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pic&pulse « Du V30 en boite »
Publié le 14/02/12 à 11:51Déjà exposé.
Passif, c'est pratique : on n'a besoin ni de pile ni d'alim phantom.
Le ground lift sert à régler le soucis de ronflette due à une boucle de masse.
Déjà exposé aussi. Je préciserai que le niveau de sortie de l'appareil est assez faible mais largement utilisable (en gros comme un micro dynamique en reprise de discours) quand il traite une sortie ligne.
Pas de souffle.
Les 3 positions du filtre sont assez caricaturales, je trouve.
Si utilisé en sortie d'un préampli, on ne profitera pas du travail de la section de puissance, d'où une sensation de son plus droit et une réponse au jeu un peu différente. Mais ça peut constituer une alternative valable car cela apporte une précision assez clinique. Intéressant dans un mix chargé.
Comme dans n'importe quelle situation de prise de son, il faudra sûrement égaliser pour avoir un rendu optimum. A plat, le son est assez chargé en mediums et surtout dans le haut aux alentours des 3 KHz. Genre Celestion V30 repris par un SM57 dirigé vers le centre de la gamelle. En positionnant sur "bright", c'est pire. Et inséré dans le mix, il ne vous reste plus qu'un son genre ampli de poche.
Par contre, en position "normal", après avoir remonté les basses et baissé ces fameux 3 KHz, on a alors un son présent, bien défini et plutôt réaliste, en tout cas largement exploitable.
La position "mellow" coupe carrément les aigus et je ne l'ai jamais employée. Peut-être pour du jazz ou avec des amplis au rendu particulièrement aigu.
Pour parler de la qualité pure, ce sera toujours mieux qu'une prise avec un vieux micro posé à l'arrache devant votre HP ou dans une pièce sans traitement acoustique. On a un vrai son de gratte très réaliste. Un blind test fera taire les grincheux et les puristes.
J'ai adopté les simulateurs de HP depuis la fameuse Red Box de H&K (ça va faire plus de 20 ans, ouch). Je possède le Behringer GI100, qui est actif et fait également DI classique. J'aime le aspect pratique de ces outils qui sont peu onéreux, compacts, et vous permettent de retrouver votre son partout en vous affranchissant des éléments extérieurs comme l'acoustique de la salle, la qualité du parc micro ou le talent du sondier.
Je n'ai plus de Red Box, trop fade, mais je garde le Palmer et le Beri qui ont deux couleurs différentes ; le beri étant un poil plus crade et plus creusé en mediums, moins précis mais avec un peu plus "d'air".
En fait, on choisira l'un ou l'autre selon l'ampli qu'on utilise.
Après les concerts, j'ai parfois eu des critiques positives sur mon son, mais jamais personne n'a remarqué l'utilisation de ces outils lorsque je les emploie.
Approuvé.
Pour les aventuriers, je vous recommande aussi le préampli guitare branché dans un filtre LPF Moog ou autre synthé. Vous m'en direz des nouvelles.
Passif, c'est pratique : on n'a besoin ni de pile ni d'alim phantom.
Le ground lift sert à régler le soucis de ronflette due à une boucle de masse.
Déjà exposé aussi. Je préciserai que le niveau de sortie de l'appareil est assez faible mais largement utilisable (en gros comme un micro dynamique en reprise de discours) quand il traite une sortie ligne.
Pas de souffle.
Les 3 positions du filtre sont assez caricaturales, je trouve.
Si utilisé en sortie d'un préampli, on ne profitera pas du travail de la section de puissance, d'où une sensation de son plus droit et une réponse au jeu un peu différente. Mais ça peut constituer une alternative valable car cela apporte une précision assez clinique. Intéressant dans un mix chargé.
Comme dans n'importe quelle situation de prise de son, il faudra sûrement égaliser pour avoir un rendu optimum. A plat, le son est assez chargé en mediums et surtout dans le haut aux alentours des 3 KHz. Genre Celestion V30 repris par un SM57 dirigé vers le centre de la gamelle. En positionnant sur "bright", c'est pire. Et inséré dans le mix, il ne vous reste plus qu'un son genre ampli de poche.
Par contre, en position "normal", après avoir remonté les basses et baissé ces fameux 3 KHz, on a alors un son présent, bien défini et plutôt réaliste, en tout cas largement exploitable.
La position "mellow" coupe carrément les aigus et je ne l'ai jamais employée. Peut-être pour du jazz ou avec des amplis au rendu particulièrement aigu.
Pour parler de la qualité pure, ce sera toujours mieux qu'une prise avec un vieux micro posé à l'arrache devant votre HP ou dans une pièce sans traitement acoustique. On a un vrai son de gratte très réaliste. Un blind test fera taire les grincheux et les puristes.
J'ai adopté les simulateurs de HP depuis la fameuse Red Box de H&K (ça va faire plus de 20 ans, ouch). Je possède le Behringer GI100, qui est actif et fait également DI classique. J'aime le aspect pratique de ces outils qui sont peu onéreux, compacts, et vous permettent de retrouver votre son partout en vous affranchissant des éléments extérieurs comme l'acoustique de la salle, la qualité du parc micro ou le talent du sondier.
Je n'ai plus de Red Box, trop fade, mais je garde le Palmer et le Beri qui ont deux couleurs différentes ; le beri étant un poil plus crade et plus creusé en mediums, moins précis mais avec un peu plus "d'air".
En fait, on choisira l'un ou l'autre selon l'ampli qu'on utilise.
Après les concerts, j'ai parfois eu des critiques positives sur mon son, mais jamais personne n'a remarqué l'utilisation de ces outils lorsque je les emploie.
Approuvé.
Pour les aventuriers, je vous recommande aussi le préampli guitare branché dans un filtre LPF Moog ou autre synthé. Vous m'en direz des nouvelles.