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Blues du Sud « Une tornade bluesy dans mon Epi LP !!! »
Publié le 12/04/21 à 15:44
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Postulat simple : une LP standard pro de chez Epi avec une très belle lutherie mais pas de son ou presque (basses trop présentes et baveuses, brouillon dans les médiums, rien de transcendant dans les aigus) un câblage industriel asiatique avec des connecteurs style jouet, ça faisait pas rêver !
Résultat : quelques vidéos et échanges nécessaires avec « Maître » Marc pour orienter mon choix finalement sur les PAF59 en Alnico 2 avec un schéma 50 intégrant les 2 condos recommandés avec les micros.
Je joue du blues / blues – rock sur un Fender Blues Junior 3 upgradé et un Fender Champ silverface de 76. Je n’ai donc pas besoin de l’attaque des A4 ou 5 mais ma recherche s’orientait sur un son smoothy sur lequel l’ampli allait jouer sa véritable place et là, je suis servi.
Je ne reprendrai pas en détail tout le bien que les heureux utilisateurs ont posté avant moi, ce ne serait que de la redondance.
Par contre, j’insiste sur la gifle dès le premier run avec ces cleans que je découvre progressivement sur une guitare qui n’est plus la même, ces harmoniques qui explosent pour remplir l’espace avec une présence d’un autre temps, c’est simplement beau !!!
J’ai poussé le Blues Junior, sans pédale OD et/ou TS, sur le gain d’entrée pour exciter les lampes, un coup de FAT (boost Fender du BJ) et là c’est retour à la grande époque avec l’épaisseur, la chaleur, le crunch naturel et ce léger larsen qui vient finir le bend insistant = du velour !
Ces micros sont sublimes avec une mention spéciale pour le manche qui est énorme, j’adore !
Pour info, j’ai réglé le manche à 2,5mm de H sur les bons conseils de Marc et j’ai remonté un peu plus le bridge pour le mettre à 2mm pour gagner en présence.
La question que je me suis posé pour en finir ici : fallait-il upgradé une Epi ou une Squier pour tenter d’approcher la cour des grands ? Sans hésitation OUI si votre pelle n’attend que ça pour vous offrir ce qui reste donc le plus important une fois l’instrument en main = le son !
On finit avec un grand merci de reconnaissance du professionnalisme de Marc qui est là, à toutes les étapes, ça s’appelle de la passion et c’est pas la poignée de dizaine d’euros d’écart avec les major de l’équipement qui doivent dicter le choix, c’est le plaisir de se faire vraiment plaisir avec un matos exceptionnel.
Envoi soigné, tout emballé avec la mousse qui va bien...
Musicalement,
Résultat : quelques vidéos et échanges nécessaires avec « Maître » Marc pour orienter mon choix finalement sur les PAF59 en Alnico 2 avec un schéma 50 intégrant les 2 condos recommandés avec les micros.
Je joue du blues / blues – rock sur un Fender Blues Junior 3 upgradé et un Fender Champ silverface de 76. Je n’ai donc pas besoin de l’attaque des A4 ou 5 mais ma recherche s’orientait sur un son smoothy sur lequel l’ampli allait jouer sa véritable place et là, je suis servi.
Je ne reprendrai pas en détail tout le bien que les heureux utilisateurs ont posté avant moi, ce ne serait que de la redondance.
Par contre, j’insiste sur la gifle dès le premier run avec ces cleans que je découvre progressivement sur une guitare qui n’est plus la même, ces harmoniques qui explosent pour remplir l’espace avec une présence d’un autre temps, c’est simplement beau !!!
J’ai poussé le Blues Junior, sans pédale OD et/ou TS, sur le gain d’entrée pour exciter les lampes, un coup de FAT (boost Fender du BJ) et là c’est retour à la grande époque avec l’épaisseur, la chaleur, le crunch naturel et ce léger larsen qui vient finir le bend insistant = du velour !
Ces micros sont sublimes avec une mention spéciale pour le manche qui est énorme, j’adore !
Pour info, j’ai réglé le manche à 2,5mm de H sur les bons conseils de Marc et j’ai remonté un peu plus le bridge pour le mettre à 2mm pour gagner en présence.
La question que je me suis posé pour en finir ici : fallait-il upgradé une Epi ou une Squier pour tenter d’approcher la cour des grands ? Sans hésitation OUI si votre pelle n’attend que ça pour vous offrir ce qui reste donc le plus important une fois l’instrument en main = le son !
On finit avec un grand merci de reconnaissance du professionnalisme de Marc qui est là, à toutes les étapes, ça s’appelle de la passion et c’est pas la poignée de dizaine d’euros d’écart avec les major de l’équipement qui doivent dicter le choix, c’est le plaisir de se faire vraiment plaisir avec un matos exceptionnel.
Envoi soigné, tout emballé avec la mousse qui va bien...
Musicalement,