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Sujet café du coin : analyse et commentaire de l'actualité poliltique

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1 café du coin : analyse et commentaire de l'actualité poliltique
Un endroit qui fleure bon la France et ses discussions interminables au comptoir pour parler de politique.

Je lance cette question : que pensez-vous de la suppression de l'ISF ?

[ Dernière édition du message le 16/04/2020 à 15:13:02 ]

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Ouais, ça aussi c'est un mortier:

2946658.jpg

Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Wham Bam Jazz

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le-pub-des-gentlemen-2946659.jpg

Instruments Kontakt gratuits / FLUIDSHELL Design
Démos Audio / Soundcloud BTSLa chaîne YouTube

"001001001111010010010010100010 !" Mireille DAC.

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La pub dans son essence c'est bien de la merde, mais y a k même des artistes!:bave:

Après un échange d'idées, chacun peut repartir avec la sienne.

 

 

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Test :oops2:
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Pour ceux qui peuvent sur Mediapart il y a un article particulièrement intéressant je trouve :
https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/200420/le-nigeria-est-mieux-prepare-que-nous-aux-epidemies
En gros l'analyste explique que ce que l'on appelle le monde d'apres, ça devrait ressemble à ce qui se passe dans les pays du Sud.

Citation de Mediapart :
... Guillaume Lachenal : Comme le disaient déjà les anthropologues Jean et John Comaroff, la théorie sociale vient désormais du Sud, parce que les pays du Sud ont expérimenté, avec vingt ou vingt-cinq ans d’avance, les politiques d’austérité sous des formes radicales. Le néolibéralisme précoce s’est déployé au Sud, notamment dans les politiques de santé. Il est à l’arrière-plan des épidémies de sida et d’Ebola.

On découvre aujourd’hui le besoin d’une grille de compréhension qui parte des questions de pénurie, de rareté, de rupture de stocks qui se trouvent être au cœur de l’anthropologie de la santé dans les pays du Sud. On parle aujourd'hui beaucoup de mondialisation, de flux et de la façon dont le virus a épousé ces mouvements, mais observée d’Afrique et des pays du Sud, la mondialisation est une histoire qui ressemble à ce qu’on voit aujourd’hui : des frontières fermées, des avions qu’on ne peut pas prendre, des mobilités impossibles.

Jusqu’au début des années 2000, en Afrique, l’épidémie de sida, c’est une histoire de médicaments qu’on n’arrive pas à obtenir, qu’on fait passer dans des valises au marché noir… Durant la grande épidémie d’Ebola de 2014, les structures de santé ont été dépassées pour des raisons matérielles élémentaires : manque de personnel, pénurie de matériel…

Il existe donc, au Sud, tout un corpus d’expériences riche d’enseignements, comme le soulignait récemment l’historien Jean-Paul Gaudillière. Comme Ebola, le Covid est à maints égards une maladie du soin, qui touche en premier lieu les structures de santé, mais aussi les relations de prises en charge domestiques. Surtout, le Sud nous montre comment on a voulu mobiliser une approche sécuritaire des épidémies, au moment même où on négligeait les systèmes de santé.

Toute l’histoire de la santé publique dans ces pays rappelle pourtant qu’il ne suffit pas d’applications pour monitorer le virus et de drones pour envoyer les médicaments ; que ces modes de gouvernement sont de peu d’efficacité face à une épidémie. On peut tenter de transposer, ici, cette critique d’une gouvernementalité spectaculaire qui produit seulement une fiction de préparation.

Il y a trois ans, la conférence de Munich sur la sécurité avait été inaugurée par Bill Gates qui affirmait que la menace principale pour le monde était de nature épidémique et pas sécuritaire. Depuis quinze ans, tous les livres blancs de la Défense mettent les épidémies tout en haut de l’agenda. Et nous sommes pourtant dépassés quand elle arrive. Cette contradiction n’est en réalité qu’apparente. Parce que nous avons en réalité confié cette question sanitaire à une logique de start-up, d’innovation et de philanthropie, dans laquelle la politique sécuritaire des États consiste d’abord à mettre en scène sa capacité à intervenir, à simuler son aptitude à gouverner, mais sans véritable moyen de le faire...


Bref :oops2:

[ Dernière édition du message le 20/04/2020 à 16:12:53 ]

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Le cours du pétrole US s'effondre à moins de 12$ le baril :8O: les stocks US débordent et plus personne qui n'en veut.

Trump va piquer une grosse colère.

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


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C'était couru d'avance, baisse de consommation mondiale autour des 30% depuis le début de la crise coronavirus, et leur accord "historique" est une diminution de 10% de la prod, alors que les stocks sont déjà ras la gueule... :bravo:
A part les consommateurs tout le monde était déjà au courant :mrg::bave::bravo:
Maintenant on ouvre le paquet de pop-corn :oops2::clin:

[ Dernière édition du message le 20/04/2020 à 16:18:09 ]

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Ils vont chercher des nouveaux débouchés "Taste now the new OilCoke, with zero Democrat sugar, zero FakeNews stevia, but 50% of pure proudly American Oil per bottle ! Yummy !"

Voyez la dune là-bas, et ben derrière, y a les plus belles roses des sables de tout le Niger... Eh ben elle a voulu aller voir.

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Citation de gloglo125 :
Ils vont chercher des nouveaux débouchés "Taste now the new OilCoke, with zero Democrat sugar, zero FakeNews stevia, but 50% of pure proudly American Oil per bottle ! Yummy !"

Ça des bouchers y vont en trouver :bravo: