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Bubbagump « Jouer avec »
Publié le 04/04/20 à 01:05
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Quand j'ai commencé à faire de la musique et m’intéresser au son, un délai c’était juste :
"PING PING ping ing g..."
Les reglages ? Time, feedback, et éventuellement, un filtrage un peu pourri sur le feedback pour "faire tape delay".
Alors la premiere fois ou j'ai chargé echoboy, j'ai dit "c'est quoi ct'usine à gaz ? hey ! je veux juste mon elvis echo ! Comment qu'on fait ?"
J'ai donc laissé tomber tout de suite et trouvé un délai avec 3 boutons max ...
Dommage !
J'ai fait l'erreur d'aborder echoboy comme un simple délai, et celle de l'aborder en cherchant à le maitriser avant de l’utiliser dans un projet, et c'est à se pendre ...
Il est plus ludique et très instructif de faire connaissance lors d'un mix, simplement en parcourant les presets, et en jouant avec (hey ! Soundtoys ça s'appelle....). Et quand on tombe sur le truc qui marche, et qui n'est pas forcement ce à quoi on pensait, c'est plutôt facile à ajuster ensuite.
Depuis echoboy, j'utilise moins de reverb, moins d'EQ, moins de compression ... On le fait jaillir un truc, ou on l'enfonce dans le mix, on travaille le relief : largeur, profondeur ; et puis le timbre : on le salit, on le tord, on le souligne ou on le transforme.... Et on se surprend !
Alors il est vrai qu'on début, on a l'impression de ne plus être au volant mais sur le siége passager, conduit par une machine qui choisi un peu itinéraire voire la destination .... Ce faisant on perd un peu le contrôle, on fait quelques exces ...Mais on explore de nouveaux paysages et petit à petit, on reprend la main ...
Les petits plus : utiliser l'automation avec ce genre d'outil ouvre des possibilités sonores passionnantes.
Je ne connais pas la concurrence si ce n'est le truc orange de chez Waves, qu'un ami ingé son maitrise bien ... Ca a l'air de marcher très bien aussi.
Dans 5 ans, quand j'aurai fait le tour de cette pétoire, je lui trouverai des défauts, aujourd'hui, après 3 mois, j'en suis à la découverte, l'émerveillement ; les premiers résultats arrivent et tiennent leurs promesses.
Si quand même, un défaut : Le dosage dry/wet est délicat, et se fait souvent dans les premiers millimètres de course du "potard".
"PING PING ping ing g..."
Les reglages ? Time, feedback, et éventuellement, un filtrage un peu pourri sur le feedback pour "faire tape delay".
Alors la premiere fois ou j'ai chargé echoboy, j'ai dit "c'est quoi ct'usine à gaz ? hey ! je veux juste mon elvis echo ! Comment qu'on fait ?"
J'ai donc laissé tomber tout de suite et trouvé un délai avec 3 boutons max ...
Dommage !
J'ai fait l'erreur d'aborder echoboy comme un simple délai, et celle de l'aborder en cherchant à le maitriser avant de l’utiliser dans un projet, et c'est à se pendre ...
Il est plus ludique et très instructif de faire connaissance lors d'un mix, simplement en parcourant les presets, et en jouant avec (hey ! Soundtoys ça s'appelle....). Et quand on tombe sur le truc qui marche, et qui n'est pas forcement ce à quoi on pensait, c'est plutôt facile à ajuster ensuite.
Depuis echoboy, j'utilise moins de reverb, moins d'EQ, moins de compression ... On le fait jaillir un truc, ou on l'enfonce dans le mix, on travaille le relief : largeur, profondeur ; et puis le timbre : on le salit, on le tord, on le souligne ou on le transforme.... Et on se surprend !
Alors il est vrai qu'on début, on a l'impression de ne plus être au volant mais sur le siége passager, conduit par une machine qui choisi un peu itinéraire voire la destination .... Ce faisant on perd un peu le contrôle, on fait quelques exces ...Mais on explore de nouveaux paysages et petit à petit, on reprend la main ...
Les petits plus : utiliser l'automation avec ce genre d'outil ouvre des possibilités sonores passionnantes.
Je ne connais pas la concurrence si ce n'est le truc orange de chez Waves, qu'un ami ingé son maitrise bien ... Ca a l'air de marcher très bien aussi.
Dans 5 ans, quand j'aurai fait le tour de cette pétoire, je lui trouverai des défauts, aujourd'hui, après 3 mois, j'en suis à la découverte, l'émerveillement ; les premiers résultats arrivent et tiennent leurs promesses.
Si quand même, un défaut : Le dosage dry/wet est délicat, et se fait souvent dans les premiers millimètres de course du "potard".