Proposé dans une finition Luna White, la nouvelle LM1-LWH possède trois micros simples Seymour Duncan Fortuna.
La LM1-LWH possède un corps en aulne et un manche vissé en érable torréfié. La touche est en palissandre et elle accueille 22 frettes Jumbo en inox pour un diapason de 25.5 pouces. L’accastillage est chromé et regroupe un vibrato Gotoh T1702B, des mécaniques Gotoh MG-T à blocage et un sillet en os. Des repères Luminlay sont au rendrez-vous sur le côté de la touche.
L’électronique rassemble un trio de micros simples bobinage Seymour Duncan Fortuna. Ils sont contrôlés par un volume général, une tonalité générale, un sélecteur à cinq positions et un potentiomètre Blender. Cette configuration s’établit comme sur le schéma ci-dessous.
Livrée en étui rigide et montée en cordes .010 – .046, la nouvelle LM1-LWH Luca Mantovanelli Signature est proposée au tarif de 1 999 €.
Plus de détails sur Ibanez.
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RgxpodPosteur·euse AFfolé·ePosté le 10/01/2023 à 16:02:55Un poil surpris par le tarif ... pour une superstrat en trois simple ca fait payer la signature... il ya l'excellente schecter NJ ou même d'autres ... ca va etre compliqué pour elle de faire sa place à ce tarif non ? -
SchatzPosteur·euse AFfolé·ePosté le 11/01/2023 à 09:20:53Hello,
Est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer cette mode de mettre des manches en érable torréfié partout ? Quel est l'intérêt ? On voit ça partout depuis une dizaine d'années. Sur cette Ibanez, en tous cas sur le modèle pris en photo, l'érable du manche a l'air franchement grossier : plutôt que de torréfier, n'aurait-il pas été mieux de choisir un bois correct ? Je m'auto-réponds peut être... la torréfaction serait alors un cache-misère ? Ou juste un moyen de sécher les bois à grande vitesse en ayant l'air "tendance" ?