est demandé de nous envoyer 3 titres (chansons pour enfants ou relatives à l’enfance) libres de droits ainsi que votre adresse e-mail via le formulaire ci-contre."
    pourquoi libres de droits?

    je me pose la question

  • Faber_FDM 69 posts au compteur
    Faber_FDM
    Posteur·euse AFfranchi·e
    Posté le 17/03/2011 à 09:23:22

    Je peux répondre facilement, puisque nous avons gagné ce concours, avant d'en être disqualifiés car nos morceaux étant en licence chez un distributeur numérique.

    L'idée, c'est que la distribution numérique sur le net de petits groupes est un commerce relativement juteux, car si si chacun des groupes que tu signes fait peu de ventes, en revanche, la somme des artistes signés représente, elle un montant assez sympathique. C'est sur cette idée que nous avons signé chez un distributeur numérique qui met tous nos morceaux sur iTunes, FnacMusic, Rhapsody, Deezer & Co. Dans un premier temps, ça semble intéressant, mais rapidement, tu te rends comptes que tu te retrouves dans les méandres de ces sites, sans promo suffisante pour que ça te serve de tremplin et quand tu es ensuite repéré par un label, tu finis par ietre bloqué par le contrat qui t'empêches de céder des droits de distribution.

    En gros, Discogrpah propose un contrat où ils se prennent plus de 50 % des droits de distribution. Il n'y a pas vraiment de démarche artistique derrière cela. D'ailleurs, quand on a gagné, on n'a pas eu de mail du DA, mais seulement des mails venant de la promo et du service juridique. Le but, pour Discograph, était purement et simplement de promouvoir la sortie d'un disque pour enfant d'Emma Daumas et aussi de repérer quelques groupes sur le net. L'intérêt de notre distributeur numérique, lui, était de ne rien lâcher et de ne pas se faire piquer les groupes par un label. Le truc comique dans l'histoire, tragi-comique plutôt, c'est que les deux nous ont finalement laissé dans notre merde alors que chacun prétendait défendre nos intérêts !!

    Enfin, ce n'est pas grave, car je n'ai plus entendu parler de cette opération ensuite. Je me demande si ça n'a pas fait un gros flop au final ...

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